Les aliments à privilégier pour éviter l’hypercholestérolémie

Les aliments à privilégier pour éviter l’hypercholestérolémie

sack of nut and red delicious apples with flowers

choix nutritifs faire pour éviter l’hypercholestérolémie

Les aliments à privilégier pour éviter l’hypercholestérolémie

 L’hypercholestérolémie est un trouble de la circulation du cholestérol qui se retrouve en trop grande quantité dans le sang. Elle constitue avec l’obésité, le diabète et l’hypertension artérielle, un des facteurs de risque majeurs d’athérosclérose générant des maladies cardiovasculaires. Deuxième cause de mortalité en France.

Ces facteurs de risque sont induits principalement par :

  • la sédentarité,
  • une mauvaise alimentation,
  • le tabagisme,
  • une consommation excessive d’alcool,
  • le stress.

 Les aliments à privilégier pour éviter l’hypercholestérolémie, origine et rôle du cholestérol

Le cholestérol fait partie des lipides qui jouent, dans l’organisme, deux rôles majeurs :

  • un rôle de stockage de l’énergie. Dans ce cas les lipides sont sous forme de triglycérides, présents notamment dans les tissus adipeux,
  • un rôle structural. Dans ce cas, ils sont sous forme de phospholipides et entrent dans la composition des membranes des cellules.

Il est le précurseur des hormones stéroïdiennes (œstrogènes, testostérone, etc.). C’est également un élément important des membranes cellulaires, notamment au niveau du cerveau. Il est indispensable à la fabrication de la vitamine D. C’est le constituant essentiel de la bile.

Dans l’organisme, il provient :

  • soit de l’alimentation,
  • soit de l’organisme lui-même.

Comme les autres lipides, le cholestérol est transporté dans le sang sous forme de lipoprotéines.

Donc, dans l’alimentation, le cholestérol est exclusivement apporté par les produits d’origine animale.

Bon et mauvais cholestérol

Le foie fabrique la plus grande part du cholestérol et l’élimine.

Il existe un double circuit sanguin de distribution : le cholestérol va du foie vers les tissus et des tissus vers le foie :

  • les lipoprotéines à basse densité (LDL) transportent le cholestérol du foie vers les tissus, où il est capté. Quand il y a trop de cholestérol, celui-ci s’accumule dans les parois artérielles. C’est lui que l’on nomme le mauvais cholestérol (LDL-cholestérol),
  • les lipoprotéines à haute densité (HDL) transportent le cholestérol des tissus vers le foie, en vue de son élimination. On parle alors de bon cholestérol (HDL-cholestérol).

Enfin, pour connaître les valeurs de référence, vous pouvez consulter notre guide sur le cholestérol.

Le foie, organe essentiel, est extrêmement sensible aux mauvaises graisses, dites saturées, contenues dans l’alimentation, qui le poussent à fabriquer plus de cholestérol que nécessaire et qui diminuent ses capacités à l’éliminer. Ces graisses saturées se trouvent dans le lait entier, les viandes grasses, les abats, toutes les graisses animales, les charcuteries grasses, les pâtisseries, les gâteaux apéritifs, les barres chocolatées et certains plats industriels cuisinés

conseils diététiques

  • Surveiller son poids
  • Avoir une activité physique régulière
  • Arrêter l’alcool et le tabac
  • Eviter le grignotage non diététique
  • Adopter une alimentation saine et équilibrée, avec 30% de lipides
  • Réduire la consommation d’aliments riches en graisses saturées (graisses solides à température ambiante) ou d’origine animale
  • Privilégier les matières grasses végétales (huiles d’olive, de colza) et diversifier les huiles.
  • Préférer les matières grasses allégées
  • Consommer davantage d’aliments riches en fibres
  • Faire attention aux excès de sucres
  • Manger 5 fruits et légumes par jour, 4 produits laitiers demi-écrémés par jour, 3 portions de glucides ou féculents (pain, pâtes, riz) par jour, 2 fois du poisson par semaine, et l’équivalent de 1 cuillère de graisse par jour.

Enfin des choix nutritifs contre le cholestérol

Voici des aliments peuvent contribuer à abaisser le cholestérol tout en s’insérant dans une alimentation saine et équilibrée.

L’avoine

Elle contient un type de fibres solubles appelé bêta-glucane, qui se lie au cholestérol dans le système digestif et l’élimine naturellement de l’organisme. L’orge possède les mêmes propriétés.

Les noix

Elles possèdent une combinaison idéale de graisses insaturés et de fibres qui réduit naturellement le taux de cholestérol. Les noix contiennent également des stérols végétaux uniques, qui imitent le cholestérol et le remplacent sainement dans l’organisme.

Les légumineuses

Les pois chiches, les lentilles, les fèves de soya et les haricots rouges contiennent beaucoup de fibres solubles afin d’empêcher que le cholestérol ne soit absorbé par l’organisme.

Les légumes et les fruits

Les légumes et les fruits ont des propriétés fonctionnelles diverses qui contribuent à réduire le taux de cholestérol.

Les protéines de soja

La consommation régulière de 25 à 30 g par jour de protéines de soja est associée à une baisse de 10 à 15 % du taux de LDL cholestérol.

Des compléments alimentaires

Des compléments alimentaires comme Beta Heart (qui peut se consommer avec de l’eau, un jus de fruit ou un shake) peuvent également vous aider à réduire ou maintenir un bon niveau de cholesterol.

Source : Article rédigé par Jacques Manic, diplômé de la faculté de médecine et membre du Comité International pour la Nutrition Herbalife.

Running réussissez votre première course

Running réussissez votre première course

Fit people running race in park on a sunny day

Préparation, matériel, alimentation

Running réussissez votre première course

Running réussissez votre première course. Vous vous êtes inscrit pour votre première course de running : bravo ! Mais comment faire pour la réussir ?

Côté préparation

En amont de votre course, il faudra vous préparer. L’entraînement devra être optimisé en fonction de la distance à laquelle vous vous êtes inscrit et de votre objectif temps (par exemple, nous vous proposons un programme de 5 semaines pour courir 5 km). Notre page I run Herbalife contient également un programme intégral d’entraînement.

Au début de la semaine qui précède, faites une sortie à l’allure que vous souhaitez tenir le jour de votre course. Pas la peine de courir aussi longtemps que le jour J : l’important est d’évaluer vos sensations et de « rappeler » à votre corps à quelle vitesse il devra courir. Inutile, par ailleurs, de courir dans les 2-3 jours qui précèdent la course : ne vous fatiguez pas et gardez votre énergie !

Repérez le parcours. Vous ne serez pas forcément en mesure de faire une reconnaissance in situ, mais vous pourrez sans aucun doute trouver l’itinéraire en ligne avec indication du dénivelé et des difficultés (notamment pour les trails ou les trails urbains). Vous pourrez ainsi vous préparer mentalement et anticiper les complications. Mieux vaut savoir ce qui vous attend, cela vous évitera d’être surpris et vous permettra de doser votre effort.

Côté matériel

Que vous fassiez des courses ou seulement des sorties plaisir, il est important d’être bien équipé.

Ceci commence par les chaussures, achat essentiel pour le runner. Pour le jour de la course, utilisez les mêmes chaussures qu’à l’entraînement : ce n’est pas le moment d’étrenner une nouvelle paire en risquant des ampoules et surtout de ne pas vous sentir aussi à l’aise qu’à l’habitude.

Quant à la tenue, consultez la météo pour savoir comment vous habillez. Comme pour les chaussures, vous utiliserez une tenue déjà portée qui sera souvent un short et un t-shirt en tissu technique à même d’évacuer la sueur (sauf à ce que vous courriez dans des conditions particulières : froid marqué, nuit, neige, etc.). Un coupe-vent léger pourra être utile en cas de forte pluie.

En fonction de la distance, vous pourrez opter pour une ceinture ou une sangle sur laquelle vous disposerez votre eau ou votre boisson de l’effort, ou pour un sac à dos (pour les distances plus longues) ; à moins que vous ne préféreriez les ravitaillements proposés par les organisateurs. Jusqu’à 10 km, la majorité des coureurs arrivera à faire sans ravitaillement sauf en boisson dès que les températures augmentent.

Côté alimentation

Dans la semaine qui précède la course, veillez à bien vous alimenter en apportant, particulièrement dans les derniers jours avant la course, des sucres lents à votre organisme. Des produits complémentaires vous aideront à renforcer votre organisme (comme en témoigne Greg Runner sur les produits Herbalife).

Comme nous vous l’avons expliqué dans notre article « Comment s’alimenter avant une course ? », prévoyez un délai suffisant entre le dernier repas et votre course afin d’avoir fini votre digestion.

Le jour J

Arrivez en avance, notamment si vous n’avez pas retiré votre dossard auprès de l’organisation. Prévoir de se rendre sur la zone de départ environ une heure avant le départ permet de ne pas stresser (surtout si vous savez que vous êtes sujet au stress lorsque vous faites face à un imprévu) en cas de trajet plus long dans les transports, et de repérer votre sas en toute tranquillité.

Vous pourrez y procéder à votre échauffement en stimulant en douceur vos muscles. D’ailleurs, rejoindre votre sas à pied (en courant un quart d’heure) est souvent un échauffement suffisant. Veillez à ce que vos muscles restent chauds si les températures sont assez basses.

C’est parti !

Le départ a été lancé : profitez de votre course et du cadre dans lequel elle se déroule ! Soyez attentif à vos sensations afin de bien doser et d’adapter votre effort (attention au piège de partir trop vite !), et de ne pas risquer de déshydratation.

Et, une fois passée la ligne d’arrivée, bravo, pensez à récupérer notamment en vous hydratant !

 

Source : Herbalife

Les aliments qui protègent du mauvais cholestérol

Les aliments qui protègent du mauvais cholestérol

sans-titre

Savez vous quels aliments privilégier

Les aliments qui protègent du mauvais cholestérol

Les aliments qui protègent du mauvais cholestérol. Tout le monde sait qu’il existe du bon et du mauvais cholestérol. Mais savez-vous quels aliments privilégier pour favoriser le bon cholestérol ?

Qu’est-ce que le cholestérol ?

Le cholestérol est fabriqué par notre foie et provient de notre alimentation. Il est essentiel à la vie et à notre métabolisme (notamment pour les membranes cellulaires et pour les neurones). Mais tout excès de mauvais cholestérol présente un risque pour la santé.

Bon et mauvais cholestérol

On distingue classiquement le bon et le mauvais cholestérol. Le bon, ce sont les « lipoprotéines de haute densité ».  (HDL) qui ont pour rôle de transporter le cholestérol vers le foie afin qu’il y soit éliminé . (permettant d’éviter que le cholestérol ne s’accumule dans les vaisseaux sanguins).

Le mauvais, ce sont les « lipoprotéines de basse densité » (LDL) qui ont pour fonction d’amener le cholestérol (mais aussi notamment les vitamines A, D, E et K) aux cellules de notre organisme. Le cholestérol sera ensuite recapté pour être dirigé vers le foie par les HDL,  où il sera éliminé.

Lorsque l’on mesure de mauvais cholestérol. On regarde le taux de LDL dont on considère qu’il doit être le plus bas possible (1). En effet, l’excès de graisse sur les parois des vaisseaux sanguins risque de perturber la circulation de sang.  De créer des caillots, à l’origine de thromboses ou d’accidents cardio-vasculaires (AVC, infarctus, etc.). Le taux de LDL est considéré comme normal lorsqu’il est compris entre 0,9 g/l et 1,58 g/l quand le sujet ne présente pas de facteur de risque cardiovasculaire comme de l’hypertension, du diabète ou encore la consommation de tabac.

L’enjeu est donc d’avoir un rapport HDL/LDL élevé, ce qui passe par de l’activité physique et une alimentation saine. Avec notamment la consommation de graisses saines.

Les aliments dont la consommation doit être limitée

Afin de limiter le mauvais cholestérol, certains aliments ne doivent être consommés qu’avec une très grande modération : beurre, viandes grasses (saucisson, pâté, saucisses, comme indiqué dans notre article sur l’alimentation à avoir pour garder un cœur en bonne santé), crème, fromage, huile de coco, huile de palme, viennoiseries, pâtes à tartiner avec de la graisse saturée, plats préparés.

Quels aliments consommer pour se protéger du mauvais cholestérol ?

Certains fruits et légumes sont particulièrement efficaces pour limiter le mauvais cholestérol :

  • Les amandes (40 grammes par jour) et les noix
  • Les carottes, en alternance avec d’autres fruits et légumes jaunes, oranges ou rouges (melon, pêche, potiron, poivron, tomate)
  • L’ail
  • Les pommes et les poires
  • Les aubergines (qui a aussi pour caractéristique d’être riche en fibres)

Les légumineuses (125 ml par jour) comme les pois chiches, les lentilles ou encore les haricots rouges. Côté recettes, pensez à l’houmous, aux burritos, au chili végétarien, aux soupes et aux salades dans lesquelles vous pouvez ajouter des légumineuses.

Certaines graisses insaturées permettent de réduire les taux de LDL : huiles de graines et de poisson, pâtes à tartiner faites avec des graisses insaturées (huile de colza, huile d’olive, etc.), fruits secs à coque, avocats, légumes (à préférer cuits au four ou à la vapeur).

Pensez également à consommer régulièrement des aliments riches en fibres, en omega-3 et en antioxydants comme l’avoine, le maquereau, les fruits rouges (d’ailleurs le shake Formula 1 existe désormais en saveur framboise et myrtille), ou encore du soja.

Source : Herbalife

Comment s’alimenter avant une course

Comment s’alimenter avant une course

Comment s’alimenter avant une course.  Vous allez bientôt vous élancer pour une course ? Votre préparation à votre course ! Plus largement votre hygiène de vie doivent vous faire manger de manière équilibrée tout au long de l’année. Ainsi votre alimentation quotidienne doit vous apporter les aliments essentiels pour la pratique de sports d’endurance. C’est l’un des points essentiels d’une bonne alimentation avant une course. Bien sûr, ensuite, il faut faire particulièrement aux repas de la veille et du matin de la course de running.

La veille de la course

La veille d’une course, prenez soin de manger léger en limitant les aliments trop gras comme la mayonnaise, les fritures, etc.  Surtout en évitant les aliments peu digestes comme les fibres, les légumes secs et en mangeant sans excès . Ce n’est pas le moment de passer une mauvaise nuit pour cause de digestion difficile !

Ainsi vous pouvez associer une soupe de légumes, une viande ou un poisson maigre.  (poulet, jambon, lapin, merlu, etc.) Avec des glucides lents (riz, pâtes, semoule, etc.) Pour finir, une compote. La veille de certaines courses sont organisées des « pasta-party ».  C’est une bonne manière conviviale de s’alimenter, à condition de ne pas trop manger !

Buvez à volonté de l’eau, et pas d’alcool et respectez un délai d’une heure entre la fin du repas et le coucher !

Le jour de la course

Enfin le jour J. Le dernier repas  souvent un petit déjeuner  doit être pris au moins 3 heures avant le début de la course. Cela permet de s’élancer en ayant terminé sa digestion. (et  donc d’éviter les troubles digestifs qui entraîneraient une baisse de la performance)

Au cours de cette collation, s’il s’agit du premier repas de la journée. C’est ainsi qu’il est conseiller de prendre un petit déjeuner assez classique. (l’énergie requise pour la course viendra du repas de la veille) Si vous manquez d’appétit (ce qui peut arriver lorsqu’on se lève assez tôt, si votre course est assez tôt le matin). Pensez à prendre une barre aux protéines. Une nouvelle fois l’hydratation est capitale, et devra se poursuivre entre ce repas et le début de la course.

Pour sa part, le triathlète Franck Mathieu a par exemple pris la boisson de l’effort « CR7 Drive H24 et la Formula 1 Sport H24 au petit-déjeuner » avant le Triathlon de Gérardmer. « Il ne faut surtout pas changer ses habitudes alimentaires et continuer ce qui marche bien ! » témoigne cet utilisateur de produits Herbalife qui « commence toujours la journée avec un Shake de Formula 1 Herbalife en variant les goûts (chocolat, cookies & cream ou vanille). »

 

Source : Herbalife Nutrition

Comment un jeune parent peut-il se créer des moments sport

Comment un jeune parent peut-il se créer des moments sport

sport-famille-velo

voici des conseils pour trouver le temps de se détendre quand on est parent

Comment un jeune parent peut-il se créer des moments sport

Comment un jeune parent peut-il se créer des moments sport, on le sait : s’accorder des moments de sport est essentiel pour notre équilibre. Pourtant, les jeunes parents, pris dans le rythme effréné de la vie de famille, peuvent négliger ces moments importants. Comment faire pour se procurer ces moments, quotidiens ou hebdomadaires, même lorsqu’on est jeune parent ?

Profitez de tous les opportunités

Soyez à l’affut ! Certes, souvent, le matin et la fin de journée sont deux moments particulièrement chargés pour les parents. Aussi il est important de profiter de tous les moments qui se présentent à vous pour bouger ou pour prendre soin de vous (un bain si vous êtes à la maison, de la lecture si vous êtes dans les transports en commun, prendre l’escalier plutôt que l’ascenseur, se rendre au travail à vélo ou à pied plutôt qu’en voiture, descendre une station de bus, de tram ou de métro avant votre destination, etc.) !

La pause déjeuner constitue aussi une opportunité pour bouger. Au milieu de votre journée de travail, une à deux fois par semaine, profitez-en pour avoir une activité physique. Cela peut, par exemple, être de la marche, du running ou un tour à la salle de sport. Bien entendu, cela ne doit pas vous empêcher de bien manger le midi. Toutefois, si vous aviez moins de temps pour vous sustenter, les substituts de repas se révéleront une alternative bien pratique, comme les boissons nutritionnelles Herbalife qui se consomment sous forme de shakes !

Organisez-vous !

De manière régulière, planifiez une à deux heures de sport toutes les semaines (ou de détente). Et, surtout, respectez ce créneau, comme si c’était un rendez-vous médical immanquable, et organisez vos autres tâches en fonction de cette activité.

Le week-end, accordez-vous du temps détente ou sport pour vous-même. Pour y arriver, sollicitez votre conjoint, votre (belle-)famille, vos amis, pour qu’ils assurent la garde des enfants. Et passez du temps tous ensemble après en guise de remerciement, et dans la plus grande convivialité !

Le sport, ça peut aussi se faire en famille ! Le choix est vaste : piscine, randonnée, vélo… Tout dépend des envies des uns et des autres ! L’essentiel est que chacun y trouve son compte et que tous les membres de la famille pratiquent une activité physique. Si votre enfant est jeune, vous pouvez penser au running avec poussette !

 

Bref, vous l’aurez compris, faire du sport quand on est jeune parent, c’est possible, à condition de s’organiser et d’identifier toutes les opportunités pour intégrer l’activité physique à son mode de vie sain !

Comment ne pas rater sa pause déjeuner

Comment ne pas rater sa pause déjeuner

Business people enjoying salad and salad for lunch in the office

Astuces pour optimiser votre pause déjeuner

Comment ne pas rater sa pause déjeuner

Comment ne pas rater sa pause déjeuner. Si le petit-déjeuner est le socle d’une bonne alimentation, le déjeuner est lui aussi très important. Voici les conseils pour optimiser sa pause déjeuner et rester en pleine forme !

Prendre le temps de manger

Manger trop rapidement provoque de nombreux effets secondaires. En mâchant moins, vous risquez de souffrir de ballonnements. Les signaux de satiété mettant 20 minutes à arriver au cerveau, vous mangerez probablement trop. Et en faisant moins attention à ce que vous mangez, vous perdrez le plaisir que vous aviez à vous alimenter, sans profiter des goûts et textures de vos repas.

Ainsi, la première règle pour bien manger le midi consiste à s’accorder le temps nécessaire pour le faire, soit 20 minutes au grand minimum, et à penser à autre chose qu’à son travail (bref, pas de repas devant son ordinateur !).

Concentrez-vous sur ce que vous mangez et appréciez votre repas : ce moment doit être un temps de plaisir, idéalement à partager en bonne compagnie.

Vous manquez de temps ? Pensez aux substituts de repas !

Exceptionnellement, vous pouvez manquer de temps pour manger. Pas de panique : un écart ponctuel n’est pas grave ! D’autant qu’il existe une solution pratique lorsque vous vous trouvez dans cette situation : les substituts de repas. Faciles à transporter et très rapides à préparer, ils permettent de manger de manière équilibrée (en limitant l’apport calorique et en fournissant à l’organisme les vitamines et nutriments essentiels), même si vous manquez ponctuellement de temps. Prenez par exemple les boissons nutritionnelles Herbalife qui se consomment sous formes de shakes, garantissant un apport en protéines de soja, en lait de haute qualité, en micronutriments et en extraits végétaux.

N’hésitez pas à recourir aux substituts de repas si vous manquez de temps : le pire serait de sauter le déjeuner, ce qui est vivement déconseillé (vous risqueriez de grignoter) !

Ne mangez pas trop tard

Repousser l’heure du déjeuner n’est pas une bonne idée pour la ligne. En effet, manger après 15h augmente le risque de prise de poids, notamment car lorsque vous mangez tôt, vous avez moins tendance à grignoter entre votre petit déjeuner et votre déjeuner !

Que manger ?

Même rapide, votre déjeuner doit être complet. Ainsi, il doit comprendre des sucres lents, d’un légume cuit ou cru, d’une source de protéines (viande, poisson ou œufs), d’un peu de matière grasse, d’un produit laitier, et d’un fruit. Il vous faut donc combiner ces différents éléments comme nous vous l’avions expliqué dans cet article.

Vous avez l’impression de manger toujours la même chose ? Mais avez-vous essayé nos 9 alternatives pour une alimentation plus équilibrée ?

Si vous mangez au travail, et s’il n’y a pas de cantine dans votre entreprise, le mieux est d’amener votre repas. Nos idées de repas prêts en 30 minutes vous inspireront sûrement !

Enfin, évitez les boissons sucrées et privilégiez l’eau, afin d’hydrater correctement votre corps.

Après le repas

Avoir une activité physique après le repas facilite la digestion et empêche les graisses de se fixer. Pensez à marcher (y-a-t-il un parc à proximité de votre lieu de travail où vous pourriez vous aérer durant 30 minutes ?) plutôt qu’à faire une sieste ou à rester assis ! Nous vous rappelons qu’il existe aussi des exercices physiques que vous pouvez réaliser au travail.