Comment optimiser vos entraînements en salle de sport ?

Comment optimiser vos entraînements en salle de sport ?

Nous faisons tous la même erreur lorsqu’il s’agit d’entraînement. Pour ces raisons écoutons 4 conseils utiles et faciles à mettre en œuvre de Samantha Clayton, Vice-présidente du département Worldwide Sports Performance and Fitness au sein de Herbalife  pour que vous obteniez des résultats et que vous ne risquiez pas de vous blesser en salle de sport.

Si vous voulez renforcer votre musculature, évitez les blessures inutiles liées au sport ou augmentez votre efficacité dans une discipline particulière. Vous devez faire l’effort d’apprendre les bonnes techniques pour bien réaliser les exercices.

Souvent dans les salles de sport, on constate que les gens choisissent un exercice parce que ça fait bien ou parce qu’ils ont observé une personne en train de le faire. Le problème, c’est qu’ils ne savent pas s’ils font les mouvements correctement et le découvrent uniquement si on le leur dit ou lorsqu’ils se blessent.

Lorsque vous faites du sport en salle, les exercices que vous choisissez ne sont pas là pour vous donner bonne figure. Chaque exercice sert un objectif particulier et sollicite un muscle ou un groupe musculaire spécifique. Pour tirer le maximum de chacun des exercices, vous devez absolument les faire correctement.

Une technique inadaptée peut augmenter le risque de blessures, en particulier si vous soulevez des poids dans le cadre de votre entraînement. Le fait de soulever des poids impose une forte contrainte au corps. Il existe des techniques conçues tout spécialement pour que vous puissiez le faire en toute sécurité. Si vous ne les respectez pas, vous sollicitez inutilement certaines zones du corps, comme le dos, les épaules ou encore les genoux.

Si vous faites l’effort d’apprendre à réaliser les exercices correctement, vous serez sûr de tirer un maximum de bénéfices de votre programme de renforcement musculaire, sans risquer de vous blesser.

Utilisez le miroir

Regardez-vous lorsque vous faires les exercices. Assurez-vous du bon équilibre. Vérifiez que vous ne portez pas plus sur un côté. Ajustez votre mouvement si nécessaire.

Visionner des vidéos

Ayez bien en tête ce à quoi tel ou tel exercice doit ressembler avant de l’essayer vous-même. Vous pouvez faire appel à un entraîneur, regarder des vidéos ou consulter la littérature sur le sujet.

Prenez votre temps

La progression, surtout en termes de volume et d’intensité, est le piège le plus important. En faire plus n’est pas toujours ce qu’il y a de mieux à faire. Donnez de vous-même pendant les entraînements mais écoutez votre corps et apprenez à déceler le moment où il convient de ralentir un peu. Essayez de conserver la même intensité plusieurs semaines. Quand l’exercice devient facile, c’est qu’il est temps de passer à l’intensité supérieure. En faire trop trop vite ne pourra que vous nuire.

Veillez à ce que les poids ne soient pas trop lourds

Ne vous sentez pas obligé de soulever des poids trop lourds pour vous. Pour savoir s’ils sont trop lourds, écoutez votre corps. Si vous ne parvenez pas à un mouvement fluide, suivi d’une tenue de posture naturelle, ou si vous devez retenir votre souffle, c’est le signe que vous devez revoir les poids à la baisse. Par ailleurs, il faut impérativement maîtriser les mouvements sans poids avant de se lancer avec.

Les exercices ne devraient pas provoquer de douleur. Si vous souffrez, c’est que votre posture n’est pas bonne. Arrêtez immédiatement et ajustez votre posture pour pouvoir réaliser l’exercice correctement. Si vous souffrez toujours, évitez cet exercice.

Lors de votre prochaine séance, prenez le temps d’évaluer votre posture et votre ressenti. Le corps est conçu pour réaliser des mouvements naturellement. Vous devriez vous sentir à l’aise dans tous les mouvements. Amusez-vous et assurez-vous de tirer le maximum de vos entraînements.

Les nouvelles recommandations du Programme National Nutrition Santé

Les nouvelles recommandations du Programme  National Nutrition Santé

Les nouvelles recommandations du Programme National Nutrition Santé

En 2019, le Programme national nutrition santé a publié de nouvelles préconisations pour la santé de tous. On vous propose d’en faire le tour dans cet article.

Qu’est-ce que le Programme national nutrition santé ?

Connu sous l’acronyme « PNNS » est, depuis le début des années 2000, un programme qui a pour objectif l’amélioration de l’état de santé de l’ensemble de la population en agissant sur l’un de ses déterminants majeurs : la nutrition.

Il publie régulièrement de nouvelles recommandations.

Les recommandations 2017 du PNNS

Ainsi, par exemple, en 2017, le PNNS recommandait de limiter la consommation de viande rouge (500 grammes / semaine), de charcuterie, de boissons sucrées, de sel ainsi que de matières grasse.

A l’inverse, il recommandait de privilégier les poissons et fruits de mer, les fruits et légumes, les légumineuses, et les produits à base de céréales complètes ou bien peu raffinées.

En 2019, les recommandations du Programme national nutrition santé sont :

Les nouvelles préconisations du PNNS (ou « PNNS 4 ») fournissent 12 repères nutritionnels, mais pas que ! En voici la synthèse.

Ce qu’il faut augmenter selon le PNNS 4

La version 2019 du Programme national nutrition santé recommande de privilégier :

  • Les fruits et légumes : au moins 5 par jour
  • Les légumes secs (lentilles, haricots, pois chiches…) : au moins 2 fois par semaine
  • Les fruits à coque (noix, noisette, amandes, pistaches…) : une petite poignée par jour
  • Le fait maison
  • L’activité physique : au moins 30 minutes d’activités physiques dynamiques par jour.

Ce vers quoi il faut aller selon le PNNS 2019

Pour le PNNS 4, il faut se tourner vers :

  • Le pain complet, les pâtes, le riz et la semoule complètes : au moins un féculent complet par jour
  • La consommation en alternance de poissons gras et de poissons maigres
  • Certaines huiles comme celles de colza, de noix et d’olive
  • Une consommation raisonnable de produits laitiers (suffisante, mais limitée)
  • Les aliments de saison
  •  Consommer les produits localement
  • Les aliments biologiques

Ce qu’il faut réduire selon le nouveau Programme national nutrition santé

La version 2019 du PNNS préconise :

  • L’alcool
  • Les produits sucrés et les boissons sucrées
  • Les ultra-transformés
  • Les produits salés
  • La charcuterie (pas plus de 150 grammes / semaine)
  • La viande (porc, bœuf, veau, mouton, agneau, abats) : pas plus de 500 grammes / semaine (la volaille est à privilégier).
  • Les produits avec un Nutri-Score D et E
  • Le temps passé assi

Besoin de vous faire accompagner ? N’hésitez à nous contacter

Le site officiel du PNNS : www.mangerbouger.fr/PNNS/

Comment raffermir les fesses avec ces 6 exercices ?

Comment raffermir les fesses avec ces 6 exercices ?

Comment raffermir les fesses avec ces 6 exercices ?

Un entraînement ciblé sur le bas du corps peut brûler des calories et vous aider à tonifier les membres inférieurs.

Certains magazines ont tendance à focaliser sur l’esthétique des fessiers. Mais parlons plutôt de la chaîne musculaire postérieure pour augmenter la résistance et l’esprit de performance.

Les muscles ischiojambiers, les mollets et les fessiers sont les muscles de fond de la course à pied et de bien d’autres sports. Quelle que soit la raison qui vous pousse à vouloir renforcer vos muscles postérieurs !  Le fait d’ajouter des exercices sollicitant le bas du corps plusieurs fois par semaine vous aidera à vous rapprocher de vos objectifs.

Les exercices sollicitant le bas du corps pour renforcer les fessiers

Pour effectuer ces exercices vous aurez besoin d’un marchepied, d’une barre lestée et de deux haltères. Si vous n’en disposez pas ? Servez-vous du poids de votre corps. Répétez chaque mouvement 12 fois, et effectuez 2 à 3 séries de chaque.

Pour bien réaliser ces exercices, rendez-vous sur YouTube pour découvrir la vidéo Herbalife Nutrition qui présente les 6 exercices.

1. Squat multidirectionnel avec barre

  • Sollicite votre coordination, fait travailler les fessiers et les muscles internes des cuisses.

2. Pied sur un banc, fente avant

  • Travaille les quadriceps et les fessiers tandis que le genou met le muscle fléchisseur de la hanche à l’épreuve.

3. Box jumps

  • Mouvement du corps tout entier qui sollicite les fessiers, les mollets et les muscles profonds.

4. Curtsy lunge, suivie d’un soulevé de terre à une jambe

  • Fait travailler l’extérieur des muscles fessiers et les ischiojambiers.

5. Haltères genoux et mains, talon-fesses (bootie lift)

  • Parfait pour travailler les muscles profonds, les ischiojambiers et les fessiers.

6. Soulevé latéral genoux et mains, talon-fesses

  • Se concentre sur les hanches et les fessiers.

Ajoutez certains ou tous ces exercices à votre entraînement, deux à trois fois par semaine.

Si vous souhaitez ajouter un peu de course à pied à votre programme d’entraînement du bas du corps !  N’oubliez pas que la course de vitesse ou en côte stimule le renforcement musculaire. Cela peut vous aider à sculpter vos fessiers.

Herbalife Nutrition vous conseille une séance de course de vitesse une fois par semaine dans un entraînement de style fractionné. Ensuite vous  alternez pleine vitesse pendant 15 secondes et 30 secondes de jogging. Répétez ce combiné 8 fois. Précédé d’un échauffement et suivi d’une phase de récupération . Ainsi vous aurez travaillé vos fessiers efficacement et de manière équilibrée.

Si vous cherchez à développer votre musculature dans cette zone  ? Veillez à combiner vos entraînements avec une nutrition globale optimisée, avec une attention toute particulière portée à votre consommation de protéines.

On se sent tous bien mieux quand on travaille à modeler son corps. Lui assurer une bonne santé. Et dans vos efforts pour atteindre vos objectifs de composition corporelle et de silhouette ! N’oubliez pas que nous sommes tous différents et que la silhouette résulte de la génétique et du mode de vie. Votre alimentation et votre pratique d’une activité physique vous aideront à sculpter votre silhouette dans une certaine mesure.

Mais ne soyez pas trop déçu si votre capital génétique ne vous permet pas d’obtenir la silhouette de rêve que vantent les magazines. Il y a de grandes chances pour que ces images soient retouchées.

Source :  Samantha Clayton, vice-présidente du département Fitness et performances sportives mondiales au sein d’Herbalife Nutrition

Découvrez les tendances nutrition pour 2019 !

Découvrez les tendances nutrition pour 2019 !

Découvrez les tendances nutrition pour 2019 !

Regardez dans votre frigo. Y a-t-il une brique de lait végétal ou des aliments enrichis en probiotiques ? Si c’est le cas, vous avez le droit de penser que vous êtes à l’avant-garde des tendances nutritionnelles de cette année.

La nutrition se développe et évolue en permanence. Il est donc intéressant de discuter des tendances à venir. En 2019, nous observerons un regain de popularité de nutriments ayant connu la gloire il y a quelques années. Aussi, nous voyons l’apparition d’alternatives créatives aux produits laitiers et un vaste débat sur les différents aspects du jeûne.

1. Tendances nutrition 2019 : les protéines végétales

Les protéines ont la cote depuis quelque temps déjà. Les protéines végétales ont semble-t-il particulièrement le vent en poupe. En voici peut-être les raisons :

  • L’augmentation du nombre de personnes ayant choisi de réduire leur consommation de viande (les flexitariens). Ou d’adopter un régime végétarien. Ou bien  un mode de vie végane. Un rapport d’Innova Market Insights paru l’an dernier (1) indique que 38 % des consommateurs américains ont déclaré manger des repas sans viande au moins une fois par semaine. En Allemagne et au Royaume-Uni, les chiffres sont encore plus élevés (69 et 53 % respectivement).
  • Prise de conscience écologique. Selon l’Agence de Protection de l’Environnement américaine. L’agriculture est à l’origine de l’équivalent de 54 millions de tonnes d’émissions de dioxyde de carbone aux États-Unis chaque année. Et enfin 42 % des émissions agricoles proviennent de l’élevage (2).
  • 1 bis. Les bienfaits supplémentaires pour la santé des protéines végétales.
  • Contrairement aux protéines animales. Elles ne contiennent pas de cholestérol et relativement peu de graisses saturées. De plus, elles apportent d’autres bienfaits nutritionnels que les protéines animales n’ont pas. Comme les phytonutriments.

Pour ces raisons,il sera intéressant d’observer l’évolution du marché des produits à base de protéines végétales. Les tendances telles que l’apport contrôlé en glucides. Ou les aliments sans gluten poussent les gens à être plus attentifs à ces allégations validées. En revanche ils ignorent souvent le reste des ingrédients et l’apport calorique par portion.

Résultats :

Les fabricants créent de plus en plus d’aliments végétaux qui se rapprochent de la viande . (des steaks végétaux par exemple). Mais si ces derniers contiennent beaucoup de graisse. Ils peuvent s’avérer plus caloriques qu’un steak de viande.

Comme ce fut le cas avec de nombreuses tendances alimentaires ! II est important pour les consommateurs de bien savoir que le terme « végétal ». S’il peut sembler rassurant, ne garantit en rien le fait qu’un aliment soit plus sain que celui à base de viande auquel il prétend se substituer.

Il faut bien lire les informations nutritionnelles pour savoir si le produit est vraiment équilibré. N’oubliez pas, vous devez retourner l’emballage. Ne vous fiez pas aux allégations sur le dessus de l’emballage.

2. Tendances nutrition 2019 : les alternatives aux produits laitiers

La boisson d’amande est l’une des alternatives non laitières au lait les plus populaires. Mais c’est la boisson d’avoine qui devrait se démarquer en 2019.

La boisson d’avoine gagne en popularité parce qu’il est légèrement sucré. Nous devrions également voir apparaître d’autres laits moins communs . Comme ceux issus de fruits à coques ou de graines comme les noix de pécan ou les graines de sésame.

Il existe même un lait en cours de développement, qui affiche les mêmes protéines (caséine et petit-lait) que le lait de vache. Mais que l’on obtient sans le concours d’aucune vache. Les créateurs de cette entreprise produisent les protéines par le biais d’un processus impliquant des levures et la fermentation. (similaire à la fabrication de la bière).  Aussi ils s’associent à des entreprises laitières ou alimentaires afin de proposer aux consommateurs des produits laitiers sans lait de vache dans un avenir proche.

Il est important de souligner que, parmi les alternatives au lait, on trouve tout et son contraire en matière de contenu nutritionnel. Les principaux nutriments que les gens recherchent dans le lait de vache sont les protéines, le calcium et la vitamine D. Hors, certaines alternatives au lait en contiennent relativement peu.

N’oubliez pas que la boisson de riz et la boisson d’amande, à moins d’être enrichis en protéines, n’apportent qu’1g de protéine pour 100g, contre 8g pour le lait de vache.

3. L’orge, céréale de l’année 2019

Chaque année voit sa céréale préférée. Il y a quelques années, tout tournait autour du quinoa. Cette année, ce sont les produits à base d’orge qui ont la cote.

Reste à voir si cette céréale concrétisera son succès. L’année dernière, on a vu quelques produits à base de sorgho. Mais leur popularité se fait attendre.

L’orge est une céréale très ancienne. Elle se distingue des autres céréales complètes car elle contient beaucoup de fibres solubles. Les fibres solubles sont excellentes pour le système digestif. Elles participent également au contrôle de la glycémie et du taux de cholestérol.

L’orge suit très facilement d’autres tendances puisqu’il ne contient naturellement pas de gluten.

4. Tendances nutrition 2019 : digestion et bien-être

Pour beaucoup, il semble que ce soit la digestion qui dicte leur humeur. Nous sommes très à l’écoute de notre digestion. Alors que nous ne nous demandons jamais comment se portent nos poumons par exemple.

Le bien-être digestif dépend en partie du bon équilibre des bactéries qui peuplent les intestins (le microbiote) . Il peut également tirer profit de la consommation de probiotiques. Les probiotiques sont des bactéries vivantes créées naturellement via un processus de fermentation. On les trouve notamment dans le kimchi (légumes lactofermentés, le yaourt, la choucroute et le miso).

L’alimentation occidentale n’est pas très portée sur les probiotiques. Pour compenser, nous trouvons de nouvelles façons d’introduire davantage de probiotiques dans notre tractus digestif.

Les compléments riches en probiotiques sont très à la mode. Tout comme les aliments riches en probiotiques. Parmi eux, certains ont retenu mon attention. Comme une eau gazeuse et des céréales de petit-déjeuner enrichies en probiotiques.

5. Tendances nutrition 2019 : le jeûne intermittent

L’expression « jeûne intermittent » peut être troublante. En effet, il existe plusieurs manières de l’aborder. Au sens le plus simple, le jeûne intermittent correspond à un schéma d’alimentation qui alterne alimentation et jeûne. Il en existe plusieurs variantes.

Certains programmes prônent l’abstinence totale pendant une journée. Ou bien un peu plus par semaine. D’autres préconisent le 5:2. Soit une alimentation quasi normale pendant 5 jours. Suivie d’une alimentation à très faible apport calorique les 2 jours suivants.

Certains adoptent ce type d’alimentation pour contrôler leur poids. D’autres pensent que cette pratique favorise la longévité.

Selon une étude menée par des chercheurs de l’Institut National du Vieillissement. Les différentes façons de contrôler le moment auquel les calories pénètrent notre corps ont des conséquences sur notre métabolisme.

Par exemple:

dans une variante du jeûne intermittent connue sous le nom de Time-Restricted Feeding (TRF ou alimentation en temps restreint). Les calories sont consommées dans un intervalle de 8 heures. Suivi de 16 heures de jeûne. Les premiers résultats de l’étude suggèrent que la TRF pourrait jouer un rôle dans les événements suivants :

  • Réduction de la masse adipeuse
  • Stimulation de la conversion de la graisse blanche en graisse brune, qui augmente la dépense énergétique.
  • Amélioration du métabolisme, notamment la tolérance au glucose.

Concrètement :

Cela signifie que toutes les calories doivent être ingérées entre 10h et 18h par exemple. Ce que beaucoup peuvent trouver très contraignant. Surtout si tout le monde dans le foyer ne suit pas cette forme d’alimentation.

Les bienfaits du jeûne intermittent font l’objet d’un véritable débat. Les études sur l’homme en sont encore aux balbutiements. En effet, les caractéristiques génétiques et les facteurs environnementaux sont extrêmement variables d’une personne à l’autre. Il y aura donc probablement autant de variabilité dans la réponse de chacun au jeûne intermittent. Il nous reste beaucoup à apprendre sur le sujet, mais cette tendance mérite d’être étudiée.

Et vous, vous retrouvez-vous dans certaines de ces tendances nutrition pour 2019 ?

Source : Susan Bowerman, Directrice, Responsable de la formation mondiale en Nutrition pour Herbalife Nutrition

Tout savoir sur les bienfaits de la cryothérapie

Tout savoir sur les bienfaits de la cryothérapie

Tout savoir sur les bienfaits de la cryothérapie

La « cryothérapie corps entier » (ou CCE) est un traitement de l’organisme par le froid. Herbalife vous révèle tout sur cette pratique.

Cryothérapie : un peu d’histoire

Faisons d’abord un petit retour dans le temps . Le fait de prendre des bains froids existe depuis… l’Antiquité (vers 2000 avant notre ère) !

Mais le traitement par le froid (spray froid, vessie de glace…) n’a intéressé le milieu scientifique que dans les années 1970. Ainsi, au Japon, la première chambre de cryothérapie est mise au point en 1978. (un caisson où la température est baissée à… -164° !)

Dans les années 2010. Le milieu sportif professionnel intègre de plus en plus des séances de cryothérapie afin d’optimiser la récupération après l’effort.

En quoi consiste la cryothérapie ?

Comment se passe une séance de cryothérapie corps entier (CCE) ?

La cryothérapie en chambre est un traitement par le froid . Cela  consiste à placer le corps d’une personne dans une pièce ou dans un caisson dont la température est d’environ −110°C pendant une durée très courte.  (entre 2 et 4 minutes)

Lors d’une séance de traitement par le froid. Le sujet est équipé de protections aux pieds et aux mains ainsi que pour les oreilles et la bouche (qui sont les parties du corps humain les plus sensibles au froid). ( se présenter en maillot de bain ajusté et sec)

Durant la séance, la température extérieure de la peau diminue d’environ 10 degrés, tandis que la température du corps reste quant à elle stable.

Une séance se déroule sous le contrôle permanent des professionnels du centre où se fait la séance.

Quels sont les bienfaits de la cryothérapie corps entier ?

L’objectif d’une séance de CCE est de créer un choc thermique pour stimuler des réactions physiologiques positives.

Les bénéfices de la cryothérapie corps entier pour les sportives et sportifs

Dans le cadre d’une pratique sportive soutenue ou professionnelle, la cryothérapie corps entier aide à récupérer après une échéance sportive (effort de longue durée…) . Egalement lors des périodes d’entraînement avec une charge importante.

La CCE est également utilisée en traumatologie sportive (articulaire et musculo-tendineuse), pour une guérison plus rapide.

Les bienfaits de la cryothérapie corps entier en termes de soins

La CCE peut être intégrée pour le traitement de certaines pathologies :

  • Pour l’appareil musculo-squelettique: dans le cadre de rhumatismes inflammatoires (polyarthrite rhumatoïde par exemple). Dans le cadre de rhumatismes dégénératifs (arthrose), en cas de tendinites, pour les lombalgies chroniques, pour l’ostéoporose, etc.,
  • Du point de vue neurologique : sclérose en plaque, troubles de l’humeur, etc.,
  • Atteintes cutanées inflammatoires : psoriasis, eczéma, etc.,
  • Pathologies respiratoires inflammatoires,
  • Amélioration du bilan lipidique (cholestérol).

Les atouts de la cryothérapie corps entier en matière de bien-être

Plus généralement, pour l’organisme, la CCE est indiquée pour les troubles de l’humeur et du sommeil. Aussi pour les migraines et les acouphènes, tout en ayant une action sur le système immunitaire et un effet lissant sur la peau.

Comment trouver un centre de cryothérapie ?

Une recherche sur un moteur de recherche vous aidera. Avant toute prise de contact, consultez le site du centre et identifiez les conditions d’accès (par exemple, un certificat médical peut être demandé) . Il existe des contre-indications (troubles cardio-vasculaires, insuffisance cardiaque…).

Et vous, avez-vous déjà pratiqué la cryothérapie corps entier ?

Quels sont les aliments avec un faible index glycémique ?

Quels sont les aliments avec un faible index glycémique ?

Quels sont les aliments avec un faible index glycémique ?

L’indice glycémique (IG), comme nous vous l’avons expliqué dans un précédent article, est un critère de classement des aliments qui contiennent des glucides. Cela permet de connaître les effets sur le taux de glucose dans le sang (c’est-à-dire la glycémie) durant les deux heures suivant leur ingestion.

Il permet de comparer le pouvoir glycémiant de chaque aliment. Plus l’index glycémique d’un aliment est important, plus le taux de glucose dans le sang s’élève rapidement après sa digestion.

Les index glycémiques sont classés comme suit :

  •  faible < 35
  • moyen entre 35 et 50
  •  fort > 50

En conséquence Il est recommandé d’éviter les aliments ayant un index glycémique supérieur à 50. Ceci afin de favoriser une alimentation pauvre en glucides.

Quels sont les aliments à faible index glycémique ?

D’abord, précisons bien que tout aliment n’a pas forcément d’indice glycémique : un aliment qui ne contient pas de glucide (comme les viandes ou les poissons – sauf préparation) n’en a pas !

Les aliments avec un indice glycémique de 0

  • Amande
  • Avocat
  • Courge (cuite)
  • Fromage de chèvre
  • Noisette
  • Les noix de macadamia
  • Noix de pécan
  • Les noix fraîche
  • Œuf à la coque
  • Pâtisson

Liste des aliments avec un index glycémique inférieur à 35

  • Les abricots ou abricots sec
  • Abricot séché
  • Ail
  • Amande
  • Artichaut
  • Asperge
  • Aubergine
  • Avocat
  • Baie de Goji
  • Betterave crue
  • Blette
  • Boisson d’amande
  • Les boissons d’avoine
  • Boisson d’avoine, boisson de soja
  • Brocoli
  • Brugnon
  • Les cacahuète
  • Cacahuètes grillées salées
  • Cannelle
  • Carotte (crue)
  • Cassis
  • Céleri rave cru
  • Le céleri-branche
  • Cerise
  • Champignon
  • Chou blanc , Chou-fleur
  • Choucroute
  • Citron
  • Clémentine
  • Cœur de palmier
  • Coing
  • Concombre
  • Cornichon
  • Courgette
  • Échalote
  • Endive
  • Épinard
  • Falafel
  • Farine d’amande
  • Farine de noisette, farine de soja
  • Fenouil
  • Les figues
  • Figues sèches
  • Flageolet
  • Fraise
  • Framboise
  • Fromage blanc
  • Fruit de la passion
  • Gingembre
  • Graines germées
  • Grenade
  • Groseille
  • Haricot beurre
  • Haricot blanc,  coco,Haricot rouge
  • Les haricots vert
  • Houmous
  • Lait de vache (entier, demi-écrémé ou écrémé)
  • Lentille, lentilles corail, vertes
  • Mandarine
  • Mûre
  • Myrtille
  • Navet cru
  • Noisette
  • Noix
  • Les noix de cajou
  • Noix de coco, noix de pecan
  • Oignon
  • Olive
  • Orange
  • Pamplemousse
  • Pêche
  • Persil
  • Pistache
  • Poireau
  • Pois cassés
  • Pois chiche
  • Poivron
  • Prune
  • Quinoa
  • Radis
  • Rhubarbe
  • Roquette
  • Salade
  • Salsifis
  • Tomate
  • Tomate séchée
  • Vermicelle
  • Yaourt maigre aux fruits

Aliments ayant un indice glycémique inférieur à 50 à intégrer dans une alimentation pauvre en glucides

  • Banane jaune
  • Boulgour complet
  • Carotte (cuite)
  • Chocolat au lait
  • Chocolat noir (70%)
  • Fève (crue)
  • Grains de blé complet
  •  d’ananas, de carottes
  • Jus de pamplemousse
  • Jus de pommes
  • Jus de raisin
  • Jus de tomate
  • Lentilles vertes séchées cuites à l’eau
  • Nougat
  • Orange
  • Orange pressée
  • Pain au seigle noir
  • Pain aux céréales
  • Patate douce cuites
  • Pâtes aux œufs
  • Pêche
  • Petits pois
  • Poire
  • Pomme
  • Prune
  • Pruneau
  • Raisin
  • Riz blanc
  • Riz complet
  • Yaourt nature

Rappel : des facteurs font varier un index glycémique

L’index glycémique d’un même aliment varie en fonction de plusieurs facteurs . A cause du mode de cuisson, la forme de l’aliment, l’association avec d’autres aliments, etc.

Comment intégrer plus d’aliments avec un indice glycémique bas dans votre alimentation

Et vous, comment faites-vous pour avoir une alimentation pauvre en glucides ?