Nos conseils pour réussir vos courses longue durée

Nos conseils pour réussir vos courses de longue durée

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Nos conseils pour réussir vos courses de longue durée

Nos conseils pour réussir vos courses de longue durée

Nos conseils pour réussir vos courses de longue durée. Que faut-il faire et éviter de faire avant une course de longue durée, comme un marathon ou un triathlon tel celui de Gérardmer ?

 L’entraînement c’est bien ; l’entraînement et la nutrition, c’est mieux. Les trois piliers vitaux sont l’alimentation, l’hydratation et le sommeil.

Nos conseils pour réussir vos course de longue durée. Avant la course

L’alimentation de tous les jours doit être diversifiée, variée et équilibrée.

La semaine qui précède la course, il s’agit d’optimiser l’hydratation et de maintenir les réserves énergétiques, en particulier glycogéniques.

Le petit déjeuner est indispensable pour l’équilibre énergétique de la journée. Un vrai petit déjeuner doit apporter au moins 20% de la ration calorique de la journée.

Pour réaliser une bonne performance, il faut :

  • garantir la formation de réserves énergétiques optimales (glycogène)
  • assurer un état correct au niveau musculaire et anticiper une bonne récupération
  • limiter les troubles digestifs : il faut bien choisir les aliments et les boissons
  • avoir une bonne hydratation: un marathonien doit boire entre 2,5 litres à 3 litres d’eau par jour, à augmenter en fonction des facteurs climatiques

De bons stocks en glycogène sont corrélés avec une bonne hydratation : 1g de glycogène est stocké avec 2.7g d’eau.

Le dernier repas avant le marathon

Il s’agit en général du petit déjeuner.

Il est primordial d’apporter des aliments digestes permettant de remonter les stocks de glycogène et de boire pour réhydrater l’organisme. Sa prise doit être réalisée 3 heures avant le départ. Le repas doit comprendre des aliments à index glycémique bas, et la prise régulière de boissons d’attente, en petite quantité (150 à 200ml, soit l’équivalent d’un verre d’eau).

Pendant la course

Pendant la course, Il s’agit donc pour le marathonien d’assurer un apport énergétique exogène pendant l’effort afin de :

  • maintenir les stocks de glycogène musculaire et hépatique
  • préserver une hydratation optimale et minimiser les pertes minérales
  • retarder l’apparition de la fatigue musculaire et nerveuse
  • diminuer les problèmes musculo-tendineux

La prise d’une boisson énergétique permet de se réhydrater et de limiter la baisse des stocks de sucres. Un minimum de 500ml par heure est à respecter. La boisson doit être isotonique ou hypotonique afin d’assurer une bonne hydratation et de minimiser les troubles digestifs.

Les barres et les gels énergétiques peuvent être envisagés en complément de la boisson de l’effort.

En course, prenez l’habitude de boire (4 à 5 gorgées) tous les 5 km. N’attendez pas d’avoir soif ou d’être fatigué. Souvenez-vous qu’il faut mieux prévenir la perte d’énergie et d’eau plutôt que d’essayer de la compenser plus tard.

Après une longue course

Dans la phase de récupération, il faut :

  • assurer la resynthèse des stocks de glycogène musculaire et hépatique
  • favoriser la reconstruction musculaire
  • éliminer les déchets,
  • reconstituer l’équilibre acido-basique.

Il est recommandé d’utiliser, le plus tôt possible, après la fin de l’effort, des boissons de récupération glucido-proteinées pour reconstituer les stocks de glycogène musculaire et hépatique et reconstruire les protéines musculaires lésées.

Pour lutter contre l’acidose, il est recommandé de consommer des boissons gazeuses.

Nos conseils pour réussir vos course de longue durée. Ce qu’il NE faut PAS faire pour une course de longue durée

Avant la course, il ne faut pas :

  • S’entraîner trop, sans tenir compte du plan d’entrainement décidé à l’avance
  • Ignorer les bases élémentaires d’une nutrition saine et équilibrée, en supprimant des nutriments indispensables
  • Décider de limiter son temps de sommeil
  • Ne pas s’hydrater correctement
  • Stresser

Pendant la course, évitez de :

  • Epuiser ses réserves énergétiques en partant trop vite
  • Ne pas réévaluer ses ambitions après le 30ème km (pour le marathon)
  • Ne pas s’hydrater correctement

Après la course, n’adoptez ces attitudes :

  • Négliger des douleurs musculo-tendineuse ou articulaires.
  • Ne pas se reposer
  • Ne pas reprendre en douceur, la course, après un arrêt de 6 à 8 semaines
Source : Article rédigé par Jacques Manic, diplômé de la faculté de médecine et membre du Comité International pour la Nutrition Herbalife.

Les minéraux et leur intérêt pour les sportifs

Les minéraux et leur intérêt pour les sportifs

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Les minéraux et leur intérêt pour les sportifs

Les minéraux et leur intérêt pour les sportifs

Les minéraux et leur intérêt pour les sportifs. Les sels minéraux sont des substances provenant de roches qui entrent dans la composition des organismes. Ce sont des substances indispensables à l’organisme. Ils sont apportés principalement par les aliments d’origine végétale. Ils se divisent en macro-éléments et en oligo-éléments.

Les macroéléments représentent 99% des minéraux de l’organisme.  Ce sont le calcium, le phosphore, le magnésium, le zinc, le potassium, le sodium, le chlore et le souffre.

Les oligo-éléments sont le fer, l’aluminium, l’arsenic, le bore, le brome, le chrome, le cobalt, le cuivre, le fluor, l’iode. Egalement le manganèse, le molybdène, le nickel, le plomb, le silicium, le sélénium, le vanadium et le plutonium.

Les minéraux et leur intérêt pour les sportifs. Les sels minéraux sont des éléments nutritifs qui ne fournissent pas d’énergie mais qui sont cependant indispensables à de nombreuses fonctions du corps. L’absorption quotidienne est recommandée. Contrairement aux vitamines, ils sont peu sensibles à la chaleur, à la lumière et à l’oxygène. Les boissons énergétiques de l’effort en contiennent, car ils présentent de nombreux intérêts pour les sportifs.

On connaissait l’importance du sodium et du potassium dans l’équilibre hydrique et la fonction musculaire. On sait désormais qu’ils le sont tout autant dans la fonction de récupération.

Les minéraux et leur intérêt pour les sportifs. Le sodium

Le sodium a 3 grandes fonctions :

I.        Il est à l’origine de l’équilibre hydrique. Il est indispensable pour maintenir la distribution de l’eau dans l’organisme et maintenir un niveau stable de pression sanguine.

II.        Il est l’un des piliers de la fonction musculaire. Il assure la transmission de l’influx nerveux au niveau des membranes cellulaires et la contraction musculaire.

III.        Il est indispensable dans la diététique de récupération, pour restaurer l’équilibre hydrique et la fonction musculaire, y compris cardiaque

Les apports en sodium sont estimés à 575-3500 mg/jour. La consommation journalière de sodium dans les pays industrialisés est d’environ 4000 mg/jour.

Le potassium

Le potassium a 3 grandes fonctions

I.        Grâce à l’action de la pompe sodium/potassium de part et d’autre de la membrane cellulaire, le potassium maintient l’équilibre hydrique et un niveau stable de pression sanguine.

II.        Il assure la transmission de l’influx nerveux et la contraction musculaire (notamment cardiaque).

III.        Le potasium lié au sodium à des concentrations suffisamment élevées, est important dans la diététique de récupération pour restaurer l’équilibre hydrique, la fonction musculaire y compris cardiaque et le glycogène cellulaire.

Le corps contient de 150 à 170 g de potassium, en grande partie dans les cellules des muscles. Les experts canadiens recommandent un apport quotidien en potassium de 4 700 milligrammes. Malheureusement, notre consommation actuelle se situe en moyenne entre 50 et 75 % de cette recommandation.

Le magnésium

Le magnésium active les enzymes nécessaires au métabolisme des sucres et des protéines. Il intervient dans la synthèse de l’ADN et la contraction musculaire. 50 % du magnésium se situent dans le squelette et les 50 % restants, dans le cœur, les muscles et le foie.

L’apport recommandé quotidien est estimé entre 150 et 500 mg (le double pour les sportifs) ou encore 6 mg par kg de masse corporelle.

Le calcium

Le calcium sert à la formation des os et des dents et à la coagulation sanguine. 99 % du calcium de l’organisme est dans les os et donne à l’os sa rigidité. La fonction la plus spectaculaire du calcium est qu’il aide le cœur à se contracter. La vitamine D joue un rôle essentiel dans l’absorption du calcium.

La consommation de boissons enrichies en sodium, en contribuant à réduire la diurèse, permet en priorité d’éviter l’élimination urinaire abondante du potassium. L’ajout concomitant de potassium dans ce type de boissons, contribue à faciliter le retour aux niveaux initiaux de potassium et la reformation du glycogène musculaire avec lequel il se lie au niveau de la fibre musculaire. Le calcium et le magnésium viennent compléter les effets positifs du couple sodium/potassium.

Le calcium a un apport quotidien recommandé, de 700 mg. Il n’existe pas de cas d’accumulation connu.

Les oligo-éléments. Le fer

Le fer est un élément minéral qui se trouve à l’état de traces dans l’organisme. Le corps d’un homme adulte contient environ 4 g de fer. Celui d’une femme, seulement 2,5 g.

Le fer est un des constituants de l’hémoglobine des globules rouges du sang. Celle-ci assure le transport de l’oxygène depuis les poumons vers tous les autres organes et l’échange ensuite contre le gaz carbonique. Le fer entre dans la composition de la myoglobine qui stocke l’oxygène dans les muscles. Il intervient dans de nombreuses réactions enzymatiques cellulaires.

Un adulte perd chaque jour de 0,9 à 1 mg de fer (environ 14 µg/kg). Près de 0,6 mg sont perdus par les selles, 0,2 à 0,3 mg par la peau et 0,1 mg par les urines.

Le sélénium

Le sélénium est un oligo-élément dont le rôle principal est de protéger les cellules du stress oxydatif et de stimuler le système immunitaire. Associé à la vitamine E, le sélénium peut accroître le bien-être de l’organisme. L’apport quotidien recommandé est de 55 µg.

Le manganèse

Le manganèse est un oligoélément essentiel, non synthétisé par l’organisme. Il doit obligatoirement être apporté par l’alimentation. Les besoins en manganèse sont estimés entre 1 et 2,5 mg par jour.

Il  active de nombreux systèmes enzymatiques en limitant l’action des radicaux libres et donc prévient le vieillissement cellulaire. Il participe au bon fonctionnement du métabolisme des graisses, à la synthèse du tissu conjonctif ainsi qu’à la régulation du glucose dans le sang. Il renforce les défenses immunitaires. Il contribue à la production d’hormones sexuelles et à leur activité. Il permet de maintenir l’intégrité des os.

Le cuivre

Le cuivre est un minéral très important dans l’organisme. Il participe à l’entretien des cartilages et des os, à la lutte contre les infections et au bon fonctionnement du cœur. Cet oligo-élément permet l’assimilation de la vitamine C et du fer et intervient dans la production d’hémoglobine. Le cuivre freine la formation d’histamine et joue un rôle important dans la prévention des allergies. Il intervient dans la pigmentation de la peau par la conversion de la tyrosine en pigment. Antioxydant, il protège contre la formation des radicaux libres. L’apport quotidien recommandé est de 1,1 mg. La dose maximale autorisée en France dans les compléments alimentaires est de 2 mg/jour.

L’iode

L’iode est un oligo-élément qui entre dans la composition des hormones thyroïdiennes. Il est donc indispensable au fonctionnement normal de la glande thyroïde Le sel iodé est un agent idéal pour prévenir les carences en iode. Dans le monde, environ 0,5 milliards de personnes souffrent d’une carence en iode. L’apport quotidien recommandé est de 130 µg.

Le zinc

Le zinc est un minéral indispensable à l’organisme, en particulier parce qu’il entre dans la composition de nombreuses enzymes. Il régule le niveau de la vitamine A présent dans l’organisme, aide à la formation du collagène et à la fixation du phosphore dans les os. Il a également des propriétés anti-oxydantes et un effet sur le système immunitaire, sur le fonctionnement du cerveau, sur l’activité de l’insuline, ainsi que quelques propriétés anti-inflammatoires. L’apport quotidien recommandé est de 9,5 mg.

Le phosphore

Le phosphore est le deuxième minéral le plus abondant dans le corps humain, après le calcium. Le corps humain contient 700 g de phosphore, dont 85 % sont associés au calcium dans la formation des os et des dents. Il aide à maintenir l’équilibre acido-basique dans l’organisme et favorise le contrôle du métabolisme énergétique. L’apport quotidien recommandé est de 550 mg.

 

Source des minéraux et l’intérêt pour les sportifs : Article rédigé par Jacques Manic, diplômé de la faculté de médecine et membre du Comité International pour la Nutrition Herbalife.

Comment manger moins vite pour contrôler votre poids ?

Comment manger moins vite pour contrôler votre poids ?

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Comment manger moins vite pour contrôler votre poids ?

5 Astuces pour manger moins vite

Vous mangez trop rapidement ? Il est pourtant recommandé de prendre le temps de manger. Voici pourquoi et, surtout, comment faire !

Maîtriser son poids passe par le contrôle de la vitesse à laquelle on mange

Lorsque l’on mange vite, le cerveau a moins le temps d’analyser ce qui arrive dans l’estomac, et donc d’être en mesure de dire que l’on a assez manger ! Prendre le temps de manger est donc important pour le contrôle de poids, et le contrôle de la faim.

Par ailleurs, lorsqu’on mange trop vite, on avale souvent plus d’air, ce qui favorise les maux de ventre ou les indigestions.

Sans compter que lorsqu’il s’agit de la pause de midi, un temps de repas suffisamment long est une vraie coupure dans son travail, essentielle au bien-être général.

5 astuces pour manger moins vite

Mangez par étape

Ne mettez pas tout votre repas sur la table, mais procédez par étapes. Par exemple, commencez par une salade ou une soupe, voire même par les légumes. Vous débutez ainsi votre repas par les mets les moins caloriques, tout en donnant du travail à votre estomac.

Une ambiance tamisée

Manger dans un cadre propice au calme contribue aussi à manger moins vite. Choisissez une musique douce, et optez pour un éclairage tamisé : cela contribuera à prendre un repas sereinement.

Une question de température

Mangez vos plats à la bonne température ! Si vous vous apprêtez à manger tiède un plat qui est particulièrement bon lorsqu’il est bien chaud, vous risquez de le manger trop rapidement (avant qu’il ne soit totalement froid). Soyez donc attentif à la manière de préparer vos plats pour prendre du plaisir à les déguster !

Une bouchée après l’autre

Une règle très simple que vous pouvez mettre en application est la suivante : tant que vous n’avez pas fini votre bouchée, vous n’avez pas le droit de remettre des aliments dans votre fourchette ou votre cuillère. Ainsi, le rythme de votre repas sera : mâcher, avaler, remplir la fourchette ou la cuillère, l’amener à la bouche, mâcher, etc.

Vous verrez, grâce à ce conseil, vous augmenterez votre temps de repas.

Prévoir une pause

Au milieu de votre repas, prenez une pause de quelques minutes. Vous pouvez en profiter pour boire un peu d’eau, poursuivre la conversation, porter votre attention sur la musique…

Après ce temps, vous pourrez recommencer à manger et terminer votre repas.

Et vous, comment faites-vous pour prendre le temps de bien manger ?

 

Accros à la télévision 5 idées pour en décoller ?

Accros à la télévision 5 idées pour en décoller ?

Young woman watching television

Accros à la télévision  5 idées pour en décoller ?

Décoller de devant la télé pour plus de vitalité !

La télévision est accusée de bien des maux (passivité, dégradation de la condition physique, moins bonne alimentation…). Il est vrai que c’est une activité qui demande peu d’efforts et, pour peu que l’on soit fatigué, on y succombe vite… Et pourtant, le temps passé devant la télévision pourrait être mis à profit pour bien d’autres activités, pour notre plus grand bien !

Prendre le temps de faire à manger

Nous avons trop tendance à privilégier une alimentation basée exclusivement sur des produits industriels déjà préparés, dont nous ne maîtrisons pas la composition (pouvant ainsi être trop riche en sucre, en sel ou encore en graisse). Prendre le temps de faire à manger permet de mieux contrôler le contenu de nos assiettes avec des aliments que nous avons choisis et qui sont sains. Voici d’ailleurs quelques idées !

Prendre le temps de manger

Prendre le temps de manger est important. Or lorsque l’on mange devant la télévision, on a tendance à manger plus rapidement, sans réellement faire attention à ce que l’on ingurgite. Or prendre le temps de manger est tout un art.

Manger en famille, et sans télévision bien sûr, limite les risques de prise de poids, notamment chez l’enfant. Et oui, prendre le temps de manger en famille (ou avec des amis) renforce les liens affectifs, ce qui augmente le plaisir lié à l’alimentation !

Pratiquer une activité physique

La liste des activités physiques est longue… Que vous soyez plutôt sport collectif ou sport individuel, vous trouverez forcément une activité qui vous plaira et qui vous permettra d’avoir un corps ferme et en pleine forme : danse, aquarunning, randonnée, vélo, step, volley-ball… Et ce n’est pas parce que l’hiver s’annonce qu’il doit servir d’excuse !

Là encore, pensez à jouer la carte famille pour vous faire plaisir !

Sortir

Moins regarder la télévision dégage du temps pour sortir : avec son conjoint, avec ses enfants, avec ses amis ! Que ce soit au restaurant pour un dîner aux chandelles, pour une soirée cinéma ou une balade en pleine nature, prenez le temps de sortir avec vos proches. La communication avec eux n’en sera que meilleure !

Etre disponible pour les autres

Aider les autres (sa famille, ses voisins…) est une activité valorisante, bénéfique pour le bien-être général. Aussi, si un membre de votre famille a besoin d’un coup de main pour faire ses courses ou qu’un voisin vous sollicite pour un dépannage (comme promener son chien), n’hésitez pas : vous améliorerez l’image que vous avez de vous-même !

Le temps passé devant la télévision l’est souvent au détriment d’autres activités pourtant meilleures pour notre bien-être. Faites l’expérience : limitez le temps passé devant la télévision et observez ce que vous avez pu faire grâce à cette décision ! Vous constaterez sans nul doute que vous aurez plus pris soin de vous et de vos proches

Comment rendre les légumes plus goûteux ?

Comment rendre les légumes plus goûteux ?

Comment rendre les légumes plus goûteux ?

Comment rendre les légumes plus goûteux ? Quelques idées et astuces pour réussir des recettes de légumes pleines de goût.

On a beau savoir que les légumes sont pleins de vitamines, de sels minéraux, de nutriments et de fibres ! Il est quelques fois difficile de s’enthousiasmer devant une recette de légumes cuits à l’eau… Comment ramener du goût et de l’envie dans notre assiette de légumes ?

Quelle cuisson pour des recettes de légumes pleines de goûts ?

Malgré une certaine mauvaise réputation concernant le goût des aliments cuits de cette façon. La cuisson vapeur est la meilleure façon de faire cuire sainement ses légumes. Celles qui ont préparé elles-mêmes les petits-pots pour leurs bébés ont pu le redécouvrir. Les recettes de légumes cuits à la vapeur sont les plus riches en goûts. La cuisson vapeur permet non seulement de conserver les qualités nutritives des aliments mais aussi leurs sucres. Pensez à conserver l’eau de cuisson, vous en aurez besoin plus tard…

Les légumes cuits à la vapeur sont les plus savoureux

Ainsi, un chou (chou-fleur, chou frisé, les choux de Bruxelles…), des pommes de terre, des haricots verts, des carottes, le fenouil garderont toutes leurs saveurs après avoir été cuit-vapeur !

Quels légumes choisir pour ses recettes ?

Tous les légumes ont leurs surpporters. Mais saviez-vous qu’une personne sur quatre est plus réceptive aux goûts, surtout au goût amer ? Il sera difficile, quelle que soit la recette, de leur faire apprécier les légumes crucifères comme les brocolis, les choux de Bruxelles. Du fait de leur goût particulièrement amer… Et pourtant ils font partie des légumes les plus intéressants en matière de nutrition !

Pour ces légumes les plus « difficiles » pour certains, prévoyez de les cuire dans un peu de lait pour atténuer leur amertume.

Comment assaisonner au mieux des recettes de légumes ? Épicez vos légumes

Compléter ses recettes de légumes avec les épices adaptées permet de magnifier ses plats sans forcément avoir à passer par la case lipides/matières grasses . La liste est longue : curry, paprika, curcuma, safran, girofle, origan, piments, cumin, poivre, baies de genièvre… un peu de curry ou de cumin ajouté à une purée de carottes transformerait presque un accompagnement en plat complet. Optez pour du curcuma pour donner une belle couleur et un goût très légèrement épicé à de nombreux plats de légumes : courgettes, navets nouveaux, carottes…

Selon les recettes, adaptez l’assaisonnement et le moment où vous l’ajouterez au plat . Certaines épices ont besoin de mijoter avec le plat, d’autres seront plus à leur avantage ajoutées en fin de cuisson, comme le poivre moulu dont le goût s’estompe avec la cuisson. Globalement, retenez que les épices en poudre doivent plutôt être utilisées en fin de cuisson. Pour permettre de conserver les saveurs et propriétés. A l’inverse, pour les épices entières, mettez-en un peu en début de cuisson, et un peu à la fin.

Les épices sont une bonne manière de varier le plaisir de manger des soupes, autre grande manière de s’assurer d’avoir un bon apport en légumes !

Avec un peu d’huile d’olive, d’herbes, un filet de jus de citron et un peu d’anticipation ! Vous pouvez préparer des recettes de légumes marinés qui vous garantiront les légumes les plus goûteux possibles.

Comme vous avez soigneusement conservé l’eau de cuisson . Vous pouvez remplacer une bonne partie de l’huile de votre vinaigrette par celle-ci. Il vous faut juste la compléter d’un demi-bouillon de volaille en cube par demi-litre, d’un peu de maïzena, et la faire bouillir.

Des herbes pour relever vos recettes

De manière assez similaire aux épices, pensez aux herbes pour « pimper » vos recettes de légumes et varier les plaisirs : aneth, basilic, ciboulette, estragon, laurier, persil, romarin, oseille, sarriette, sauge, thym…

Faites évoluer vos recettes au fil des saisons

Vous pouvez aussi varier vos recettes de risotto en faisant évoluer les légumes que vous intégrez : poireaux et carottes de l’automne. Au printemps, asperges . Courgettes, tomates et poivrons en été. Ainsi, avec une base de féculent, vous vous assurez de manger des légumes toute l’année !

Mariez les légumes

Certains légumes donnent particulièrement du goût. Mélangez-les avec d’autres légumes aux saveurs moins prononcées. Tout au long de l’année, ail, oignons et échalotes seront vos alliés !

Faites des légumes marinés

Avec un filet d’huile d’olive, des herbes, un filet de jus de citron et un peu d’anticipation, vous pouvez préparer des recettes de légumes marinés . Ainsi ils vous garantiront les légumes les plus goûteux possibles.

Bien sûr, pour réaliser les recettes de légumes les plus savoureuses, privilégiez quand vous le pouvez des légumes bio et locaux, nettement plus susceptibles d’être gage de fraîcheur et de qualité que des légumes de supermarché… Si vous manquez de temps, pensez aussi aux légumes congelés : ce sont des légumes frais qui sont surgelés !

Et vous, quelle est votre astuce pour sublimer un légume ? Dites-nous tout en commentaire.

 

Je mange normalement mais j’ai tout le temps faim

Je mange normalement mais j’ai tout le temps faim

Pourquoi ?

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Je mange normalement mais j’ai tout le temps faim

Pourquoi ?

Comprendre les causes d’une constante sensation de faim.

Vous consommez trois repas par jour mais ressentez trop souvent une sensation de faim ? Ce phénomène peut s’expliquer de différentes manières, nous vous livrons quelques astuces pour comprendre et apprendre à calmer cette sensation de faim.

Apprenez à écouter votre corps

Lorsque vous ressentez une sensation de faim qui, selon vous n’est pas normale parce-que vous avez mangé il y a peu de temps, il est indispensable d’écouter votre corps et d’essayer de comprendre ce qui se passe.

Premièrement, faites le bilan de ce que vous avez mangé avant de ressentir cette faim : était-ce un repas copieux ? Un petit déjeuner ? Un en-cas ? Il s’agit donc d’identifier votre repas précédent dans la journée.

Exemple : il est 11H00 et vous ressentez déjà une sensation de faim. Posez-vous alors la question : qu’ai-je mangé au petit déjeuner ? Etait-ce un bol de céréales et un café ? Ou alors juste un fruit ou un jus d’orange ? En résumé demandez-vous si vous avez suffiament mangé ?

Cette analyse vous permettra dans un premier temps de savoir si vos repas sont suffisamment complets ou non, ce qui pourrait expliquer cette sensation de faim : votre corps réclame de l’énergie, parce qu’il n’en a pas eu assez.

Identifier sa faim

La deuxième étape consiste à identifier cette sensation de faim. Une astuce très simple et efficace revient à vous imaginer manger un fruit ou des légumes : si vous avez vraiment faim et que votre corps réclame de l’énergie, alors la simple idée de manger un fruit ou des légumes vous donnera envie.

En revanche, si vous pensez avoir faim mais n’avez pas du tout envie d’aliments sains, mais plutôt de sucre ou d’aliments riches en graisses, alors il se peut que votre sensation de faim ne soit pas physique, mais émotionnelle.

Différence entre faim et envie

Il s’agit donc de faire la différence entre une réelle sensation de faim, qui résulte d’un besoin de l’organisme et l’envie de manger, qui elle est plus régie par l’émotionnel.

Il est donc courant de croire avoir faim tout au long de la journée malgré une prise de repas normale, alors qu’il ne s’agit en fait que d’une envie de manger, une fringale.

Bien manger pour éviter de grignoter

Il est donc important de veiller à bien manger, tout au long de a journée. Et qui dit bien manger dit également suffisamment manger. Si vous êtes en plein régime, cette sensation de faim peut indiquer que vous ne mangez pas suffisamment, il est donc important de veiller à prendre des repas sains, équilibrés et en quantité suffisante.

Une astuce simple et qui entre tout à ait dans le cadre d’un régime et d’une alimentation équilibrée, consiste à fractionner ses repas en 5 prises au lieu de 3. Concrètement, vous mangez 5 repas légers plutôt que 3 repas plus copieux.
Ainsi, la sensation de faim aura tendance à disparaître, puisque vous n’aurez pas à attendre trop longtemps avant le prochain repas.

De la même manière, une autre astuce qui entre dans la composition d’une alimentation équilibrée consiste à prendre des en-cas, véritables armes contre la faim et le grignotage. Pensez à privilégier les en-cas de type barres aux protéines, qui vous permettront de tenir jusqu’à déjeuner ou au diner.

En résume, il y a deux questions primordiales à se poser : ai-je vraiment faim et ai-je suffisament mangé ? Partis de là, vous saurez comment réagir et mieux équilibrer vos repas !