Comment réussir les squats ?

Comment réussir les squats ?

Comment réussir les squats ?

Comment réussir les squats ? C’est l’exercice préféré ou détesté des salles de sport, LE mouvement roi de la musculation (avec les pompes) : le squat !

Histoire du squat

Le squat, c’est l’un des tous premiers exercices de notre vie. Celui qu’on n’a pas appris et que l’on découvre seul, la première fois que vous avez eu à ramasser un objet au sol. Vous ne saviez même pas que ce geste portait un nom !

Avec le temps, nombreuses et nombreux sont ceux qui ont tendance à délaisser ce mouvement. Dans certaines cultures, le squat reste une position naturelle de repos, même pour les adultes.

A l’inverse, d’autres personnes prennent le squat très au sérieux. Et pratiquent régulièrement cet exercice afin de développer leurs muscles, soit dans un objectif esthétique, soit pour développer des qualités physiques. (dans le cadre de la pratique d’un sport par exemple).

Quels muscles travaillent les squats ?

Le squat est un exercice polyarticulaire qui fait intervenir un grand nombre de groupes musculaires. Toutefois, il est surtout connu pour travailler les quadriceps, les grands fessiers et les érecteurs du rachis.

Focus sur les muscles sollicité par les squats

Les quadriceps (ou muscle quadriceps fémoral ou muscle quadriceps crural) sont les muscles des cuisses (des hanches aux genoux) situés dans la loge fémorale antérieure. C’est ce groupe de muscle qui supporte en grande partie le poids du corps et permet les déplacements. C’est d’ailleurs le plus volumineux des muscles du corps humain.

Les grands fessiers (ou muscle grand glutéal) sont des muscles du membre inférieur. Ils font partie des muscles fessiers superficiels. Ils sont considérés comme le muscle le plus puissant du corps humain.

Les érecteurs du rachis sont un groupe de trois muscles situés dans le bas du dos et permettant l’extension du rachis (ou colonne vertébrale, ou échine).

Quoiqu’il en soit, le squat reste ce mouvement primaire que nous avons répété des milliers de fois dans notre vie. Mais en tant qu’exercice, le squat avec charge possède une histoire qui remonte avant l’essor du bodybuilding, de la force athlétique et de l’haltérophilie.

Les figures historiques du squat (ou « pliage sur les genoux »)

Historiquement, c’est Louis Attila.  Un culturiste d’origine allemande né en 1844, qui a été le premier à introduire l’idée de se muscler régulièrement avec des poids pour améliorer les performances sportives.

Attila donnait des représentations dans des cirques, théâtres et comédies musicales. Il décida ensuite d’ouvrir une salle de gym à Londres. Puis une deuxième à New York en 1893 nommée « Attila’s Athletic Studio and School of Physical Culture » principalement pour la communauté allemande.

Parmi ses élèves : Eugen Sandow. Ce dernier est connu comme l’un des premiers bodybuilder de l’histoire. Dans son livre écrit en 1894 intitulé « Strength and how to obtain it » (La force et comment l’obtenir), Eugene Sandow donne des recommandations pour réaliser des mouvements de squat. Dédiés aux développements des quadriceps ! Et il décrit clairement ce qui est connu aujourd’hui comme le squat, avec ces consignes :

« En pliant les genoux, descendez le corps dans un mouvement vertical jusqu’au talon, en maintenant le dos droit ainsi que le menton. Revenez en position initiale et répétez jusqu’à ce que vous sentiez la douleur musculaire ».

A l’époque, l’exercice est communément appelé « pliage sur les genoux« .

On ne sait pas si Eugene Sandow avait appris cela de son mentor, le professeur Attila. Quoiqu’il en soit, le squat de Sandow fut le point de départ . Il est ainsi considéré comme l’inventeur du squat en musculation.

À cette époque, le squat était seulement pratiqué avec des haltères. Et il fallut 30 ans de plus pour que le squat avec une barre soit mis sur le devant de la scène grâce à un autre Allemand : Heinrich Steinborn ! Considéré comme « l’innovateur ». Il est le premier spécialiste du squat avec barre et a donné son nom a une variation de ce mouvement . Le « Steinborn lift » qui consiste à charger une barre sur les épaules en partant du sol de manière non-assistée.

Le squat comme exercice de performance physique lié à la force pure se démocratise par la suite grâce à l’haltérophile américain des années 50 . Paul Anderson, qui est notamment connu pour être rentré dans le Guinness Book des records du monde. Avec le squat le plus lourd jamais enregistré à l’époque avec une charge approximative de 270kg.

Aujourd’hui, ces records sont dépassés.

Les records du monde officiels sont détenus par Sonita Muluh avec 285kg chez les femmes. Et par Ray Williams avec 477,5kg chez les hommes.

Mais c’est réellement dans les années 70 grâce à des bodybuilders comme Arnold Schwarzenegger et l’essor de la musculation que le squat devient populaire et s’ouvre au grand public.

Durant les années 70. Le bodybuilder américain Tom Platz amena le fondement du squat à un niveau supérieur en œuvrant pour une pureté et une technicité parfaite du geste . L’amplitude de mouvement, le positionnement, les intentions globales et le placement de la barre, tout y était. Le squat tel qu’on le connaît aujourd’hui était né !

Comment faire le squat à la maison ou en salle ?

Vous l’avez compris, l’histoire du squat est longue ! Désormais, ce geste fait partie intégrante des entrainements physiques d’un très grand nombre de discipline sportive. Il existe plusieurs manières de le réaliser que l’on parle du positionnement ou des intentions techniques.

Dans la suite de cet article, nous allons traiter du « squat conventionnel ». C’est-à-dire sans charge, celui que l’on peut pratiquer chez soi, à la maison.

Vous allez réaliser un squat selon votre anatomie et, plus particulièrement, selon l’anatomie de vos hanches. Explications.

Détour par l’anatomie

Sur une hanche « normale » (celle qu’ont la plupart des personnes), on a une connexion fémur-bassin avec un léger angle vers l’avant du col du fémur.

Mais chez certaines personnes, on va avoir une hanche avec un angle un peu plus « fermé » (angle excessif du col du fémur vers l’avant) appelle hanche en antéversion. Chez d’autres, on aura au contraire une hanche avec un angle plus « ouvert » (angle excessif du col du fémur vers l’arrière) que l’on appelle hanche en rétroversion.

Selon votre type de hanche, vous aurez des sensations bien différentes lorsque vous faites un squat. En effet, votre hanche a un effet sur la manière de bouger. Sur votre aisance dans le mouvement et sur la stabilité de votre geste. Bref, sur l’efficacité du squat ! Il est donc très important de trouver la façon idéale pour votre corps de faire un squat !

Comment connaître l’anatomie de sa hanche ?

La hanche antéversée

Avec un hanche antéversée, on doit observer en :

  • Position hanche fléchie : beaucoup de rotation interne et peu de rotation externe
  • Position hanche neutre : beaucoup de rotation interne et peu de rotation externe

La hanche rétroversée

Avec un hanche rétroversée, on doit observer en :

  • Position hanche fléchie : peu de rotation interne et beaucoup de rotation externe
  • Position hanche neutre : peu de rotation interne et beaucoup de rotation externe

La hanche « normale »

Si vous vous rendez compte, après avoir réalisé ces tests, que vous ne retrouvez pas de prédominance de rotation interne ou externe (ou que vous avez beaucoup de rotation externe en hanche fléchie et l’inverse en hanche neutre)! Alors votre hanche n’est ni rétroversée, ni antéversée. Elle fait partie de la classification dite « normale ».

Alors, comment on fait des squats ?

Pour réaliser parfaitement un squat, voici les consignes à respecter :

  • Positionnement des pieds : centre de gravité au-dessus du medio-pied et poids du corps bien équilibré entre jambe droite et jambe gauche
  • Ancrage dans le sol, avec recherche de stabilité et de force dans le sol.
  • Respiration : inspiration, apnée et gainage en phase excentrique (phase où l’on étire les muscles). Expiration sur la phase concentrique (phase où l’on contracte les muscles)
  • Dos : tendre à un placement du dos droit, mais sans charge

Comment on fait un squat avec une hanche normale ?

Votre position naturelle de squat sera avec une très légère ouverture des pieds. Vos pieds ne sont ni 100% parallèles, ni complètement ouverts. Ils ont un angle d’environ 10° d’ouverture plus ou moins.

Ainsi, vous trouverez la meilleure position pour vos pieds (et donc pour vos hanches). Afin de réaliser un squat avec aisance, stabilité et de manière sûre (en évitant les petites douleurs pour effectuer votre squat) !

Comment on fait un squat avec une hanche antéversée ?

Dans ce cas, la meilleure position pour le squat est avec pieds parallèles (0° d’ouverture).

Comment on fait un squat avec une hanche rétroversée ?

Avec des hanches rétroversée, la meilleure position pour le squat est de positionner vos pieds à 10h10 (autrement dit avec 30° à 35° d’ouverture).

Voilà, votre check-list est maintenant complète ! Vous connaissez la meilleure façon pour vous de faire votre squat !

Pour varier les plaisirs, vous pouvez opter pour des variantes des squats !

Les variantes des squats classiques

Il existe de très nombreuses variantes aux squats classiques. En voici quelques exemples.

Squat sumo (ou squat jambes écartées)

Pour réaliser un squat sumo, on écarte les pieds d’une largeur supérieure aux épaules.

Avec cet exercice, ce sont surtout les quadriceps qui sont musclés, mais aussi les muscles adducteurs de la hanche.

Squat bulgare (ou fente bulgare)

Le squat bulgare consiste à surélever l’un des pieds à l’aide d’un support stable (table basse, chaise, banc, muret). Et d’effectuer une flexion avec l’autre jambe posée au sol. Cet exercice est une combinaison des squats et des fentes (on peut d’ailleurs aussi l’appeler fente bulgare).

Avec cet exercice, ce sont surtout les fessiers et les quadriceps, puis les ischio-jambiers qui sont travaillés.

Squat jump (ou squat sauté)

Un squat sauté combine un squat et un saut vertical, qui cible particulièrement les jambes (et le cardio !).

Squat avec poids

Comme indiqué dans le début de l’article sur l’histoire du squat ! Un squat peut se faire avec des poids (que ce soient des barres, des kettlebell, des medecin balls ou des haltères). Dans ce cas, commencez par des poids légers, et veillez à ce que les poids ne vous déséquilibrent pas lorsque vous réalisez l’exercice.

Est-il bien de faire des squats tous les jours ?

Faut-il faire du sport tous les jours ? Tout dépend de vos objectifs, de votre activité sportive et de votre état de forme !

Pour les squats, c’est un peu pareil.

Les squats est un exercice brûle-graisse qui fait par ailleurs gagner de la masse musculaire. Si c’est ce que vous cherchez, vous pouvez envisager de faire des séances de squats tous les jours. Mais attention toutefois . Si vous n’avez pas l’habitude d’en faire, n’en faites pas tout de suite une pratique quotidienne.

A l’inverse, si vous observez une phase de stagnation dans vos progrès ! C’est peut-être que vous en avez trop demandé à votre corps et à vos muscles . Ces derniers doivent bénéficier d’un temps de récupération suffisant. Espacez alors vos séances.

Combien de squats par jour ?

Lorsque l’on débute ou que l’on reprend le sport20 squats par jour est un objectif réaliste.

Au bout d’une semaine. Vous pouvez augmenter la cadence à 50. Quand vous le faites, soyez à l’écoute de votre corps. C’est à partir de 50 squats que vous allez commencer à brûler des calories et à booster votre métabolisme.

Pour sculpter vos fessiers, il faut viser les 100 squats, d’une traite (ou éventuellement en 2 séries de 50 squats séparés d’une petite pause).

Dans tous les cas, faire des squats ne devrait pas vous prendre plus d’un quart d’heure par jour. Idéal pour celles et ceux qui n’ont que peu de temps pour s’entraîner pour garder la forme !

Et vous, pratiquez-vous le squat pour travailler vos fessiers ?

Bref, le squat est un exercice très efficace pour muscler et renforcer les muscles des jambes et des fessiers. Ce mouvement est très simple à exécuter. Mais il est important de bien le maîtriser pour en tirer le meilleur parti. Pour réussir le squat, il est important de bien le préparer avec des exercices de mobilité. Et  veiller à ne pas trop se pencher en avant, à bien plier les jambes et à garder le dos bien droit.

Veillez également à bien vous hydrater dès lors que vous faites du sport. Avec notre gamme de nutrition sportive, comme Hydrate !

Et vous, pratiquez-vous cet exercice de musculation et de renforcement musculaire ?

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Source : Herbalife Nutrition

La pole dance : se renforcer musculairement

La pole dance

La pole dance

La pole dance : se renforcer musculairement et améliorer sa confiance en soi.

Qu’est-ce que la pole dance ?

La pole dance (ou « danse à la barre verticale ») est une discipline qui mêle danse et acrobaties autour d’une barre. Cette danse s’est imposée comme une discipline sportive et artistique à part entière depuis une vingtaine d’années.

Qui peut faire de la pole dance ?

Toute personne apte à pratiquer du sport peut pratiquer la pole dance. C’est-à-dire que :

  • Tant les hommes que les femmes peuvent s’y mettre,
  • Il n’est pas nécessaire d’être mince pour en faire : toutes les morphologies peuvent pratiquer cette discipline (sauf avis médical bien entendu),
  • Si vous manquez de force, ce ne doit pas être un frein : vous en acquerrez.
  • De même, si vous pensez que vous manquez de souplesse, sachez que vous progresserez !

Pourquoi faire de la pole dance ?

Un sport complet aux effets bénéfiques sur la santé…

La pole dance est un véritable sport. Elle a des points communs avec d’autres activités physiques : gymnastiquedanse et fitness notamment. Ce qui signifie qu’elle sollicite tant le haut que le bas du corps (parfait pour raffermir, tonifier et muscler abdos, bras, cuisses, fessiers…), le tout en profondeur (renforcement musculaire complet).

Conséquences :

  • Vous renforcez votre tonus musculaire, votre musculation (et notamment votre gainage) et votre force,
  • Travaillez votre endurance et votre cardio (bénéfices pour la santé cardio vasculaire)
  • Améliorez votre souplesse (vous apprenez à bien faire vos étirements),
  • Votre posture s’améliore (ce qui est bénéfique pour le dos notamment), tout comme votre équilibre et votre coordination,
  • Vous contribuez à perdre du poids ou à vous stabiliser à votre poids de forme!

Bref, la pole dance est excellent pour celles et ceux qui ont pour objectif de sculpter leur silhouette.

… sans forcément avoir l’impression de faire du sport

Celles et ceux qui n’aiment pas énormément les activités sportives : sans transpirer autant que si vous courriez, sans chercher votre souffle en permanence, vous faites bel et bien travailler votre corps en profondeur.

Les cours de pole dance se passent en général dans la bonne humeur, ce qui est idéal pour une remise en forme et une amélioration de la condition physique, le tout en s’amusant !

Une confiance en soi grandie et un meilleur rapport au corps

D’un point de vue psychologique, la pole dance améliore la confiance en soi et le rapport au corps.

D’abord parce que c’est une pratique gratifiante : les résultats et progrès sont rapides, quel que soit votre niveau de départ (dont niveau débutant). Se surpasser devient normal, vous réalisez des figures et des chorégraphies dont vous vous sentiez incapable : bref, vous vous surprenez !

Ensuite, en pratiquant cette activité physique, vous apprenez à aimer votre corps, en l’acceptant et en le faisant évoluer. Vous vous sentirez mieux dans votre peau !

Enfin, c’est une pratique sans compétition ou jugement (il existe des compétitions officielles, mais aucune obligation de les viser). Chacun avance à son rythme, dans un esprit de bienveillance, et dans la bonne humeur.

Cerise sur la gâteau pour celles et ceux qui le souhaitent : c’est une activité qui peut ne pas être dénuer de sensualité.

Comment faire de la pole dance ?

Si c’est une activité qui peut se pratiquer à la maison (pour peu que l’on ait la place et l’équipement requis), il est recommandé de commencer par prendre des cours (cours collectifs ou cours particuliers).

Grâce à ceux-ci, dans la bonne humeur, et de manière encadrée et progressive grâce à un planning pertinent, vous apprendrez les basiques de la discipline, les figures et chorégraphies, avec des conseils avisés du coach et des encouragements qui vous permettront de progresser, en toute sécurité.

Bref, le pole dancing est une activité sportive (combinant gym, stretching et danse) ouverte à toutes et à tous (dont les débutants), permettant de se muscler et de gagner en confiance en soi dans une ambiance conviviale. Et si c’était votre nouveau sport ? Pour cela, il vous reste à trouver un cours de pole dance près de chez vous, que ce soit en salle de fitness ou en école de pole dance, où vous pourrez réaliser des entraînements de manière sécurisée !

Et vous, pratiquez-vous la « danse à la barre verticale » ? Laissez vos commentaires sous cet article

Running : quels autres sports pratiquer pour progresser ?

Running : quels autres sports pratiquer pour progresser  ?

Running : quels autres sports pratiquer pour progresser en course à pied ?

Running : quels autres sports pratiquer pour progresser  ? L’une des manières de progresser en termes de course à pied (running) est de pratiquer d’autres sports. Mais lesquels ?

Pour progresser en matière de running, plusieurs actions sont à mener : il faut bien sûr que les bases soient là (notamment les aspects techniques).  Etre bien équipé (et particulièrement en hiver) et avoir une alimentation adaptée.

Pratiquer d’autres sports est aussi une manière de vous améliorer au niveau de la course à pied ! Lesquels pratiquer ?

Running : quels autres sports pratiquer pour progresser en course à pied ?

L’une des manières de progresser en termes de course à pied (running) est de pratiquerProgresser en running grâce à d’autres sports d’endurance

La course à pied présente l’inconvénient d’être un sport à impact. Ainsi, en vous tournant vers d’autres sports d’endurance, vous continuer à travailler celle-ci. Et à vous renforcer musculairement, sans pour autant solliciter autant l’organisme.

La pratique du vélo est ainsi complémentaire du running, tout en s’adaptant à vos objectifs. Ainsi, si vous cherchez à renforcer vos capacités cardio-vasculaires, vous opterez pour des sorties plutôt longues. Si votre objectif est de renforcer vos muscles, choisissez plutôt des parcours vallonnés, avec quelques pentes raides (que ce soit sur route ou avec un VTT).

Lorsque le temps est moins beau (ce qui est le cas en hiver), les sorties en vélo se remplacent facilement par des sessions de vélo d’intérieur, que ce soit chez vous en ou salle de sport.

La natation est une activité sportive qui permet de travailler son endurance, de renforcer ses capacités cardio-vasculaires, et de solliciter l’ensemble de son corps (épaules, mollets, fessiers…), en préservant ses articulations (activité sans impact au sol). Les piscines sont souvent ouvertes toute l’année, parfait pour progresser et avoir une activité physique y compris lorsqu’il fait froid dehors !

Autres sports d’endurance à pratiquer : randonnée, marche rapide, aviron, roller, ski de fond, aquarunning

S’améliorer en course à pied grâce au renforcement musculaire général

Si le runner court sur ses 2 pieds en sollicitant notamment cuisses et mollets, tout son corps est en fait mobilisé par la course à pied.

Avec une à deux séances de renforcement musculaire par semaine, vous veillerez à ce que votre corps soit équilibré et apte à vous accompagner dans vos sorties running.

Sans établir une séance type (le contenu est souvent propre à chacun), pensez aux :

  • Abdominaux, que les crunchs soient classiques ou obliques,
  • Gainage, en mixant des planches où vous êtes en appui sur les 2 mains (planche sur avant-bras, planche haute, planche araignée, etc.) et les planches latérales (importantes pour la stabilité du runner),
  • Pompes, dont des pompes Superman qui renforceront le dos

–> Vous trouverez dans cet article nos indications pour réaliser abdominaux et planches.

Vous avez peut-être dans votre entourage des personnes qui pratiquent le crossfit. Cette activité est très complémentaire des exercices qui viennent d’être décrits. Elle présente plusieurs avantages :

  • Le crossfit combine la force athlétique, l’haltérophilie, la gymnastique et les sports d’endurance: en bref, c’est une méthode complète qui renforce le corps.
  • Se pratiquant au sein d’un club (cette méthode est en effet une marque commerciale), le crossfit se pratique avec un entraîneur qui s’assure de la bonne réalisation des gestes (ce qui permet d’optimiser leur efficacité, et de limiter le risque de blessure).

Mais encore…

D’autres sports peuvent être pratiqués en complément de la course à pied pour s’améliorer. Citons :

  • Le football qui fait travailler les qualités du runner: endurance fondamentale, résistance, vitesse…
  • Le golf qui est intéressant pour la récupération, tout en faisant travailler la concentration,
  • Le tennis qui est complet, permettant de travailler les appuis, les réflexes, l’explosivité…

Et vous, quels autres sports pratiquez-vous en complément du running ?

Source : Samantha Clayton Herbalif Nutrition, sportive

Pourquoi prendre le temps de vous mettre au yoga ?

Pourquoi prendre le temps de vous mettre au yoga ?

Pourquoi prendre le temps de vous mettre au yoga ? Parlons yoga. Pensez-vous que cet exercice à faible impact est apaisant ? C’est vrai en un sens. Mais c’est également une discipline qui permet aux sportifs débutants comme aux athlètes professionnels de se lancer des défis.

Bien sûr, la maîtrise de la forme et la pause parfaite sur une plage déserte ou au sommet d’une montagne fait son petit effet. Mais le yoga est avant tout une discipline du renforcement musculaire. Je peux passer des heures et des heures sur un banc de musculation, j’aurai toujours besoin du yoga. Pendant longtemps j’ai vu cette pratique comme du stretching doux lové dans un environnement apaisant. Des mouvements que je faisais pendant mes journées de repos sportif. J’adorais le calme du début, mais au bout de 30 minutes, je n’avais qu’une hâte, que le cours se termine parce que mon esprit commençait à bouillir à l’idée de tout ce qui m’attendait ensuite. Je regardais la pendule en pensant : « ça va être encore long ? »

Je savais qu’il existait de nombreuses variantes du yoga, chacune associée à des bienfaits et des défis uniques. Mais j’avoue que je n’avais aucune idée du degré de renforcement qu’il était possible d’obtenir en pratiquant les postures.

Pourquoi prendre le temps de vous mettre au yoga ? Trouver le bon style de yoga

J’ai besoin du yoga dans ma vie. Cela m’aide à me reconcentrer sur moi-même et à être présente dans l’instant pendant plus de 30 minutes. Dans mon cas, les avantages physiques étaient contrebalancés par la force mentale qu’il me fallait développer. Je me suis rendu compte que le yoga rendait plus fort sur bien d’autres aspects que le seul aspect physique.

Si votre cerveau ne débranche pas et anticipe toujours sur la prochaine tâche, alors peut-être que le yoga pourrait vous aider à développer aussi votre force mentale. Vous avez envie d’un corps puissant et souple ? Ou vous avez besoin de passer du temps sur un enchaînement pour aider à développer votre coordination ?

Quels que soient vos besoins ou vos objectifs en matière de fitness, voici trois types de yoga qui peuvent vous aider à devenir plus fort.

Hatha Yoga

Le Hatha Yoga stimule le lien entre le corps et l’esprit. C’est une pratique traditionnelle qui se concentre sur le contrôle de la respiration et l’apaisement de l’esprit par le biais de la méditation. Elle implique des mouvements lents, contrôlés et ciblés. C’est celle que je préfère pour travailler mon mental. L’accent est porté sur l’alignement, ce qui en fait une discipline adaptée à tous les sportifs débutants.

Yoga Ashtanga

Le Yoga Ashtanga est plus dynamique et présente de nombreuses variantes. Il s’appuie traditionnellement sur un ensemble de mouvements fluides. Chaque mouvement est lié à votre respiration. Un mouvement accompagne l’inspiration et le suivant l’expiration. Si vous aimez suivre un enchaînement défini sans trop de variantes, c’est le yoga qu’il vous faut. Peu importe le lieu où vous choisirez de le pratiquer, le flux des mouvements sera le même. Il convient donc tout à fait aux personnes qui voyagent beaucoup et qui aiment la régularité dans les enchaînements.

Lorsque vous maîtrisez les mouvements de base, vous pouvez axer vos entraînements sur la respiration. Le yoga Ashtanga calme et évacue le stress. C’est également une discipline physique qui renforce les muscles et travaille la concentration.

Yoga Bikram ou Hot yoga

Le Yoga Bikram ou hot yoga est un défi physique qui implique le corps et l’esprit. Il s’appuie principalement sur le yoga Ashtanga traditionnel, avec une difficulté supplémentaire : la pièce est maintenue à une température comprise entre 37 et 40 °C. La chaleur fait beaucoup transpirer et crée une atmosphère qui aiderait le corps à éliminer les toxines. Il améliore également la capacité d’étirement lors de chaque posture.

Le yoga Bikram peut vous aider à tonifier vos bras, vos abdominaux et affiner vos jambes pour une silhouette à tomber. En effet, les mouvements pratiqués dans cette chaleur stimulent le corps tout entier. J’adore ce type de yoga parce que je ne peux me concentrer sur rien d’autre que ma respiration et mes mouvements pour ne pas m’écrouler. Cette variante participe au développement de la force mentale et de la volonté. De nombreux cours se font en musique pour stimuler votre motivation. Mais ce yoga n’est pas adapté aux personnes qui commencent juste à faire du sport.

La pratique sportive sous une forte chaleur comporte des risques. Alors soyez vigilant et prenez connaissance des risques avant de vous inscrire à un cours. Un cours dure en moyenne 1h15. Equipez-vous en conséquence : bouteille d’eau, compléments alimentaires…

Le yoga pour être plus fort

Quel que soit le type de yoga que vous choisissez, on peut tous bénéficier de la force mentale et physique que cette discipline permet de développer. Le yoga est une discipline stimulante qui développera votre force à un point que n’auriez osé imaginer.

 

Source : Samantha Clayton, Directrice du département Worldwide Fitness Education, Herbalife

Les 3 étapes pour vous renforcer musculairement

Les 3 étapes pour vous renforcer musculairement

Les 3 étapes pour vous renforcer musculairement.  Il faut des efforts et de la régularité pour obtenir des résultats et modifier sa composition corporelle. Vous cherchez à développer votre masse musculaire.  Améliorer votre condition physique ou affiner votre silhouette. Vous pouvez agir au quotidien pour atteindre votre objectif final. Ainsi ces trois étapes s’intégreront à vos habitudes sportives et contribueront à votre programme de renforcement musculaire.

 1 Effectuez certains exercices spécifiques de façon régulière.

 2 : Adoptez une alimentation équilibrée qui vous apporte suffisamment de protéines et de micronutriments.

 3 : Prévoyez des jours de repos pour laisser le temps à vos adaptations de se mettre en place.

Ainsi pour pouvoir stimuler le développement musculaire, le corps doit être poussé au moyen d’exercices de résistance. Les muscles se développent lorsque les petites fibres musculaires se déchirent sous l’effet du stress puis se régénèrent. Cette croissance s’opère pendant les périodes de repos et le corps a besoin de carburant pour se régénérer efficacement.

Le programme de renforcement musculaire

Votre programme  doit intégrer les aspects suivants :

  • Travail intense : L’entraînement intense stimule les tissus musculaires. Servez-vous du poids de votre corps pour exercer une résistance, ou bien soulevez des haltères régulièrement, 3 à 4 fois par semaine.
  • Équilibre : Veillez à travailler le haut et le bas du corps afin de garantir un bon équilibre musculaire de votre corps.
  • Patience : Laissez le temps aux résultats de se faire sentir. Le développement et le renforcement musculaire prennent du temps.
  • Journées de repos : Ne poussez pas trop loin vos entraînements car votre capacité de récupération s’en trouverait compromise. Programmez au minimum 1 à 2 jours de repos par semaine.
  • Motivation : Gardez bien à l’esprit que c’est votre motivation qui déclenchera les changements.

L’entraînement idéal pour développer votre masse musculaire

La progressivité de vos entraînements est importante si vous voulez que votre programme musculaire produise des résultats. C’est pourquoi vous devez vous tenir à vos entraînements pour vous améliorer dans le temps. Ainsi si vous soulevez toujours le même poids sur le même nombre de mouvements à chaque séance, vous ne changerez rien. Au bout d’un moment vous devez essayez d’enchaîner plus de mouvements répétés, ou d’augmenter le poids soulevé.

Vous pouvez suivre un programme d’intensification progressive qui vous permettra de voir facilement si vous progressez d’une séance à l’autre. Le principe des gammes de mouvements est simple à comprendre et à intégrer à votre programme d’entraînement.

En général il est conseillé une gamme de répétitions de 10 à 14 pour commencer le renforcement au début, surtout si vous débutez dans cette activité. Le nombre élevé de répétitions vous forcera à choisir un poids raisonnable. Ainsi vous apprenez à maîtriser cette forme d’exercice (ce qui est indispensable pour votre sécurité) à mesure que le poids soulevé augmente. Progressivement, vous passez aux gammes de puissance. Vous augmentez le poids soulevé et diminuez le nombre de répétitions.

Pour commencer

Alors pour votre premier entraînement, votre objectif consiste à atteindre un état de fatigue musculaire dans la gamme définie, avec un poids défini. Par exemple, si le poids défini pour les squats est 23kg et que vous parvenez à faire 12 mouvements parfaitement. Alors vous pouvez retenir que vous avez effectué un jeu de squats équivalent à 23kg sur 12 mouvements.

Lors du prochain entraînement, vous chercherez à effectuer plus de mouvements avec le même poids, jusqu’à  réaliser 14 mouvements complets. Lorsque vous atteignez le nombre de répétitions défini. Vous pouvez augmenter le poids lors de la séance suivante puisque le plafond de la gamme a été atteint.

Augmentation du poids

Le poids pour ce jeu de mouvements doit être augmenté de 5 à 10% avec pour objectif d’atteindre au minimum 10 mouvements répétés dans la gamme de 10 à 14.

Donc il est important de chercher à accroître le nombre de répétitions dans la gamme définie. Ensuite augmenter le poids soulevé une fois le plafond de gamme atteint. Cette méthode d’entraînement est très progressive, mais elle permet de développer votre résistance globale et votre masse musculaire sans risque de blessure.

Alimentation

Important, vous devez veillez à apporter suffisamment d’énergie à votre corps pour qu’il supporte les entraînements et puisse récupérer. Donc, prenez un bon petit déjeuner, un encas en milieu de matinée (barre aux protéines par exemple), un déjeuner raisonnable, un encas en milieu d’après-midi et enfin un dîner adapté (voir nos idées de recettes faciles pour un programme 5 repas).

Vous cherchez à développer votre masse musculaire. Et pour y parvenir, il vous faut du carburant. Vous ne pouvez pas trop restreindre votre apport calorique, mais ne vous inquiétez pas. Vous devez néanmoins faire les bons choix en matière d’équilibre alimentaire. Préférez les aliments à fort pouvoir nutritif. Ceux qui sont riches en protéines et vous apportent des glucides issus de céréales complètes et de fruits. Lorsqu’ils essaient d’augmenter leur poids ou leur masse musculaire, beaucoup font l’erreur de penser qu’ils peuvent se laisser aller à une alimentation déséquilibrée. Cette attitude vous fera prendre du poids, mais au détriment de votre état de santé général. Soyez raisonnables dans vos choix.

 

Source Samantha Clayton, Directrice du département Worldwide Fitness Education, Herbalife

Les avantages du volley-ball

Les avantages du volley-ball

volleyball game sport with group of young beautiful girls indoor in sport arena school gym

Sport d’équipe le volley-ball

Les avantages du volley-ball. Saviez-vous que le volley est des sports les plus pratiqués dans le Monde ? Aujourd’hui, le volley-ball rassemble plus de 260 millions de licenciés à travers le monde (source UNSS). Ce sport séduit de plus en plus de pratiquants. Sport d’équipe physique, il présente de nombreux avantages. Et si vous vous mettiez au volley-ball vous aussi ?

Avec 124 371  licenciés en France (selon la FFVB), le volley-ball est un sport qui monte !  Il peut être pratiqué à tous les âges et qui est parfaitement mixte ! Voici quelques avantages à se mettre à la pratique du volley-ball.

Esprit d’équipe

Le volley-ball est avant tout un sport collectif, puisqu’il mobilise sur le terrain deux équipes de 6 personnes. 6 personnalités qui se doivent de bien se connaître pour réussir au mieux les passes et les échanges pour marquer des points. A chacun son caractère, ses affinités et ses spécialités ! Pour jouer au volley-ball, il est donc nécessaire de gérer les joueurs qui nous entourent. Ce sport renforce l’esprit d’équipe, la tolérance, aide à la socialisation. 

Réflexes, adresse et coordination

Un des avantages du volley est aussi le développement des réflexes, de l’adresse, de la coordination des membres. Effectivement, ce sport nécessite des déplacements rapides et donc de l’équilibre. C’est un sport technique qui nécessite de l’apprentissage, surtout au début, pour acquérir les bons gestes et pour ne pas se blesser.

Renforcement musculaire (cuisses, fessiers, abdominaux)

Évidemment, la pratique d’un sport comme le volley-ball agit sur le renforcement musculaire. Les cuisses, les fessiers, les abdominaux sont les muscles les plus sollicités. Car les déplacements et les gestes techniques se font majoritairement jambes fléchies. Les déplacements rapides sur de courtes distances aident à muscler efficacement les jambes, mais permettent aussi de faire travailler le cardio.

La durée des matchs n’étant pas fixe (un match se joue en 3 sets gagnants), l’endurance et le cardio sont des paramètres très importants. 

Pas de contre-indication

La pratique du volley-ball ne présente pas de contre-indication particulière, il peut même se pratiquer très jeune grâce aux cours de baby volley. Il se pratique en toute saison, en intérieur ou en extérieur. 

Des entrainements réguliers et des exercices complémentaires permettent de muscler le reste du corps. Une alimentation équilibrée en plus de la pratique régulière peut permettre une perte de poids et l’affinement de la silhouette.

 

Herbalife est fier de pouvoir s’associer à ce sport en devenant le partenaire nutritionnel officiel de la Fédération Française de Volley-Ball.