Une approche nouvelle de l’alimentation

Une approche nouvelle de l’alimentation

[ File # csp12790250, License # 3000160 ]Licensed through http://www.canstockphoto.com in accordance with the End User License Agreement (http://www.canstockphoto.com/legal.php) (c) Can Stock Photo Inc. / CITAlliance

Astuces

Une approche nouvelle de l’alimentation. La nouvelle année a commencé, c’est le moment de modifier votre alimentation. Trouvez de nouvelles associations d’ingrédients, découvrez comment choisir les aliments les plus sains grâce aux 6 conseils pour une approche nouvelle de l’alimentation.

Manger mieux – Une affaire personnelle

Si l’on prend les choses dans l’ordre, les éléments de base qui composent une alimentation équilibrée sont plutôt simples : des protéines maigres, beaucoup de fruits et légumes, quelques féculents sous forme de céréales complètes ou de haricots secs, un peu de « bonnes » graisses pour ajouter du goût et du liquide pour bien s’hydrater. À vous ensuite de les combiner sous forme de repas et c’est parti. Le secret pour tenir le cap, c’est de choisir des aliments que vous aimez manger et qui sont également bons pour vous. Et il y en a beaucoup, croyez-moi.

Il existe des milliers d’aliments différents. Vous devriez donc trouver votre bonheur et au bout de quelques essais, vous saurez ce que vous aimez. Ce n’est pas parce que tout le monde mange du chou Kale, que vous devez en consommer vous aussi, alors que vous en détestez le goût. Les légumes verts en feuille ne manquent pas et offrent des qualités nutritionnelles similaires. Se forcer à manger des ingrédients que l’on déteste, uniquement parce qu’ils sont bons pour la santé, ne peut donner de bons résultats.

Six astuces pour optimiser votre alimentation  – Choisissez bien vos protéines

La difficulté consiste à ne pas tomber dans le piège des protéines qui s’accompagnent d’une grande quantité de graisses. Si vous avez tendance à préférer les morceaux gras, les saucisses et la viande hachée comme source de protéines, essayez de réfléchir à des alternatives. Pour commencer, le plus simple consiste à remplacer la viande hachée par de la volaille hachée. Dans la plupart des recettes, la différence reste discrète. Quand vous êtes prêt à ajouter encore des protéines, envisagez le poisson. Vous pouvez commencer par ce qui vous est le plus familier, comme des crevettes ou encore du thon en conserve.

Prenez vos recettes habituelles et voyez où vous pourriez remplacer les viandes plus grasses. Dans une sauce pour pâtes, par exemple, un sandwich, etc. Les haricots en conserve sont très pratiques. Leur goût n’est pas trop prononcé et ils contiennent peu de graisses. Pourquoi ne pas préparer un ragoût végétarien, en agrémenter vos soupes, ou les mixer avec un peu d’huile d’olive et d’ail pour en faire une sauce délicieuse pour légumes crus ? Le tofu vaut la peine d’être essayé. Son goût subtil se marie bien avec les soupes et les plats sautés. Vous pouvez également le griller.

Mangez davantage de fruits et légumes

Ceux et celles qui ne consomment pas suffisamment de fruits et légumes affirment souvent que ce n’est pas qu’ils ne les aiment pas. Mais plutôt parce qu’ils n’en ont pas à disposition ou qu’ils pourrissent avant d’avoir été mangés ou cuisinés. Pour éviter ce désagrément, congelez-les. Les fruits et légumes surgelés sont aussi nutritifs que les frais et vous ne risquez plus de les perdre. Ensuite, rien de plus simple que d’ajouter des fruits à votre Shake protéiné du matin ou dans votre yaourt.

Comment s’y prendre

Vous pouvez aussi ajouter des légumes à vos soupes, vos omelettes, vos plats de pâtes et vos plats sautés. Placez une corbeille avec des fruits de saison sur votre table de cuisine et préparez des légumes déjà épluchés dans votre réfrigérateur. Ils seront ainsi à portée de main et vous serez plus enclins à les manger. Donnez-vous pour objectif de prendre un fruit ou un légume à chaque repas ou chaque encas.

Lorsque vous mangez à l’extérieur, commandez une double ration de légumes et délaissez les féculents. Ou bien commencez votre repas par une salade composée ou une soupe de légumes. Et prenez l’habitude du fruit en dessert. Si c’est le goût qui vous empêche de manger la quantité de légumes recommandée, trouvez une nouvelle façon de les assaisonner.

Remplacez les céréales transformées par des céréales complètes

C’est certainement la façon la plus simple d’améliorer votre alimentation. Lorsque vous laissez tomber les céréales transformées (comme le pain blanc, le riz blanc, les pâtes, les galettes de blé) pour les céréales complètes, vous boostez votre apport en nutriments et en fibres. Toutes les céréales transformées trouvent leur alter ego en version complète. Vous pouvez commencer par tester les pâtes complètes, le riz complet, les galettes de maïs et le pain complet. En guise d’accompagnement, vous pouvez vous essayer à différentes céréales comme le quinoa ou le riz sauvage.

Les bonnes graisses en petites quantités

Les graisses, même celles dites « bonnes », sont riches en calories. C’est pourquoi il est conseillé de réduire la consommation globale de graisses, en évitant les encas gras, les desserts et les aliments frits. Vous pouvez néanmoins vous autoriser de petites quantités de bonnes graisses pour répondre à vos besoins en acides gras essentiels. Les huiles de noix, d’avocat, d’olive et de colza sont considérées comme meilleures pour la santé que les autres graisses. À vous de trouver le moyen de les incorporer à votre alimentation. L’avocat remplace parfaitement la mayonnaise ou le beurre, et les noix, en petites quantités, peuvent apporter de bonnes graisses à une salade, un plat végétarien, des céréales chauffées ou encore un yaourt. Préférez les huiles d’olive ou de colza aux huiles céréalières

Buvez plus d’eau et de thé

L’équilibre nutritionnel et la quantité de liquides journalière vont de pair. L’eau sert plusieurs fonctions dans le corps humain. Elle participe notamment à la digestion des aliments et au transport des nutriments vers les cellules. Si vous ne buvez pas suffisamment, essayez de toujours avoir une bouteille d’eau à portée de main pendant la journée. Si l’eau plate ne vous fait pas envie, essayez le thé ou préparez votre eau aromatisée à votre goût en y faisant infuser des fruits de saison ou des rondelles de concombre, des aromates.

Des encas plus légers

Les encas ne sont pas forcément à proscrire complètement si vous savez les choisir. L’encas idéal peut vous aider à tenir entre les repas (et vous éviter de vous jeter sur la nourriture et de trop manger). C’est également l’occasion d’ajouter un peu de protéines, de légumes, de fruits ou encore de calcium à vos apports journaliers. Dans l’idéal, il convient d’associer des protéines et des glucides pour optimiser la valeur énergétique de l’encas. Vous pouvez laisser libre cours à votre créativité, ou recourir aux fruits de saison, aux légumes crus avec houmous, aux noix, aux graines de soja vertes (edamame), aux barres aux protéines, ou encore aux yaourts.

Susan Bowerman est Responsable de la formation en Nutrition pour Herbalife. Elle est diététicienne professionnelle et spécialiste de la diététique sportive.

Qu’est ce qu’une sèche musculaire

Qu’est ce qu’une sèche musculaire

Shirtless sporty young guy helps a woman doing stomach exercises.

Sèche musculaire

Qu’est ce qu’une sèche musculaire

Qu’est ce qu’une sèche musculaire, pratiquer une sèche musculaire permet d’améliorer sa définition musculaire. L’objectif est de mieux mettre en avant ses muscles (abdominaux…). Via un régime qui vise à perdre un maximum de graisses sans diminuer la masse musculaire.

Quels sont les principes d’une sèche musculaire ?

On ne se( re)met jamais au sport en faisant une sèche.  Cette phase de définition musculaire vise à faire ressortir les muscles sculptés par des mois de musculation.

Par rapport aux autres programmes musculaires, le volume de travail est augmenté afin de brûler plus de calories. Les dépenses énergétiques doivent être supérieures à votre apport calorique.

Les entraînements doivent aussi être intenses car le but est bien de conserver un maximum de masse musculaire.

Les entraînements allient cardio et travail musculaire  afin de diminuer la masse adipeuse tout en conservant une bonne densité musculaire.

Que manger pendant une sèche ?

Lorsque l’on fait une sèche musculaire. Il faut se détourner des graisses saturées (comme les fritures) et des sucres rapides (présents, par exemple, dans les sodas). A l’inverse, le régime alimentaire doit privilégier les aliments à base de protéines et qui sont peu caloriques. Ceci permettra de nourrir les muscles sans qu’ils perdent de leur volume. Globalement, diminuez progressivement vos apports alimentaires.

Concrètement, l’alimentation se basera sur les viandes et poissons. (jambon, blanc de poulet ou de dinde, viande rouge peu grasse, blancs d’œuf, etc.). Egalement sur les produits laitiers (comme le fromage blanc allégé). Ainsi que les féculents avant 16 heures (pâtes, riz, semoule, flocons d’avoine, pain complet, muesli, etc.). Les légumes (pour les vitamines et les fibres), et les fruits avant et après un entraînement. Le tout en buvant suffisamment d’eau : l’hydratation reste un élément capital de l’équilibre alimentaire. Manger des aliments riches en fibres permet d’éviter d’avoir une forte sensation de faim, tout en limitant les calories ingérées.

Au niveau des graisses, attention à ne pas les supprimer totalement.  Elles sont indispensables au bon fonctionnement de l’organisme. Prenez pour repère que vos calories doivent venir à 30% de protéines, à 20% de lipides, et à 50% de glucides.

En période de sèche, nous recommandons également de mettre en place notre programme « cinq petits repas par jour ». En effet, manger plus souvent (mais moins à chaque fois) permet d’augmenter le métabolisme. Donc, de brûler plus efficacement les graisses. Veillez également à terminer votre dernier repas au moins 2 heures avant de vous coucher et à ne pas manger au lit.

Thé et café, les alliés minceur

Thé et café, les alliés minceur

herbalife_blog_format_visuels_2013-01-081

Thé café

Le thé et le café, les alliés minceur, sont bien connus pour être stimulants. Tous deux contiennent de la caféine,  cette substance naturelle au goût amer qui stimule le système nerveux central. Il s’agit de la molécule pharmacologiquement active la plus consommée au monde (120 000 tonnes par an). A doses modérées, elle aurait des propriétés bénéfiques pour la santé, comme l’amélioration de la mémoire et de la concentration.

Mais qu’en est-il de son rôle sur la gestion du poids ?

Extraite des graines du caféier, la caféine est chimiquement quasi-identique à la théine, contenue dans les infusions de feuilles et bourgeons de théier. Voilà pourquoi aujourd’hui, nous assimilons théine avec caféine. Cependant, thé et café n’agissent pas de la même façon ; dans le thé, la caféine est associée aux tanins du thé, qui retardent son assimilation dans l’organisme, et a ainsi des effets plus lissés dans le temps que le café. On parle ainsi d’effet stimulant de 3 à 6 heures pour le thé alors que le café a un effet excitant, plus court.

Thé et café : des vertus minceur ?

La caféine active la combustion des graisses. Combinée à une alimentation saine, elle constituerait un atout pour mieux gérer son poids. En effet, elle permettrait d’augmenter la thermogénèse (production de chaleur par l’organisme), augmentant ainsi les dépenses énergétiques. Il « resterait » alors moins d’énergie en excès susceptible d’être stockée sous forme de graisses ! Au cours d’un régime, la consommation de thé vert favorise la perte de poids et limite la reprise de poids de fin de régime [1].

Quelles quantités consommer ?

–          Apports de caféine maximum quotidiens recommandés [2] : jusqu’à 300 mg pour une femme et 400 mg pour un homme.

–          Quelques chiffres [3] :

  • 150 ml de café décaféiné : 2-5 mg de caféine
  • 150 ml de café filtre : 60-125 mg de caféine
  • 150 ml de café soluble : 40-105 mg de caféine
  • 30 ml de café espresso : 50 mg de caféine
  • 150 ml de thé (sachet) : 30- 40 mg de caféine
  • 150 ml de thé vert : 20 mg de caféine

–          Consommez thé et café de manière modérée : une dose dite « normale » est comprise entre 200 et 300 mg de caféine par jour. Soit l’équivalent de deux à trois tasses de café filtre ou de cinq à six expressos.

–          Buvez votre café noir en évitant la crème, le sucre, le lait : il ne contient aucune calorie !

–          Boire une tasse de café chaud, dès le réveil et une demi-heure avant de manger, peut réduire l’appétit de 35 % sur l’ensemble de la journée [3].

–          Thé : en trois minutes, dans de l’eau chaude, 75 % de la caféine est libérée pour seulement 52 % des tanins. Si l’on veut un thé léger en caféine mais qui a du goût, il ne faut pas réduire le temps d’infusion, mais l’augmenter pour donner aux tanins le temps de diffuser avec leurs arômes et l’âpreté de leur saveur. En effet, ces molécules ont la propriété de neutraliser en partie la caféine contenue dans l’infusion pendant la digestion. De ce fait, en retirant l’infusion au bout de 2-3 minutes, elles n’ont pas le temps d’être diffusées [4].

–          Pour une boisson sans calories, buvez votre thé sans lait (qui diminue le pouvoir antioxydant du thé) et sans sucre.

Quels types de café et thé privilégier ?

–          Café bio : le café est une des cultures qui subit le plus de traitements aux pesticides. La consommation de grains de café certifiés biologiques assure l’assimilation des bienfaits pour la santé qui sont diminués si le café contient des traces de pesticides [5].

–          Thé vert : il contient de la théine qui augmente le métabolisme, et des tanins qui empêchent l’assimilation des graisses. Des recherches ont aussi montré que la consommation de thé vert permettait de lutter contre l’insulinorésistance et participerait à la régulation du poids [5]. La présence de catéchines et d’antioxydants dans le thé vert permet également d’augmenter les dépenses d’énergie et l’oxydation des graisses. De plus, plus le thé vert est infusé, plus son pouvoir antioxydant est important.

Comment les intégrer à sa vie quotidienne ?

–          Au petit déjeuner ou après un repas, en plus d’une alimentation saine, une tasse de café prise au bon moment peut stimuler la circulation sanguine mais sur une courte durée uniquement ! Si vous prenez une tasse de thé, la caféine forme un complexe avec les tanins : les effets du thé sont alors déployés plus lentement et cela vous maintiendra « éveillé » plus longtemps. En buvant régulièrement une tasse de thé, votre organisme s’habituera à la caféine. Le tout en étant un allié minceur de taille !

–          Pas le temps pour vous en préparer ? Vous pouvez consommer des compléments alimentaires à base d’extrait de thé ou de caféine.

Gare aux excès !

La surconsommation de caféine peut entraîner des effets neurologiques importants : insomnies, nervosité, anxiété, tremblements, ou encore une augmentation du rythme cardiaque et de la tension artérielle. De plus, attention pour les carences en fer : le café est chélateur du fer, c’est-à-dire qu’il neutralise son action. Il provoque également des brûlures d’estomac et pourrait augmenter le taux de cholestérol lorsqu’il est non filtré, en raison des lipides contenus dans les grains de café. Donc attention, n’abusez quand même pas de la caféine !

Source : Article rédigé par Agathe, diététicienne-nutritionniste diplômée

 

Cuisinez avec les enfants

Cuisinez avec les enfants 

Bright colorful plastic disposable tableware on white background

Les enfants adorent faire la cuisine

Cuisinez avec les enfants 

Cuisinez avec les enfants, la plupart des enfants, si on leur en donne l’occasion, aiment passer du temps dans la cuisine. Quel mal y a-t-il à cela ? La cuisine rime avec créativité et divertissement. Elle sollicite tous les sens. De plus, vos efforts sont récompensés par un plat délicieux (on l’espère !). Mais faire la cuisine s’accompagne également d’un certain nombre d’avantages. En outre passer du temps en cuisine peut permettre aux enfants d’apprendre à apprécier les aliments sains, et de prendre de bonnes habitudes.

Cependant cet aspect n’est pas à prendre à la légère. Ces dernières décennies, le taux d’obésité et de surpoids chez les enfants a augmenté de façon significative dans de nombreux pays, résultats dus en partie à une alimentation trop riche en calories et trop peu nutritive. Les enfants ne consomment pas suffisamment de fruits et légumes, de céréales complètes et de produits laitiers.

En outre les repas pris en dehors du domicile contribuent à ces chiffres alarmants : ils sont plus riches en calories, en graisses et en graisses saturées. Ils apportent moins de calcium et de fibres que les repas préparés chez soi. Les repas à domicile sont également associés à une consommation plus importante de fruits, de légumes, de produits laitiers, et moins de graisses et de calories.

Cuisiner avec les enfants

de nombreux bienfaits :

  • Cuisiner à la maison et manger en famille aide les enfants à apprécier la nourriture saine. Lorsque les parents montrent le bon exemple, les enfants les imitent. Et le confort et le soutien du domicile familial viennent renforcer ces comportements.
  • Les enfants adorent manger ce qu’ils ont préparé. Lorsqu’ils sont impliqués dans le choix des ingrédients et la préparation des repas, ils sont plus susceptibles de goûter leur création.
  • Ils rechignent moins à essayer de nouveaux goûts. Et quand bien même ils décideraient qu’ils n’aiment pas ce qu’ils ont préparé, l’expérience culinaire les aura aidés à cultiver un esprit ouvert en matière d’alimentation.
  • Les enfants sont fiers et se sentent indépendants lorsqu’ils cuisinent. Ils aiment se vanter (« C’est moi qui l’ai fait ! »). Lorsqu’ils sont capables de préparer quelque chose seuls, même s’il s’agit d’un plat très simple, et qu’ils le servent aux autres membres de la famille, ils ont un sentiment de grande fierté et d’indépendance. Aidez vos enfants en leur faisant découvrir des recettes adaptées à leur âge.
  • Cuisiner c’est créer. Lorsqu’ils maîtrisent les bases et apprennent à suivre les recettes, encouragez-les à libérer leur créativité. Vous pouvez commencer par une recette très simple, un smoothie par exemple, à base de protéines en poudre et de lait. Laissez-les se faire leur propre expérience en ajoutant différents fruits, légumes, épices ou extraits. Lorsqu’ils créent leurs propres recettes, les enfants aiment les répertorier.
  • Cuisiner avec les enfants peut être amusant. C’est du bon temps que vous partagez avec eux. Passer du temps dans la cuisine vous amusera et vous détendra probablement autant qu’eux. Bien souvent, il n’est pas besoin de les pousser beaucoup pour les faire venir à la cuisine. Alors profitez de cette occasion pour profiter d’eux et parler de bienfaits d’une alimentation équilibrée.

 

Sources : Susan Bowerman est Responsable de la formation en Nutrition pour Herbalife. Elle est diététicienne professionnelle et spécialiste de la diététique sportive.

Une alimentation équilibrée pour affronter l’hiver en pleine forme

Une alimentation équilibrée pour affronter l’hiver en pleine forme

alimentation-equilibree-hiver

Comment bien manger en hiver

Une alimentation équilibrée pour affronter l’hiver en pleine forme. Le froid, le manque de luminosité, la fatigue…l’hiver met notre corps et notre mental à rude épreuve. Premier réflexe pour affronter l’hiver en pleine forme : manger équilibré et opter pour les aliments qui renforcent nos défenses immunitaires.

Parce que l’hiver est une période où l’on est plus exposé à la fatigue, aux rhumes ou encore aux grippes ! Donc le meilleur moyen de lutter contre les virus reste d’adopter une alimentation qui favorise un fonctionnement optimal du système immunitaire.

Ainsi nous commençons d’emblée par bannir son ennemi numéro un : les mauvaises graisses, propices aux infections. Tout en veillant à avoir un apport calorique suffisant (pas moins de 1200 calories quotidiennes). Cependant, il existe de nombreuses recettes savoureuses et équilibrées, pour préserver son capital santé tout en se régalant.

Les vitamines à la rescousse

Pour stimuler la production de globules blancs, qui défendent l’organisme contre les agressions extérieures, et retrouver du tonus.  On mise sur les vitamines, notamment :

Les vitamines

  • A (les poissons gras, également riches en Oméga 3, ainsi que le foie, les œufs, le beurre, les fromages) et la provitamine A (les épinards, navets, abricots, le persil..).
  •  E (les huiles végétales, colza, maïs, tournesol, soja, riches en Oméga 3, les céréales, noix, œufs, épinards..).
  • C (les crudités, légumes verts, agrumes, kiwis, poivrons, choux, brocolis…).
  •  B12 (poissons, fruits de mer, le foie).
  •  D (le maquereau, le saumon, la sardine, le hareng, le jus d’orange ou encore le jaune d’œuf…).

En outre, on peut ajouter à cette liste la consommation de thé vert, qui contient des polyphénols, au pouvoir antioxydant. Additionné d’une cuillerée de miel, vous voilà parés !

Les minéraux, des alliés incontournables

Second atout pour lutter contre les infections et accroître notre résistance, mettre au menu des aliments riches en minéraux. Parmi eux :

  • Le sélénium (poissons, huîtres, moules…).
  • Le zinc (huîtres, noix, foie, pain complet…).

Les acides aminés ont leur rôle à jouer

Le rôle des acides aminés pour fortifier le système immunitaire est fondamental. Deux d’entre eux sont précieux :

  • L’arginine (viandes, poissons, légumineuses),
  • La glutamine (poissons, produits laitiers). Associée aux probiotiques (la choucroute, le pain au levain, les laitages fermentés…) elle favorise la vigueur de la muqueuse intestinale et évite aux germes de se répandre dans le système sanguin.

Enfin, ne négligez pas de vous hydrater correctement (1,5l par jour), d’autant qu’en hiver la sensation de soif est souvent moindre.

 

Source : Herbalife nutrition

Comment équilibrer sa consommation omega3 et d’omega6

Comment équilibrer sa consommation omega3 et d’omega6

Selection food sources of omega 3 . Super food high omega 3 and unsaturated fats for healthy food. Almond ,pecan ,hazelnuts,walnuts ,olive oils ,fish oils ,salmon ,flax seeds ,chia ,eggs and avocado .

Omega 3 Omega 6

Comment équilibrer sa consommation omega3 et d’omega6

Comment équilibrer sa consommation d’omega 3 et d’omega 6. Les acides gras, tels que les omega-3 et 6 ont des propriétés intéressantes pour la santé.  Notamment Ils aident à réguler la pression artérielle et ont un rôle important contre les inflammations. Les oméga-3 notamment, contribuent à une fonction cardiaque normale, aident à préserver une bonne vision et un bon fonctionnement du cerveau.

Ainsi pour conserver ces propriétés bénéfiques et s’assurer une bonne alimentation équilibrée, il est important de garder en tête le ratio idéal entre ces deux composants. Il est recommandé de consommer 4 fois plus d’omega-6 que d’omega-3.

Aujourd’hui, notre mode de vie actuel en France nous fait consommer en moyenne 20 fois plus d’oméga-6 que d’omega-3. La différence est bien trop importante, il est donc crucial de rééquilibrer ce ratio en enrichissant son régime en omega-3.

Focus sur les oméga-6 

Attention aux préjugés : il ne s’agit pas d’éliminer totalement les oméga-6, simplement de les réduire, car ceux-ci ne sont pas fondamentalement mauvais pour la santé s’ils sont consommés raisonnablement.

L’excès d’oméga-6 contrecarre ses effets bénéfiques et peut développer à long terme des asthmes ou des arthrites.

Pour mieux identifier vos apports en oméga-6 et les limiter, identifiez les aliments qui en contiennent beaucoup afin de réduire leur consommation :

  •  les viandes d’animaux nourris au grain (maïs et soja)
  •  l’huile de tournesol, de pépins de raisin, de soja et de maïs
  • l’avocat, les pois chiches, les lentilles

Comment rééquilibrer mon alimentation ?

Pour rééquilibrer le rapport oméga-3 / oméga-6, il existe plusieurs solutions : 

  • Adopter un régime type méditerranéen : poissons, légumes et huile d’olive ou de colza… Ce régime est une bonne inspiration pour consommer plus d’oméga-3. Et avouons-le, cuisiner des plats méditerranéens, cela nous ramène un peu une ambiance de vacances ! Pour plus d’informations sur les aliments contenants des omega-3, rendez-vous sur notre article dédié.
  • Varier les huiles : évitez le 100% huile de tournesol et variez les plaisirs avec l’huile d’olive et de colza.
  • Limiter les aliments d’origine animale, comme les produits laitiers en trop grande quantité comme le beurre et le fromage, et les viandes d’animaux nourries au grain. De nos jours, de nombreux sites de recettes et blogs végétariens et vegans permettent de s’inspirer et de créer des plats selon nos envies, tout en réduisant la part d’oméga-6.
  • Opter pour des compléments alimentaires type Herbalifeline Max : la nouvelle formulation d’Herbalifeline vous aide à atteindre la dose quotidienne optimale en omega-3. L’huile de poisson contenue dans Herbalifeline®Max bénéficie de la certification officielle « Produits de la mer durable » pour les pêcheries et l’aquaculture. Elle est accréditée par Friend of the Sea. Cette nouvelle formule ne contient plus de gélatine de porc et convient donc à certains régimes végétariens. Des huiles essentielles de thym et de menthe poivrée rendent le produit encore plus agréable.