Protéines et contrôle de poids

Protéines et contrôle de poids

Protéines et contrôle de poids

Protéines et contrôle de poids. En quoi les protéines aident-elles au contrôle de poids ? Quels sont les aliments qui contiennent des protéines ? Les protéines comptent parmi les nutriments les plus importants de notre alimentation. Ce sont les éléments constitutifs de chacune des cellules de notre corps. Certaines de leurs propriétés sont largement connue et elles contribuent à augmenter et à entretenir la masse musculaire.

Cependant elles sont nécessaires à la fabrication et à la réparation des tissus du corps. Ainsi ils fonctionnent comme des enzymes et des hormones, contribuant ainsi au fonctionnement normal du système immunitaire (1). Toutefois les protéines jouent un autre rôle en matière d’alimentation. Elles peuvent s’avérer utiles dans le contrôle de poids.

En  outre des études d’observation ont montré que les régimes alimentaires riches en protéines étaient associés à un IMC. (Indice de masse corporelle. mesure qui s’appuie sur votre taille et votre poids pour déterminer si votre poids se situe dans les critères de santé) ainsi qu’un tour de taille moins importants (2).

En outre, les recherches ont prouvé que les régimes alimentaires à faible apport calorique et riches en protéines sont plus efficaces que les régimes alimentaires classiques en termes de perte de poids, de réduction de la masse adipeuse, et d’entretien de la masse musculaire (2-7).

Cependant des études ont également montré qu’après la perte de poids initiale, les régimes alimentaires riches en protéines pouvaient être liés à une tendance à prévenir la reprise de poids. Le contrôle de poids est alors plus facile (3-8).

Certains des mécanismes peuvent potentiellement expliquer ces effets. Par exemple augmentation de la satiété et thermogénèse due à l’alimentation et entretien de la masse musculaire. Ils sont associés à une alimentation riche en protéines.

Contrôle de l’appétit

Certaines études ont montré que les protéines nous aidaient à nous sentir plus rassasiés. Cela permet de repousser les symptômes de la faim plus longtemps qu’avec les glucides et les lipides (9). Ces effets sont principalement dus à l’influence de la consommation des protéines sur les hormones de régulation de l’appétit et de la satiété (10-12).

Toutefois, la contribution des protéines dans la gestion de la satiété ne s’illustre pas uniquement dans le caractère plus intense et plus durable de cette sensation suite à un repas riche en protéines. Ces repas produisent une sensation de satiété à moyen terme également (12,13), qui peut se traduire par un apport calorique réduit.

Certaines études l’ont montré, les régimes alimentaires riches en protéines peuvent s’accompagner d’une réduction de l’apport calorique pouvant atteindre 440 Kcal par jour (14). Ainsi ils ont également un effet plus important sur la diminution des envies de manger tard le soir et des fringales en général, que les régimes alimentaires standards. Un élément important à considérer pour qui veut éviter de trop manger le soir et mettre fin au grignotage de fin de soirée (15).

Augmentation de la thermogénèse alimentaire

Si l’on analyse les propriétés des protéines, il est important de tenir compte de l’effet thermique qu’elles ont pendant la digestion. Ainsi la thermogénèse alimentaire, que l’on appelle aussi Effet thermique des aliments, correspond à la quantité d’énergie nécessaire pour digérer, absorber et transformer les nutriments.

Elle représente environ 10 % de la consommation journalière totale d’énergie du corps humain. Elle est influencée par la densité énergétique et la composition en macronutriments d’un repas.

C’est pourquoi les protéines produisent un effet thermique plus important que les glucides et les lipides. En fait, l’effet thermique des protéines est jusqu’à dix fois supérieur à celui des lipides, et trois fois supérieur à celui des glucides (3). Cela signifie que le corps brûle plus de calories lorsqu’il transforme les protéines que lorsqu’il transforme des lipides ou des glucides.

Le rôle de la masse musculaire

Les muscles brûlent trois fois plus de calories que la graisse. Chaque kilogramme de muscle dans le corps brûle environ 14 Kcal par jour, tandis que la graisse n’en brûle que 4,5 (16). C’est pourquoi l’entretien (ou le développement) de la masse musculaire joue un rôle clé et stimule la consommation d’énergie tout au long de la journée.

Toutefois, quiconque se lance dans une alimentation destinée à une perte de poids se trouve confronté à la difficulté de stimuler la perte de masse adipeuse tout en en entretenant la masse musculaire. Plusieurs études ont montré que s’ils permettaient une perte plus importante de poids et de graisse, les régimes alimentaires riches en protéines participaient également à l’entretien de la masse musculaire (6).

En plus de l’activité physique, l’un des stimuli les plus intéressants pour le développement de la masse musculaire, c’est un apport en protéines adapté. Pour optimiser le développement de la masse musculaire, ce n’est pas tant la quantité de protéines qui importe mais plutôt la qualité, le timing et la répartition des protéines au cours de la journée.

Plusieurs études ont montré que pour mieux stimuler les muscles, il faudrait consommer environ 20 g de protéines de qualité par repas, et plus particulièrement après une activité physique (17-21).

En plus une autre étude a également révélé qu’une répartition équilibrée de l’apport en protéines tout au long de la journée (ex : 30 g/repas) était plus intéressante qu’un apport inégal (ex : 10 g au petit déjeuner, 20 g au déjeuner et 60 g au dîner) pour développer la masse musculaire (22).

Pourtant, malgré les études réalisées, les protéines consommées sont souvent mal réparties dans la journée chez les adultes. On retrouve en effet souvent un apport faible au petit déjeuner qui n’atteint pas le seuil de 20-30 g, et un apport généralement trop important au moment du dîner (23).

Sources de protéines

Les bienfaits des protéines dans la gestion de l’appétit et du poids sont prouvés, qu’elles soient d’origine animale ou végétale (24). Les sources de protéines recommandées sont les suivantes : viandes maigres, poisson, produits laitiers, œufs, soja et autres légumineuses, ainsi que les compléments alimentaires riches en protéines.

Références
1 Institute of Medicine. Apports nutritionnels de référence en matière d’énergie, de glucides, de fibres, de lipides, d’acides Gras, de cholestérol, de protéines et d’acides aminés. 2005. Washington, DC: The National Academies Press. https://doi.org/10.17226/10490.
2 Pasiakos SM, Lieberman HR, Fulgoni VL. Les régimes alimentaires plus riches en protéines sont associés à des taux de cholestérol HDL plus élevés, un IMC plus faible et un tour de taille moins importants chez les adultes américains. J Nutr. 2015 Mar;145(3):605-14.
3 Leidy HJ, et al. Le rôle des protéines dans le contrôle et le maintien du poids. Am J Clin Nutr 2015;101(Suppl):1320S–9S.
4 Flechtner-Mors M, et al.Contrôle de poids optimisé au moyen de substituts de repas enrichis en protéines chez les patients atteints du syndrome métabolique. Diabetes Metab Res Rev. 2010 Jul;26(5):393-405.
5 Pesta DH, Samuel VT. Une alimentation riche en protéines pour réduire la masse adipeuse : mécanismes et possibles mises en garde. Nutr Metab (Lond). 2014 Nov 19;11(1):53.
6 Wycherley TP, et al. Effets d’une alimentation à apport énergétique restreint, riche en protéines et pauvre en lipides par comparaison avec une alimentation standard pauvre en lipides : une méta-analyse des essais randomisés contrôlésAm J Clin Nutr 2012;96:1281–98.
7 Layman, DK, et al. Une alimentation avec apport modéré en protéines permet une perte de poids durable et des modifications à long terme en matière de composition corporelle et de taux de lipides sanguins chez les adultes obèses. J Nutr. 2009 Mar;139(3):514-21.
8 Aller, EE., et al. Maintien de la perte de poids chez les sujets en surpoids avec une alimentation à volonté riche ou pauvre en protéines et index glycémique : résultats de l’essai DIOGÈNE sur 12 mois. Int J Obes (Lond). 2014 Dec;38(12):1511-7.
9 Dhillon, J., et al. Les effets d’un apport protéique accru sur la satiété : une méta-analyse et ses limites. J Acad Nutr Diet. 2016 Jun;116(6):968-83.
10 Bowen J et al. Les réponses des hormones de régulation de l’appétit aux diverses protéines alimentaires se différencient par IMC malgré une réduction similaire de l’apport d’énergie à volonté. The Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism.2006; 91(8): 2913-9.
11 Belza A, Ritz C, Sørensen MQ, Holst JJ, Rehfeld JF, Astrup A. Contribution des hormones gastroentéropancréatiques de l’appétit à la satiété induite par les protéines. Am J Clin Nutr. 2013 May;97(5):980-9.
12 Yang D, Liu Z, Yang H, Jue Y. Effet aigu des repas riches en protéines comparé aux repas à apport calorique standard sur la satiété et la ghréline. Eur J Nutr. 2014 Mar;53(2):493-500.
13 Westerterp-Plantenga MS, Nieuwenhuizen A, Tomé D, Soenen S, Westerterp KR. Protéines alimentaires, perte de poids et maintien du poids. Annu Rev Nutr. 2009;29:21-41.
14 Weigle DS et al. Une alimentation riche en protéines induit une réduction de l’appétit, de l’apport calorique à volonté et du poids global, malgré les modifications compensatoires en matière de profil plasmatique de leptine diurne et de concentration de ghréline. Am J Clin Nutr. 2005; 82: 41-8
15 Leidy, H.J.; Tang, M.; Armstrong, C.L.; Martin, C.B.; Campbell, W.W. Conséquences de la consommation fréquente de repas plus riches en protéines sur l’appétit et la satiété pendant la perte de poids chez les hommes en surpoids/obèses. Obesity 2011, 19,818–824.
16 Butte ND and Caballero B. (2014) Évaluation des besoins en énergie et exigences. In: Ross AC, Caballero B, Cousins RJ, Tucker KL and Ziegler TR, eds. Alimentation moderne, santé et maladie, onzième édition. Philadelphia : Wolters Kluwer Health/Lippincott Williams & Wilkins, pp. 88-101
17 Symons TB, et al. Une portion moyenne de protéines haute qualité stimule de façon optimale la synthèse des protéines dans les muscles squelettiques chez les sujets jeunes et plus âgés. J Am Diet Assoc. 2009 Sep;109(9):1582-6
18 Moore DR, et al. Dose de protéines ingérée : réponse de la synthèse des protéines des muscles et l’albumine après un exercice de résistance chez les jeunes hommes. Am J Clin Nutr 2009;89:161–8.
19 West DWD, et al. L’aminoacidémie rapide stimule la synthèse des protéines myofibrillaires et les réponses de signalisation intramusculaire anabolique après un exercice de résistance. Am J Clin Nutr 2011;94:795–803.
20 Areta JL, et al. Le timing et la répartition de l’ingestion de protéines durant une récupération prolongée après un exercice de résistance modifient la synthèse des protéines myofibrillaires. J Physiol. 2013 May 1;591(9):2319-31.
21 Witard, OC. Et al. Taux de synthèse des protéines myofibrillaires suite à un repas en réponse à des doses plus importantes de protéines de petit-lait au repos et après un exercice de résistance. Am J Clin Nutr 2014; 99:86–95.
22 Mamerow MM, et al. La répartition des protéines alimentaires influence de manière positive la synthèse des protéines des muscles sur 24h chez les adultes en bonne santé. J Nutr. 2014 Jun; 144(6): 876–880.
23 Paddon-Jones, D., et al. Protéines et vieillissement optimum. Am J Clin Nutr 2015;101(Suppl):1339S–45S.
24 Neacsu M, Fyfe C, Horgan G, Johnstone AM. Contrôle de l’appétit et biomarqueurs de la satiété dans l’alimentation végétarienne (soja) et l’alimentation riche en protéines à base de viande dans le cadre de la perte de poids chez les hommes obèses : essai croisé. Am J Clin Nutr. 2014 Aug;100(2):548

Pourquoi les en-cas ne sont pas (forcément) du grignotage…

Pourquoi les en-cas ne sont pas (forcément) du grignotage…

 

Pourquoi les en-cas ne sont pas (forcément) du grignotage

Pourquoi les en-cas ne sont pas (forcément) du grignotage…Les encas ne sont donc pas forcément à proscrire. Tout dépend du contenu de la collation !

3 ou 5 repas ?

Certaines personnes prennent 3 repas par jours (petit déjeuner, déjeuner, dîner) quand d’autres font le choix d’y ajouter une ou deux collations : c’est le programme 5 repas par jour.

Les raisons de commencer la journée par un petit déjeuner ne manquent pas : santé, contrôle de poids, entretien de la masse musculaire, peau saine, stimulation du métabolisme, meilleures performances mentales, gain en énergie… Mais quid des collations et des en-cas que l’on peut prendre en cours de journée ? Est-ce (forcément) du grignotage ?

Les bonnes raisons de faire le choix des en-cas

Qu’est-ce qu’un en-cas ? Une collation est un petit repas léger et raisonnable dont l’un des enjeux est de contribuer à équilibrer notre alimentation. En quoi peut-il être intéressant d’en prendre un à deux par jour ?

Une collation pour varier les apports nutritionnels

Ainsi, par exemple, celles et ceux qui ne mangent pas assez de fruits ou de produits laitiers pourront avantageusement opter pour un fruit ou un yaourt afin d’apporter à leur organisme l’ensemble des nutriments nécessaires.

Avoir plus de repas dans la journée permet d’avoir plus d’opportunités d’intégrer les 5 fruits et légumes recommandés, ou les 3 doses de produits laitiers.

Résister au grignotage de mauvaise qualité avec de bons en-cas

L’apport régulier (mais pas continu) de nourriture permet de résister aux « mauvais » en-cas : ceux qui sont trop gras, trop sucrés et/ou trop salés. Prendre une collation, c’est la prévoir en amont, avant que le choix ne soit dicté par l’envie du moment.

Un en-cas pour ne pas avoir de fringale

Corollaire du point précédent : les apports caloriques étant plus fréquents dans un régime à 5 repas que dans un régime à 3 repas, vous risquez moins d’avoir une fringale (et de faire, à nouveau, de « mauvais » choix).

Et quand bien même vous en auriez une, vous consommeriez alors la collation équilibrée que vous auriez prévue en avance !

Moins manger à chaque repas pour contrôler son poids

Manger plus souvent signifie aussi manger moins à chaque repas (oui, l’idée n’est pas de donner trop de calories à son organisme). Et, dans un objectif de contrôle ou de perte de poids, s’habituer à manger moins à chaque repas est idéal !

En-cas équilibrés : une solution adaptée à nos modes de vie

Les collations ont aussi pour avantage de s’adapter à nos modes de vie, comme les déjeuners rapides (parfois trop pour être bien équilibrés) ou les dîners tardifs, ou bien encore la pratique d’une activité sportive en fin de journée. En ce cas, la collation vous permet d’arriver en forme à votre séance de sport!

Bref, transformez le grignotage par la prise d’en-cas choisis avec soin !

Quelques idées de recettes d’en-cas sains

Autre bonne nouvelle : prendre des collations, c’est avoir l’occasion de varier son alimentation ! Les en-cas peuvent prendre de nombreuses formes : barres protéinées, shakes, yaourts, œufs, petits plats à préparer chez soi, etc.

Les chips protéinés : un en-cas salé

Vous cherchez un savoureux en-cas équilibré, riche en protéines, faible en apport calorique, allégé en matière grasse ? Herbalife Nutrition vous propose désormais des Chips protéinés : une collation salée et soufflée (et non pas frite, afin de contenir moins de matières grasses), délicieuse et riche d’un point de vue nutritionnel. Au choix : deux saveurs : Sour Cream & Onion et saveur Barbecue.

Convenant aux végétariens (et aux vegans pour la saveur Barbecue), sans gluten, riches en protéines, les Chips protéinés  sont un délicieux en-cas pratique à déguster partout et tout au long de la journée !

Tri Blend Select : une collation sucrée

Pour varier les plaisirs tout en vous apportant les nutriments clés dont votre corps a besoin, nous vous proposons Tri Blend Select, un shake protéiné avec une faible teneur en sucres, 100% de protéines végétales, et riche en fibres, en vitamine C et en minéraux essentiels !

Vous trouverez sur notre blog de nombreuses recettes faciles d’en-cas et de collations à moins de 150 calories : 12 recettes faciles et 12 recettes diététiques !

Et vous, quels sont vos en-cas préférés ? Comment les utilisez-vous pour éviter les grignotages ?

Source  Herbalife

Comment lutter contre la baisse d’énergie de l’après-midi ?

Comment lutter contre la baisse d’énergie de l’après-midi ?

Comment lutter contre la baisse d'énergie de l'après-midi ?

Comment lutter contre la baisse d’énergie de l’après-midi ? Vous arrive-t-il souvent d’avoir un “coup de barre”, ou de ressentir une légère somnolence après le déjeuner ? Cette baisse d’énergie de l’après-midi n’est pas une fatalité. Voici quelques infos et astuces pour mieux comprendre son origine et savoir l’éviter.

Pourquoi avez-vous une baisse d’énergie dans l’après-midi ?

La baisse d’énergie que vous pouvez ressentir dans l’après-midi a plusieurs origines. Tout d’abord, il faut savoir que votre horloge interne intervient comme régulateur de sommeil. Ainsi une légère somnolence peut s’installer après 6-8 heures d’activité… c’est le fameux coup de barre !

Cette baisse d’énergie est donc naturelle et s’accentue tout particulièrement lorsque vous ne dormez pas assez. Ou bien que votre sommeil n’est pas assez réparateur. Votre corps cherche à compenser durant la journée pour obtenir un quota de sommeil satisfaisant.

Il est donc important d’adopter un rythme de sommeil régulier, en dormant au moins 7h par nuit, pour limiter la somnolence durant la journée.

Enfin, l’alimentation joue un rôle essentiel dans la régulation du sommeil et l’utilisation de l’énergie tout au long de la journée. Ainsi, une alimentation inadaptée ou à un rythme trop anarchique perturbe l’organisme et contribue fortement au “coup de barre” de l’après-midi.

Le rôle des glucides pour avoir de l’énergie tout au long de la journée

Outre le sommeil, l’alimentation est au coeur du problème de baisse d’énergie subi l’après-midi. Ce que vous mangez a une influence directe sur les apports énergétiques dans votre organisme.

Dans la régulation de l’énergie tout au long de la journée, les glucides ont un rôle essentiel, mais il faut être vigilant pour bien les choisir !

En effet, les glucides à base de sucres raffinés et rapides tels que les sodas, le pain blanc, les bonbons ou céréales sucrés soulagent très vite de la sensation de faim et donnent le sentiment de redonner de l’énergie rapidement. Mais ils se digèrent aussi très vite, ce qui fait que leur apport en énergie ne dure pas et laisse rapidement la place à… des appels de sucre et une nouvelle baisse d’énergie.

Il faut donc privilégier des aliments naturellement riches en glucides tels que les légumes, les fruits et les fruits secs qui ont la particularité de diffuser leurs sucres progressivement dans l’organisme et agissent comme des régulateurs d’énergie.

Une solution facile pour être certain d’avoir les bons apports ? Préparez-vous des shakes variés avec nos différentes formules de base et les nombreuses idées recettes !

Les astuces pour lutter contre la baisse d’énergie de l’après-midi

Pour lutter contre la baisse d’énergie de l’après-midi, il y a donc quelques astuces simples et saines à adopter :

  • Prendre des repas et encas équilibrés pour répartir les apports énergétiques sur l’ensemble de la journée
  • Veiller à avoir un apport suffisant en protéines au déjeuner (exemple : filet de poisson ou poulet grillé accompagné de riz et de légumes)
  • Ne pas sauter de repas, ce qui serait contreproductif par effet de compensation
  • S’hydrater tout au long de la journée avec de l’eau, du thé ou des infusions de plantes

Dormir suffisamment et régulièrement

Pourquoi vous devez manger plus d’agrumes ?

Pourquoi vous devez manger plus d’agrumes ?

Pourquoi vous devez manger plus d'agrumes ?

Pourquoi vous devez manger plus d’agrumes ? Quels sont les bienfaits des agrumes pour la santé ? Comment les consommer ? Pourquoi manger des agrumes, ces fruits issus d’arbres de genre citrus. Comme par exemple l’orange, le citron, le pomelo, le pamplemousse, la mandarine, la clémentine ? Avec l’automne, l’hiver est la saison propice pour en consommer !

Les bienfaits des agrumes pour la santé

Les agrumes présentent plusieurs avantages. Ils ont une chair hydratante. Ils sont (en conséquence car fortement composés d’eau) pauvres en calories, mais riches en fibres . (ce qui aide à la digestion et contribue au sentiment de satiété, idéal pour contrôler sa faim et donc son poids).

Riches en vitamine C, les agrumes participent à la formation du collagène, protéines qui entre dans la composition des os et de la peau.

Les agrumes sont aussi un antioxydant qui permet de diminuer les inflammations. Enfin, ils permettent de lutter contre le stress, la fatigue chronique et la nervosité. Autrement dit, grâce à leurs acides citriques et à leurs sels minéraux, ils mettent de bonne humeur !

Idées de recettes aux agrumes

En shake

Sensation exotique : sur My Herbalife Shake, Audrey Panchard a proposé sa recette de shake avec de l’orange. Pour réaliser le « sensation exotique », mélangez 1 dose de Formula 1 Fraise, 1 dose de Formula 1 Fruit Tropical, 250 ml de boisson d’amande, 1 dose de Formula 3 PPP, une demi-orange, 1 kiwi et 4 glaçons.

Orange Gingembre : toujours sur Share a Shake, Nathalie Mourier livre sa recette de shake avec de l’orange. Pour faire son « Shake Orange Gingembre », mélangez deux cuillères de Formula 1 Cookies and Cream, une demi-orange, une pincée de gingembre, quelques grains de raisin, 8 grammes d’amandes, 250 ml d’eau et 14 grammes de mélange pour boisson protéinée.

En salade

Recette de salade verte mélangée à la vinaigrette aux fines herbes, au fenouil, à l’orange et aux agrumes

Pour la vinaigrette, mélangez 80ml d’huile d’olive extra-vierge, 3 cuillères à soupe de jus de citron frais, 1 cuillère à café de sucre, de miel ou de sirop d’agave, 1 cuillère à café de moutarde, du sel et du poivre.

Pour la salade : prévoyez de la salade (laitue, batavia, feuille de chêne… essayez d’avoir plusieurs couleurs de feuille), deux bulbes de fenouil, 2 oranges fraîches, pelées, coupées en deux et tranchées finement, et 1 cuillère à soupe de feuilles d’aneth frais.

Pour réaliser la salade, mélangez les ingrédients de la vinaigrette dans le fond d’un saladier assez grand pour contenir l’ensemble des ingrédients. Ajoutez les feuilles de salade, le fenouil râpé, les tranches d’orange et l’aneth. Mélangez soigneusement et servez immédiatement

Science et Petit-déjeuner qu’apprenons-nous ?

Science et Petit-déjeuner qu’apprenons-nous ?

Science et Petit-déjeuner qu'apprenons-nous ?

Science et Petit-déjeuner qu’apprenons-nous ? Que nous apprend la science à propos du petit déjeuner ? Herbalife fait le point : importance du repas, perte de poids, contrôle de poids, etc Le petit déjeuner est le premier repas de la journée. Il sert à mettre fin au jeûne de la nuit. Ainsi Il est généralement consommé dans les 2 à 3 heures qui suivent le réveil. Et donc on estime que le petit déjeuner devrait apporter 15 à 20 % de l’apport énergétique quotidien. Cette proportion varie en fonction de l’âge, du sexe, des besoins journaliers en énergie et du style de vie.

Le petit déjeuner : un repas trop souvent sauté

Cependant l’habitude du petit déjeuner semble se perdre lorsque l’enfant entre en adolescence. Dans certains cas ils y reviennent une fois adultes. Mais il existe toujours une proportion de la population qui saute quotidiennement le petit déjeuner (1). Une étude menée en Angleterre sur 481 adolescents a montré que 18% du groupe sautaient le petit déjeuner pour différentes raisons. Cela semble être le cas dans la plupart des pays d’Europe. Bien qu’on note une certaine souplesse quant aux groupes d’aliments à consommer, un petit déjeuner riche en protéines, en nutriments, en glucides (céréales, graines, fruits et/ou légumes) est considéré comme essentiel pour reconstituer les réserves en nutriments. Notamment le glycogène, après le jeûne de la nuit (2).

Sience et petit-déjeuner qu’apprenons-nous ? Ce que doit apporter le petit déjeuner

En outre, On conseille de choisir des aliments riches en protéines, comme les œufs, les viandes maigres, les viandes végétales (protéines végétales), les légumineuses, les fruits à coque et les produits laitiers. Ce qui fait que ces aliments riches en protéines sont également intéressants pour les vitamines A, D et B qu’ils contiennent. Ainsi que les minéraux, comme le calcium, le potassium, le zinc, le fer, la choline, l’acide linoléique. Les fruits à coque apportent des acides gras monoinsaturés, des acides gras polyinsaturés, des fibres alimentaires, des vitamines E et K, des folates, du magnésium, du cuivre, du sélénium et du potassium.

Cependant si vous supprimez un ou plusieurs de ces groupes d’aliments de votre petit déjeuner.  Vous aurez des difficultés à atteindre les quantités recommandées en nutriments. L’idéal est de réussir à atteindre 10 à 20 % des Valeurs Journalières de Référence (VJR) en vitamines, minéraux et fibres avec ce premier repas (1).

Il faut éviter de sauter les repas

En outre le fait de sauter un repas, plus particulièrement le petit déjeuner, est associé à une alimentation moins équilibrée. Une concentration en adipocytes au niveau de l’abdomen et plusieurs facteurs de risques cardio-métaboliques (3 et 4). Au quotidien, le petit déjeuner s’accompagne d’un grand nombre de bienfaits sur le plan de la santé physique et intellectuelle. Les études ont montré que les personnes qui prennent un petit déjeuner adoptent des comportements alimentaires plus équilibrés.  Et bénéficient de risques réduits pour la santé, tout en optant pour les bons choix alimentaires.

En d’autres termes, les adeptes du petit déjeuner ont généralement de meilleures habitudes alimentaires dans la journée. Ces habitudes ont des conséquences positives sur l’état général de santé.. Elles facilitent le contrôle de poids et la consommation de nutriments en quantités équilibrées qui participent à la lutte contre certaines maladies, etc. Le petit déjeuner peut stimuler les réponses métaboliques et hormonales des individus et ainsi réduire le nombre total de calories ingérées pendant le reste de la journée. Les personnes ont alors un plus grand contrôle sur les hormones qui régulent la faim (5).

Le petit déjeuner, une composante essentiel du contrôle de poids

Contrairement à ce que beaucoup pensent, sauter le petit déjeuner n’aide en rien à contrôler son poids (6). De plus, les chercheurs ont remarqué qu’un petit déjeuner riche en protéines pouvait être associé à une plus grande maîtrise de l’appétit. Et une diminution au quotidien de l’envie de manger. Ces éléments rendent le contrôle de poids plus facile (7). Une étude a en effet montré qu’il existait une association bénéfique entre la prise du petit déjeuner et des mesures anthropométriques normales. Ainsi les personnes qui prennent un petit déjeuner avaient plus de chances d’afficher un IMC dans la fourchette normale (8). Pour beaucoup, les bonnes habitudes du petit déjeuner ne sont pas simples à adopter. Mais faire les bons choix en fonction de vos besoins propres vous aidera à intégrer cette bonne habitude et à la tenir.

Références :
  1. O’Neil, C. B.-B., C. Hayes, D. Jana, L. Klinger,SE. Stephenson, Martin. . (2014). Le rôle du petit déjeuner sur la santé : Définition et critères du petit déjeuner de qualité. J Acad Nutr Diet, 3(S8-S26).
  2. Mullan et al. (2014). Une analyse démographique prévisionnelle de la consommation, du contenu et du contexte du petit déjeuner chez les adolescents. BMC Public Health. 14:64
  3. Ma, Y. B., ER. Stanek, EJ. Reed, GW. Hebert, JR. Cohen, NL. Merriam, PA. Ockene, IS. (2003). Association entre les schémas d’alimentation et l’obésité sur une population d’adultes américains vivant en liberté. American Journal of Epidemiology, 158(1), 85-92.
  4. Smith, K. G., SL. McNaughton, SA. Bizzard, L Dwyer, T. Venn, AJ. (2010). Sauter le petit déjeuner : associations longitudinales avec les facteurs de risque cardiométaboliques dans les déterminants à l’enfance d’une étude sur la santé des adultes. American Journal of Clinical Nutrition. 92(6), 1316-1325.
  5. Chowdhury, E. R., JD. Tsintzas, K. Thompson, D. Betts, JA. (2015). Le petit déjeuner riche en glucides atténue la réponse glycémique, insulinémique et en ghréline à un déjeuner à volonté par rapport au jeûne du petit déjeuner chez les adultes minces. British Journal of Nutrition. 114, 98.
  6. Cho, S. D., M. Brown, C. Clark, CA. Block, G. (2013). L’effet du type de petit déjeuner sur l’apport énergétique journalier et l’indice de masse corporelle : Résultats de la troisième enquête nationale d’Examen de Santé et de Nutrition (NHANES III). Journal of the American College of Nutrition, 22(4), 296.
  7. Leidy, H. H., HA. Douglas, SM. Higgins, KA. Shafer, RS. (2015). Un petit déjeuner riche en protéines évite la prise de poids par la réduction de l’apport journalier et de la faim chez les adolescents qui sautent le petit déjeuner. Obesity. 23(9), 1761.

 

Comment gérer les repas de fêtes quand on veut perdre du poids

Comment gérer les repas de fêtes quand on veut perdre du poids

Comment gérer les repas de fêtes quand on veut perdre du poids

Comment gérer les repas de fêtes quand on veut perdre du poids. La période des fêtes de fin d’année peut être difficile à aborder lorsque l’on souhaite perdre du poids. Gros repas qui se répètent, sucreries,… les tentations sont nombreuses. Heureusement des astuces simples peuvent vous permettre de profiter de ces repas sereinement.  Sans vous priver et sans mettre en danger vos efforts !

Lorsque l’on souhaite perdre du poids, la période des fêtes de fin d’année est à risque. Pour ne pas mettre à mal tous vos efforts, quelques astuces suffisent pour adopter les bons réflexes.  Et aider votre organisme à gérer un gros repas.

Garder une alimentation équilibrée pendant les fêtes

Une des clés pour maintenir vos objectifs de perte de poids pendant les fêtes, est de garder une alimentation équilibrée.

Bien que cette solution soit parfois très tentante, pas question de se priver ou de sauter des repas !

En effet, on sait que le phénomène de privation est contre-productif lorsque l’on souhaite perdre du poids.  Puisque le corps va immédiatement stocker les mauvaises graisses au repas suivant.

De plus, la privation entraîne une frustration, l’appétit n’est plus régulé et votre corps va instinctivement compenser au repas suivant avec des aliments gras et sucrés.

Etablissez un planning de repas équilibrés, répartis tout au long de la journée en y intégrant des collations pour éviter les grignotages.

Privilégiez les fruits, légumes de saison riches en vitamines, poissons et viandes dites “blanches” à faible teneur en graisse.

N’hésitez pas à intégrer dans votre alimentation des aliments “détox”. Tels que le chou rouge, les épinards, l’ananas ou encore le cranberry. Ils vont permettre à votre corps de mieux éliminer les toxines contenues dans les aliments riches des repas de fêtes (graisses, sucres…).

S’hydrater et limiter la consommation d’alcool

Un de vos pires ennemis durant un gros repas de fête : l’alcool. Celui-ci est très riche en sucres, en particulier le champagne. qui est souvent un invité incontournable des fêtes de fin d’année !

Combiné aux aliments riches consommés en fin d’année, l’alcool accélère le stockage des graisses.

Évitez ce piège et gardez le cap sur vos objectifs de perte de poids. En limitant la consommation de boissons alcoolisées. Vous pouvez par exemple choisir de ne prendre qu’un verre à l’apéritif. Ou bien en prenant seulement des demi-verres durant le repas.

Pour compenser la déshydratation provoquée par l’alcool et limiter ses effets nocifs sur votre poids, une seule solution : boire de l’eau !

Buvez de l’eau en quantité suffisante tout au long du repas pour aider votre corps à éliminer naturellement le sucre et les toxines.

Astuces pour gérer les repas de fête quand on veut perdre du poids

  • prendre une collation avec une pomme 15-20 minutes avant le début des festivités : celle-ci permettra de réguler votre satiété et donc de manger plus raisonnablement.
  • choisir ses aliments pendant le repas : orientez-vous davantage vers les poissons et crustacés, limitez les sauces (y compris la sauce de salade !) et privilégiez les desserts à base de sorbet plutôt que la bûche pâtissière.
  • rester actif pendant les fêtes : ne relâchez pas vos efforts, l’activité physique régulière permet de réguler l’organisme.
  • dormir suffisamment : un sommeil régulier durant les semaines précédant les fêtes aidera votre organisme à mieux gérer les sensations de faim mais aussi à limiter l’installation des mauvaises graisses. L’idéal avant un gros repas ? S’accorder une sieste !
Source : Herbalife