Les signaux de la faim : Apprenez à écouter votre corps

Les signaux de la faim : Apprenez à écouter votre corps

Blank notebook on plated with spoon and fork

Entraînez vous à reconnaître les signaux de la faim

Les signaux de la faim : Apprenez à écouter votre corps

Les signaux de la faim : Apprenez à écouter votre corps. Le corps envoie des signaux très clairs pour nous dire quand manger et quand arrêter. Le corps émet des signaux on ne peut plus clairs lorsqu’il a besoin d’attention. Mais l’écoutons-nous vraiment ?

Vous savez interpréter ce que vous dit votre corps lorsque vous avez la bouche sèche. Lorsque vos paupières sont lourdes ou lorsque votre vessie est pleine. Et si vous êtes capable d’ignorer ces signaux pendant quelque temps ! Tôt ou tard, il vous faut boire, dormir ou faire un passage aux toilettes.

Si vous considérez la faim et la satiété de la même manière, alors vous pourrez apprendre à réguler les quantités que vous consommez. On ne ressent pas tous la faim de la même manière. La plupart ont l’estomac qui gargouille. Certains ressentent quelques vertiges ou ont du mal à articuler leurs pensées lorsque leur glycémie chute entre les repas. Mais ce sont tous des signaux clairs que votre corps vous adresse pour vous faire comprendre qu’il commence à manquer de carburant. Et lorsque votre estomac se remplit ! Des signaux nerveux sont envoyés au cerveau, qui vous indique que vous avez suffisamment mangé. Il est alors temps d’arrêter.

Lorsque nous avons soif, nous buvons, sans en faire trop, jusqu’à ce que notre corps nous fasse comprendre que la soif est passée. Mais quand vous mangez ? Vous arrêtez-vous lorsque vous sentez que vous n’avez plus faim ? Ou posez-vous votre fourchette parce que vous êtes repu ? Ou vous arrêtez-vous parce que votre assiette est vide ou parce que vous avez réussi à terminer le plat ?

Apprendre à reconnaître les signaux naturels du corps et y répondre de manière appropriée requiert un peu d’entraînement

Essayez de tenir un journal sur le sujet pendant quelques jours. A chaque fois que vous mangez, évaluez votre faim sur une échelle de 1 à 10 (1 signifiant que vous vous sentez faible et que vous êtes affamé, et 10 signifiant que vous êtes repu et que vous vous sentez presque nauséeux) avant et après le repas. Dans l’idéal, commencez à manger lorsque votre faim se situe à 3 ou 4, c’est-à-dire que votre estomac gargouille un peu et vous vous sentez prêt à manger. Arrêtez-vous lorsque vous en êtes à 5 ou 6, à savoir lorsque votre appétit est satisfait sans que vous sous sentiez trop repu.

Vous verrez que ce petit exercice peut vous aider à reprendre la communication avec votre corps. Lorsqu’il vous fait savoir qu’il a besoin de carburant, n’ignorez pas les signaux. Si vous avez pour habitude d’attendre d’être affamé (1 ou 2 sur l’échelle de la faim), vous risquez de manger trop (9 à 10 sur notre échelle). Entraînez-vous à manger la quantité dont votre corps a besoin, pour vous sentir bien, satisfait, sans aller jusqu’à la satiété totale.

 

Sources : Susan Bowerman est Responsable de la formation en Nutrition pour Herbalife. Elle est diététicienne professionnelle et spécialiste de la diététique sportive.

Tout savoir sur les oméga 3

Tout savoir sur les oméga 3

grilled salmon with salad and nuts

Que sont les oméga 3

Tout savoir sur les oméga 3

Les oméga-3 : on en a tous entendu parler. Mais quel est leur rôle dans l’organisme et, surtout, comment en consommer suffisamment ?

Que sont les oméga-3 ?

Les oméga-3 appartiennent à la famille des lipides. Ces corps gras apportent de l’énergie très concentrée à l’organisme. Mais aussi des nutriments indispensables, comme les acides gras essentiels, dont les oméga-3. Comme les oméfa-6, les oméga-3 sont des acides gras essentiels car ils sont nécessaires à l’organisme qui ne peut les produire lui-même.

Pourquoi est-il important de manger des oméga-3 ?

Les oméga-3 présentent de nombreux atouts pour la santé. D’abord, ils réduisent le risque de maladies cardiovasculaires (ils fluidifient le sang, diminuent la pression artérielle et favorisent le bon cholestérol). Ensuite, ils ont des effets sur le cerveau et la dépression, et préviennent la dégénérescence maculaire liée à l’âge.

D’où l’importance d’intégrer les oméga-3 dans son alimentation équilibrée !

Comment consommer des oméga-3 ?

L’organisme n’est pas capable de synthétiser les Oméga-3. Il faut donc s’en procurer ailleurs. Or la plupart des régimes alimentaires occidentaux  n’intègrent que peu les acides gras oméga-3 à chaîne longue (EPA et DHA). (à l’inverse du régime méditerranéen ou du régime Okinawa). Les apports nécessaires recommandés en oméga-3 sont de 2 grammes par jour alors qu’on n’en consomme au plus que 0,6 gramme par jour (source : Afssa) !

Une supplémentation est souvent nécessaire. Ainsi, Herbalifeline est un complément alimentaire riche en acides gras essentiels Oméga-3 EPA et DHA, qui contribuent à une fonction cardiaque normale.

Côté alimentation, pour atteindre les apports recommandés en oméga-3, il est recommandé de manger un poisson gras 2 à 3 fois par semaine. (saumon idéalement sauvage, flétan, hareng, maquereau, anchois, sardines, thon…).

Les noix sont une autre source intéressante d’oméga-3.  Pensez-y pour agrémenter vos repas et vos recettes de salade. De même, les graines de lin accompagneront vos plats, vos salades et vos laitages.

Certaines huiles sont également riches en oméga-3 : de chanvre, de lin, de noix et de colza. D’autres huiles, moins courantes, contiennent aussi des oméga-3 : huile de germe de blé, huile de soja, huile de cameline, huile de phoque et huile de perilla. Les huiles de noix et de noisette ne doivent pas être chauffées ; celle de colza peut l’être sans atteindre son point de fumée (qui est de 240°C, température à partir de laquelle l’huile de colza se décompose et se dénature).

Vous pouvez aussi consommer des légumes verts à feuilles comme de la mâche, du chou, de la laitue, des épinards, etc.

 Bref, vous l’aurez compris, quelques réflexes permettent de manger suffisamment d’oméga-3. Intégrer des poissons gras dans ses menus, varier les huiles, penser aux légumes verts à feuille et ne pas hésiter à se tourner vers un complément alimentaire !

Votre perte de poids stagne Voici des solutions

Votre perte de poids stagne Voici des solutions

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Voici nos conseils

Votre perte de poids stagne Voici des solutions

Avez-vous atteint un palier dans votre perte de poids ? Votre programme d’entraînement est au point mort et vous sentez que vous n’atteindrez jamais vos objectifs ? Ne vous inquiétez pas, vous n’êtes pas seul(e) dans ce cas. Comment faire pour vous remettre sur les rails et recommencer à voir des résultats ?

Si vous avez le sentiment de suivre votre programme d’entraînement et de nutrition correctement ! Mais que vos résultats ne semblent pas représenter l’ensemble de votre travail, voici des conseils simples mais efficaces pour vous.

Atteindre un palier lors d’une remise en forme ou d’une perte de poids  ! C’est un problème très commun dans le monde de la performance sportive et de la perte de poids en général. Il existe de nombreuses théories sur la raison pour laquelle nos corps atteignent parfois un blocage temporaire frustrant. Mais, en pensant différemment, vous pouvez vous nourrir de cette frustration et recommencer à voir des résultats.

Votre perte de poids stagne Voici des solutions

Tout ce que vous devez faire, c’est vous reposer quelques jours afin de relancer vos résultats. Il faut que vous fassiez quelque chose de totalement différent pour remettre votre corps sur les rails et passer outre votre palier. Si vous êtes prêt(e) à vous débarrasser de votre palier ou à éviter de vous retrouver face à un autre palier à l’avenir !  Le repos est sûrement l’ingrédient magique dont vous avez besoin.

Être cohérent avec votre niveau d’activité et votre programme de nutrition.  C’est une stratégie importante lorsqu’il s’agit de performances sportives, de contrôle de poids et de remise en forme. Mais avez-vous déjà entendu ce proverbe : « Il ne faut pas abuser des bonnes choses » ? Ces propos sont particulièrement véridiques lorsqu’il s’agit de surmenage. Pousser son corps à l’épuisement peut être synonyme de catastrophe pour les objectifs de perte de poids et de niveau de forme. Un palier peut arriver à tout moment si vous ne prévoyez pas un certain temps qualitatif d’inactivité dans votre programme.

Voici les bonnes raisons pour lesquelles un repos est parfois plus bénéfique qu’une séance d’exercices.

Éviter la fatigue

Votre corps a souvent besoin de se régénérer. La façon la plus efficace pour lui de se guérir naturellement est de se reposer. Des muscles surmenés et des articulations soumises à des efforts excessifs ne fonctionnent plus aussi bien. Heureusement, notre corps nous alerte lorsque nos muscles atteignent leur limite de travail. Vos récepteurs de douleur rendront vos mouvements inconfortable.  Vos articulations peuvent devenir sensibles lorsque vous poussez votre corps à son maximum. Le système nerveux a également besoin de temps pour se reposer afin de s’adapter et de s’améliorer grâce à l’entraînement.

Il faut toujours écouter votre corps et vous reposer si vous êtes fatigué(e).

Cycle naturel

Les athlètes s’entraînent par cycle pour une bonne raison. L’entraînement peut varier d’un athlète à un autre.  Mais un facteur commun à chaque programme d’entraînement de tous les athlètes est la planification à l’avance de jours de repos. L’une des principales raisons du repos des athlètes est d’éviter la fatigue. Cependant reposer leur corps aide également les athlètes à éviter un surmenage ou des blessures liées au stress. De nombreux athlètes constatent une amélioration dans leur performance générale après s’être accordé du repos loin de l’entraînement.

Un corps bien reposé obtiendra de meilleurs résultats qu’un corps fatigué.

Faire briller la lueur d’excitation

Vous faites travailler votre corps tous les jours ? vous pouvez vous enfermer dans une routine et l’intensité de votre entraînement est susceptible de chuter sans même vous en rendre compte.

Avez-vous déjà vu un chien qui n’a pas été promené pendant quelques jours ? Dès que le chien sort à nouveau, c’est comme s’il découvrait un monde nouveau.  Il est tout excité. Eh bien, c’est à peu près la même chose pour nous les humains. Lorsque nous faisons du sport. Prendre un jour ou deux loin de la routine quotidienne d’entraînement peut vous faire repartir, avec un investissement renouvelé et un certain enthousiasme.

De nombreux facteurs peuvent influer sur vos résultats mais si le surentraînement est l’un d’entre eux. Il est facile de le corriger en se reposant pendant un ou deux jours. Permettre à son corps de se reposer suffisamment. Afin qu’il puisse être plus fort lors de votre prochaine séance d’entraînement est une approche intelligente pour obtenir des résultats durables.

Vous n’avez qu’un corps, alors utilisez-le judicieusement.

Mais qui dit ajouter quelques jours de repos à vos semaines d’entraînement intense ne revient pas à trouver une excuse pour vous asseoir sur le canapé. et ne rien faire tout le temps ! Un simple changement de routine ou des activités de plus faible intensité.  Comme une promenade ou une nage agréable, sont des activités que vous pouvez faire lors de vos jours de repos. Cantonnez vos « jours-canapés » complètement inactifs à quelques jours par an !

 

Source : Article écrit par Samantha Clayton, AFAA, ISSA. Samantha est Directrice de Fitness Education chez Herbalife.

Comment préparer sa peau pour l’hiver

Comment préparer sa peau pour l’hiver

Comment préparer sa peau pour l'hiver

Prendre soin de sa peau

Comment préparer sa peau pour l’hiver

Comment préparer sa peau pour l’hiver. Il reste quelques semaines avant d’affronter l’hiver. Autant anticiper et préparer sa peau pour qu’elle souffre le moins possible. Entre la baisse de la luminosité, les températures qui chutent, l’accumulation de stress. Celle-ci est en effet mise à rude épreuve à cette période de l’année. Mais les parades existent !

Avec la pluie, le vent, peut-être la neige, la chute des températures, la nuit qui tombe tôt, et la fatigue accumulée depuis la rentrée.  Sans compter celle à venir avec les fêtes de fin d’année, difficile d’avoir un teint éclatant qui respire la sérénité. On le sait.  En hiver la peau est malmenée, alors mettons vite en œuvre quelques règles de base pour partir la mieux armée possible.

Hydrater sans modération

C’est presque une évidence. Pour lutter contre les agressions de l’hiver, la peau doit avant tout être hydratée. Pour qu’elle ne tiraille pas, et qu’elle reste bien lisse, on applique généreusement chaque matin une crème hydratante. Si possible qui protège aussi contre les UV. On peut même glisser le tube dans son sac à mains au cas où une application s’avérerait utile en milieu de journée. Même réflexe le soir après s’être démaquillée, on nourrit son visage avec une crème de nuit. Enfin, petit bonus, on s’accorde une fois par semaine un masque purifiant afin de régénérer la peau en profondeur.

Exfolier et nettoyer

Autre stress infligé à la peau, parce qu’on a tendance à se maquiller davantage en hiver pour se donner meilleure mine : le manque de respiration. Pour déboucher les pores encrassés par le maquillage et la pollution, on veille à bien nettoyer sa peau. À commencer par l’application d’une lotion nettoyante, adaptée à son type de peau, qui redonnera éclat et fraîcheur. Une à deux fois par semaine, on complètera cette action quotidienne par un gommage du visage. En le débarrassant de ses peaux mortes, il favorisera une meilleure absorption de la crème.

Boire, manger et dormir

Hydrater sa peau, c’est aussi hydrater son corps en veillant à boire beaucoup. Un réflexe moins évident en hiver, alors qu’on n’éprouve pas la sensation de soif. Pour atteindre la consommation recommandée de 1,5 litres d’eau par jour, on fractionne les prises : plusieurs verres d’eau au cours de la journée, à commencer par un grand verre au réveil, une tasse de thé à 10h, une autre vers 16h et le tour est joué ! Et pour avoir un teint le plus lumineux possible, on puise directement à la source en consommant béta-carotène, antioxydants et vitamines ! Bien traiter son corps, en le nourrissant avec des produits de saison, rejaillit sur l‘éclat de la peau.

Enfin, sachez que toutes ces astuces seraient vaines sans une bonne nuit de sommeil, ne serait-ce que pour éviter les cernes.

Tout ce que vous devez savoir sur les fibres

Tout ce que vous devez savoir sur les fibres

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que sont les fibres

Saviez-vous qu’il existe plusieurs types de fibres alimentaires ? Manger un large éventail d’aliments d’origine végétale vous aidera à répondre à tous vos besoins. Mais parlons plutôt des fibres en détail pour que vous puissiez réellement comprendre les bénéfices de chaque type de fibres.

Vous savez probablement que la plupart des gens ne mangent pas assez de fibres. Mais ce que vous ne savez peut-être pas.  C’est qu’en plus de manger suffisamment de fibres, vous devez également manger suffisamment des types de fibres différentes. Les fibres ne fonctionnent pas toutes de la même manière : chaque fibre a des effets différents sur le corps.

Que sont les fibres et de combien en avez-vous besoin ?

Pour faire simple, la fibre est le composant structurel des aliments d’origine végétale que vous pouvez trouver dans les légumes, les fruits entiers, les légumineuses et les graines. (comme le maïs ou le riz complet). Il n’y a pas de fibres dans la viande, ni dans le poisson.

Il faudrait en manger 25-30 grammes par jour . Quand, en réalité, la plupart d’entre nous n’en consomme environ que 10 grammes par jour. Nous passons à côté des bénéfices sur la santé des fibres alimentaires.

Elles facilitent évidemment la digestion, mais les aliments riches en fibres donnent également cette sensation de satiété. Elles aident donc à contrôler la faim. De plus, certaines fibres favorisent également la croissance des bactéries bénéfiques dans votre tube digestif.

Si vous ne mangez pas suffisamment de fibres, il est préférable d’en augmenter progressivement la quantité ingérée. Ajouter trop de fibres à votre alimentation d’un seul coup pourrait conduire à des douleurs abdominales et à des flatulences. Allez-y doucement pour permettre à votre système de s’adapter. De plus, boire beaucoup de liquide permet aux fibres de se ramollir et de gonfler.

Différents types de fibres : qui sont-elles et que font-elles ?

Il existe deux grandes catégories de fibres alimentaires : les fibres solubles et les fibres insolubles.

On trouve les fibres solubles, en très grande concentration dans les pommes, les oranges, les carottes, les pommes de terre, l’avoine, l’orge et les légumineuses. Comme leur nom l’indique, les fibres solubles se dissolvent simplement dans l’eau. Et quand elles se dissolvent, elles épaississent. Si vous avez déjà cuisiné avec de la farine d’avoine à la maison !  Vous avez probablement remarqué que, au fur et à mesure de la cuisson, celle-ci s’épaississait et devenait gluante. En effet, les fibres solubles dans l’avoine se dissolvent dans le liquide, rendant votre farine d’avoine épaisse et un peu collante.

Quand elles entrent en contact avec le liquide dans votre estomac, elles gonflent et épaississent. C’est pourquoi elles vous aident à rester rassasié(e). Les fibres solubles ralentissent également l’absorption de glucose (le sucre) dans le sang et peuvent donc aider à maintenir un taux de sucre dans le sang constant tout au long de la journée. Elles sont également le repas favori des bactéries saines à l’intérieur de votre tube digestif inférieur, ce qui les encouragent à se multiplier.

Les fibres insolubles participent également à la santé de votre système digestif, mais d’une manière différente. Elles ne se dissolvent pas dans l’eau. Au contraire, elles absorbent simplement l’eau dans le tube digestif inférieur et gonflent. Ce type de fibre, qu’on trouve principalement dans les légumes, le son de blé, de maïs et de riz. Egalement dans la plupart des autres graines entières, accélère le passage des déchets à travers votre système digestif. Elles aident donc à réguler votre métabolisme.

Il existe un autre type de fibres intéressant, appelé « amidon résistant ». Les fruits, les légumes, les céréales et les légumineuses contiennent différents types de glucides : les sucres, les amidons et les fibres. Habituellement, les amidons se décomposent en sucre individuel durant le processus de digestion mais certains esquivent tout simplement la digestion. Les haricots, les bananes et l’avoine sont les principales sources de ces « amidons résistants » qui offrent certaines des propriétés des deux fibres, solubles et insolubles.

Puisque l’amidon résistant ne se décompose pas (et reste plus ou moins intact lors de son déplacement à travers le tube digestif), il retient l’eau, prend du volume et aide à la régulation, un peu comme les fibres insolubles. Cependant, l’amidon résistant agit aussi comme les fibres solubles, offrant un véritable festin pour les bactéries saines qui vivent dans votre intestin grêle. Il peut également contribuer aux hausses brusques du taux de sucre dans le sang, un peu comme le font les fibres solubles dans l’eau.

Comment différencier une fibre soluble d’une fibre insoluble ?

Il est assez facile de différencier ces deux fibres. Quand vous faites de la soupe à l’orge ou que vous faites bouillir des pommes de terre, vous pouvez facilement voir le liquide s’épaissir. C’est parce que l’orge et les pommes de terre ont une forte teneur en fibres solubles. Par contre, quand vous cuisinez du riz complet, un grain entier riche en fibres insolubles, vous verrez qu’il ne colle pas. Tout simplement parce que les fibres ne se dissolvent pas. Au lieu de cela, le riz absorbe simplement l’eau lors de la cuisson, ce qui provoque le gonflement des grains.

Un autre moyen de constater cette différence consiste à ouvrir une boîte de lentilles (riches en fibres solubles) puis à ouvrir une boîte de maïs, un grain qui contient des fibres essentiellement solubles. Les haricots comme le maïs sont conditionnés dans de l’eau. Mais si vous regardez de plus près le liquide dans chaque boîte, vous pourrez voir la différence. Puisque les fibres présentes dans le maïs sont insolubles, le liquide à l’intérieur de la boîte paraît aqueux, pas collant ni gluant. Mais le liquide dans la boîte de haricots est beaucoup plus épais, parce que les fibres solubles présentes ont épaissi l’eau dans laquelle les haricots baignent.

Conseils pour augmenter votre apport en fibres 

  • Préférez les fruits entiers avec la peau aux jus de fruits
  • Mangez un fruit entier en dessert
  • Mangez des légumes entiers variés, cuisinés ou crus, et savourez-les à volonté
  • Privilégiez le pain, les céréales et les biscuits et les produits au blé complet aux produits fabriqués avec de la farine blanche raffinée
  • Utilisez des tortillas de maïs plutôt que celles au blé
  • Utilisez du riz complet, du riz sauvage, du millet, de l’orge ou du blé concassé pour remplacer le riz blanc
  • Ajoutez des légumineuses aux soupes, ragoûts, chilis et salades.

Si vous avez du mal à satisfaire votre apport en fibres, vous pouvez utiliser des compléments alimentaires ou une boisson riche en fibres, comme la boisson multi-fibres d’Herbalife.

Source : Article écrit par Susan Bowerman, MS, RD, CSSD, FAND, consultante pour Herbalife

Les aliments à privilégier pour éviter l’hypercholestérolémie

Les aliments à privilégier pour éviter l’hypercholestérolémie

sack of nut and red delicious apples with flowers

choix nutritifs faire pour éviter l’hypercholestérolémie

Les aliments à privilégier pour éviter l’hypercholestérolémie

 L’hypercholestérolémie est un trouble de la circulation du cholestérol qui se retrouve en trop grande quantité dans le sang. Elle constitue avec l’obésité, le diabète et l’hypertension artérielle, un des facteurs de risque majeurs d’athérosclérose générant des maladies cardiovasculaires. Deuxième cause de mortalité en France.

Ces facteurs de risque sont induits principalement par :

  • la sédentarité,
  • une mauvaise alimentation,
  • le tabagisme,
  • une consommation excessive d’alcool,
  • le stress.

 Les aliments à privilégier pour éviter l’hypercholestérolémie, origine et rôle du cholestérol

Le cholestérol fait partie des lipides qui jouent, dans l’organisme, deux rôles majeurs :

  • un rôle de stockage de l’énergie. Dans ce cas les lipides sont sous forme de triglycérides, présents notamment dans les tissus adipeux,
  • un rôle structural. Dans ce cas, ils sont sous forme de phospholipides et entrent dans la composition des membranes des cellules.

Il est le précurseur des hormones stéroïdiennes (œstrogènes, testostérone, etc.). C’est également un élément important des membranes cellulaires, notamment au niveau du cerveau. Il est indispensable à la fabrication de la vitamine D. C’est le constituant essentiel de la bile.

Dans l’organisme, il provient :

  • soit de l’alimentation,
  • soit de l’organisme lui-même.

Comme les autres lipides, le cholestérol est transporté dans le sang sous forme de lipoprotéines.

Donc, dans l’alimentation, le cholestérol est exclusivement apporté par les produits d’origine animale.

Bon et mauvais cholestérol

Le foie fabrique la plus grande part du cholestérol et l’élimine.

Il existe un double circuit sanguin de distribution : le cholestérol va du foie vers les tissus et des tissus vers le foie :

  • les lipoprotéines à basse densité (LDL) transportent le cholestérol du foie vers les tissus, où il est capté. Quand il y a trop de cholestérol, celui-ci s’accumule dans les parois artérielles. C’est lui que l’on nomme le mauvais cholestérol (LDL-cholestérol),
  • les lipoprotéines à haute densité (HDL) transportent le cholestérol des tissus vers le foie, en vue de son élimination. On parle alors de bon cholestérol (HDL-cholestérol).

Enfin, pour connaître les valeurs de référence, vous pouvez consulter notre guide sur le cholestérol.

Le foie, organe essentiel, est extrêmement sensible aux mauvaises graisses, dites saturées, contenues dans l’alimentation, qui le poussent à fabriquer plus de cholestérol que nécessaire et qui diminuent ses capacités à l’éliminer. Ces graisses saturées se trouvent dans le lait entier, les viandes grasses, les abats, toutes les graisses animales, les charcuteries grasses, les pâtisseries, les gâteaux apéritifs, les barres chocolatées et certains plats industriels cuisinés

conseils diététiques

  • Surveiller son poids
  • Avoir une activité physique régulière
  • Arrêter l’alcool et le tabac
  • Eviter le grignotage non diététique
  • Adopter une alimentation saine et équilibrée, avec 30% de lipides
  • Réduire la consommation d’aliments riches en graisses saturées (graisses solides à température ambiante) ou d’origine animale
  • Privilégier les matières grasses végétales (huiles d’olive, de colza) et diversifier les huiles.
  • Préférer les matières grasses allégées
  • Consommer davantage d’aliments riches en fibres
  • Faire attention aux excès de sucres
  • Manger 5 fruits et légumes par jour, 4 produits laitiers demi-écrémés par jour, 3 portions de glucides ou féculents (pain, pâtes, riz) par jour, 2 fois du poisson par semaine, et l’équivalent de 1 cuillère de graisse par jour.

Enfin des choix nutritifs contre le cholestérol

Voici des aliments peuvent contribuer à abaisser le cholestérol tout en s’insérant dans une alimentation saine et équilibrée.

L’avoine

Elle contient un type de fibres solubles appelé bêta-glucane, qui se lie au cholestérol dans le système digestif et l’élimine naturellement de l’organisme. L’orge possède les mêmes propriétés.

Les noix

Elles possèdent une combinaison idéale de graisses insaturés et de fibres qui réduit naturellement le taux de cholestérol. Les noix contiennent également des stérols végétaux uniques, qui imitent le cholestérol et le remplacent sainement dans l’organisme.

Les légumineuses

Les pois chiches, les lentilles, les fèves de soya et les haricots rouges contiennent beaucoup de fibres solubles afin d’empêcher que le cholestérol ne soit absorbé par l’organisme.

Les légumes et les fruits

Les légumes et les fruits ont des propriétés fonctionnelles diverses qui contribuent à réduire le taux de cholestérol.

Les protéines de soja

La consommation régulière de 25 à 30 g par jour de protéines de soja est associée à une baisse de 10 à 15 % du taux de LDL cholestérol.

Des compléments alimentaires

Des compléments alimentaires comme Beta Heart (qui peut se consommer avec de l’eau, un jus de fruit ou un shake) peuvent également vous aider à réduire ou maintenir un bon niveau de cholesterol.

Source : Article rédigé par Jacques Manic, diplômé de la faculté de médecine et membre du Comité International pour la Nutrition Herbalife.