Nos conseils pour réussir vos courses longue durée

Nos conseils pour réussir vos courses de longue durée

Runners couple running on trail in cross country run outdoors training on Hawaii, Big Island for marathon or triathlon. Fit young fitness model man and asian woman training together outside.

Nos conseils pour réussir vos courses de longue durée

Nos conseils pour réussir vos courses de longue durée

Nos conseils pour réussir vos courses de longue durée. Que faut-il faire et éviter de faire avant une course de longue durée, comme un marathon ou un triathlon tel celui de Gérardmer ?

 L’entraînement c’est bien ; l’entraînement et la nutrition, c’est mieux. Les trois piliers vitaux sont l’alimentation, l’hydratation et le sommeil.

Nos conseils pour réussir vos course de longue durée. Avant la course

L’alimentation de tous les jours doit être diversifiée, variée et équilibrée.

La semaine qui précède la course, il s’agit d’optimiser l’hydratation et de maintenir les réserves énergétiques, en particulier glycogéniques.

Le petit déjeuner est indispensable pour l’équilibre énergétique de la journée. Un vrai petit déjeuner doit apporter au moins 20% de la ration calorique de la journée.

Pour réaliser une bonne performance, il faut :

  • garantir la formation de réserves énergétiques optimales (glycogène)
  • assurer un état correct au niveau musculaire et anticiper une bonne récupération
  • limiter les troubles digestifs : il faut bien choisir les aliments et les boissons
  • avoir une bonne hydratation: un marathonien doit boire entre 2,5 litres à 3 litres d’eau par jour, à augmenter en fonction des facteurs climatiques

De bons stocks en glycogène sont corrélés avec une bonne hydratation : 1g de glycogène est stocké avec 2.7g d’eau.

Le dernier repas avant le marathon

Il s’agit en général du petit déjeuner.

Il est primordial d’apporter des aliments digestes permettant de remonter les stocks de glycogène et de boire pour réhydrater l’organisme. Sa prise doit être réalisée 3 heures avant le départ. Le repas doit comprendre des aliments à index glycémique bas, et la prise régulière de boissons d’attente, en petite quantité (150 à 200ml, soit l’équivalent d’un verre d’eau).

Pendant la course

Pendant la course, Il s’agit donc pour le marathonien d’assurer un apport énergétique exogène pendant l’effort afin de :

  • maintenir les stocks de glycogène musculaire et hépatique
  • préserver une hydratation optimale et minimiser les pertes minérales
  • retarder l’apparition de la fatigue musculaire et nerveuse
  • diminuer les problèmes musculo-tendineux

La prise d’une boisson énergétique permet de se réhydrater et de limiter la baisse des stocks de sucres. Un minimum de 500ml par heure est à respecter. La boisson doit être isotonique ou hypotonique afin d’assurer une bonne hydratation et de minimiser les troubles digestifs.

Les barres et les gels énergétiques peuvent être envisagés en complément de la boisson de l’effort.

En course, prenez l’habitude de boire (4 à 5 gorgées) tous les 5 km. N’attendez pas d’avoir soif ou d’être fatigué. Souvenez-vous qu’il faut mieux prévenir la perte d’énergie et d’eau plutôt que d’essayer de la compenser plus tard.

Après une longue course

Dans la phase de récupération, il faut :

  • assurer la resynthèse des stocks de glycogène musculaire et hépatique
  • favoriser la reconstruction musculaire
  • éliminer les déchets,
  • reconstituer l’équilibre acido-basique.

Il est recommandé d’utiliser, le plus tôt possible, après la fin de l’effort, des boissons de récupération glucido-proteinées pour reconstituer les stocks de glycogène musculaire et hépatique et reconstruire les protéines musculaires lésées.

Pour lutter contre l’acidose, il est recommandé de consommer des boissons gazeuses.

Nos conseils pour réussir vos course de longue durée. Ce qu’il NE faut PAS faire pour une course de longue durée

Avant la course, il ne faut pas :

  • S’entraîner trop, sans tenir compte du plan d’entrainement décidé à l’avance
  • Ignorer les bases élémentaires d’une nutrition saine et équilibrée, en supprimant des nutriments indispensables
  • Décider de limiter son temps de sommeil
  • Ne pas s’hydrater correctement
  • Stresser

Pendant la course, évitez de :

  • Epuiser ses réserves énergétiques en partant trop vite
  • Ne pas réévaluer ses ambitions après le 30ème km (pour le marathon)
  • Ne pas s’hydrater correctement

Après la course, n’adoptez ces attitudes :

  • Négliger des douleurs musculo-tendineuse ou articulaires.
  • Ne pas se reposer
  • Ne pas reprendre en douceur, la course, après un arrêt de 6 à 8 semaines
Source : Article rédigé par Jacques Manic, diplômé de la faculté de médecine et membre du Comité International pour la Nutrition Herbalife.

Protéger sa peau lors des entraînements

Protéger sa peau lors des entraînements

Pensez à protéger votre peau

Comment protéger sa peau lors des entraînements

Protéger sa peau lors des entraînements

Protéger sa peau lors des entraînements, courir, quoi de meilleur pour le corps ? Quel bonheur de courir au soleil, de se prendre un grand bol de vitamine D tout en travaillant son bronzage ! Oui, mais… Il faut savoir que le bronzage est avant tout une réaction de défense du corps pour se protéger du soleil : un bronzage foncé peut apporter une protection solaire équivalente à une crème d’indice 3 (faible). Les différents UV vont eux faire prématurément vieillir votre peau si elle n’est pas protégée correctement. Ajoutez à cela les phénomènes de frottements et ceux liés à l’humidité, il est temps de penser à protéger votre peau pendant les entraînements !

Protéger sa peau du soleil

Les crèmes de protection

La solution la plus évidente pour protéger sa peau pendant l’entraînement est de s’appliquer une crème de protection solaire adaptée à votre peau et à la saison. Optez pour une crème avec un facteur de protection solaire (FPS) de 30 ou +, elle vous protègera contre la quasi totalité des UVB, les plus dangereux, et offrira une protection raisonnable contre les UVA, moins dangereux pour la santé. N’oubliez pas de réappliquer régulièrement de la crème (au moins toutes les deux heures), il est bien plus efficace de se passer de la crème régulièrement même avec un indice moyen, qu’une fois avec une crème de FPS 50 ! Au passage, évitez de courir maquillée, cela va empêcher votre peau de bien transpirer et donc d’évacuer les toxines et de bien respirer !

Adapter son parcours d’entraînement à la saison

La meilleure façon de se protéger des rayons du soleil, c’est de les éviter ! Essayez de privilégier les parcours les plus ombragés, allez vous entraîner sur des parcours forestiers par exemple. Au niveau des horaires, même quand la chaleur le permet, évitez de courir entre 10h et 16h pour limiter l’exposition.

Se protéger avec ses vêtements

Choisissez des vêtements amples et respirant en tissus synthétiques pour courir : ils faciliteront le refroidissement de votre corps ainsi que l’évacuation de la transpiration. N’hésitez pas à vous équiper avec un t-shirt technique anti-UV, un t-shirt « normal » blanc par exemple laisse passer une grande quantité d’UV !

Se protéger des frottements

Si vous courez longtemps, attention aux parties de votre corps qui peuvent être agressées par les multiples frottements : les aisselles, la poitrine, l’aine, les cuisses, et bien entendu les pieds !Evitez les vêtements en coton, et ceux dont les coutures sont proéminentes : des vêtements en synthétique prévus pour la course vous protégeront des effets des mouvements répétés. En cas de sensibilité importante, prévoyez de la crème anti-frottements.

Bien s’occuper de soi après l’entraînement

Douche, huile de douche et crème hydratante : prenez soin de votre peau (et de vous…) après les entraînements…  Réhydratez-vous rapidement, que ce soit vous ou votre peau en avez bien besoin !

De cette manière vous éviterez les conséquences parfois négatives des entraînements au soleil pour votre peau, pour n’en garder que le meilleur : une peau claire et nette grâce à une meilleure irrigation sanguine et à l’expulsion des toxines !

Course et entraînement les indispensables

Course et entraînement les indispensables

ba9453db-7a4e-4833-9cb1-95987eb5df48

Course et entraînement les indispensables

Course et entraînement les indispensables

Course et entraînement les indispensables, vous vous lancez dans un nouveau programme de course à pied ou d’entraînement ? Voici quelques indispensables qui vous aideront à atteindre vos objectifs.

Lorsque vous vous lancez dans un nouveau programme de running ou d’entraînement (vous trouverez d’ailleurs des conseils running toutes les semaines sur notre nouveau compte Instagram I Run Herbalife), il est essentiel de pouvoir compter sur un équipement adapté. Les chaussures constituent le poste de dépense le plus indispensable et le plus onéreux. Et parce que l’hydratation joue un rôle majeur dans les performances, une bouteille d’eau résistante mais légère est également indispensable.

Course et entraînement les indispensable : Focus sur les chaussures

Pourquoi faut-il de bonnes chaussures ? Les risques liés au surentraînement dans des chaussures non adaptées sont nombreux, plus particulièrement si ces mêmes chaussures ne sont pas adaptées à votre pied ou si elles sont trop abîmées. Cela peut aller des douleurs aux genoux, à l’élongation du tendon d’Achille, la fracture du tibia due au stress et autres types de fractures. Si vous courez avec des chaussures dont le maintien n’est plus assuré, ou qui sont abîmées, alors vous risquez de vous blesser.

Protection et performance : De bonnes chaussures vous éviteront des douleurs aux pieds, corrigeront les déséquilibres et vous aideront être bien stable. Pour améliorer votre technique de course et le placement de vos pieds, des chaussures adaptées constituent une option à ne pas négliger.

Quand faut-il changer ses chaussures : Vos chaussures sont abîmées si à l’intérieur, la voute plantaire s’est effondrée et si les semelles intérieures ont perdu en épaisseur. A l’extérieur, ce sont en général les parties avant et arrière qui montrent des signes d’usure. Si vous constatez des signes d’usure sur les semelles qui traduisent la façon dont vous marchez, alors votre chaussure ne vous permet plus de corriger le placement de votre pied et ne vous apporte plus le soutien nécessaire. Si les reliefs des semelles sont partiellement effacés, alors il est grand temps de choisir une nouvelle paire.

Comment choisir les bonnes chaussures : La technologie a permis de réels progrès et je suis convaincue qu’il faut choisir des chaussures adaptées à l’utilisation que vous souhaitez en faire. Cela devrait être la priorité pour quiconque apprécie l’activité physique. On peut vite se tromper et acheter une paire qui ne soutient pas suffisamment le pied alors qu’il faudrait qu’elle prenne le relais des petites articulations du pied.

Choisir en fonction de sa discipline

Coureurs : Si vous courez souvent, alors vous aurez tout avantage à choisir une chaussure conçue pour la course. Les chaussures pour longues courses sont souvent plus légères et encouragent une bonne posture.

Entraînements mixtes: Si vous variez vos entraînements, alors préférez les chaussures mixtes. Les chaussures plus basses sont plus adaptées aux activités de salle de sport. Elles ne contraignent pas les tendons d’Achille ni les chevilles lorsque vous faites du step ou des squats.

Une conception adaptée : Ces chaussures adaptées sont parfaites si vous avez un déséquilibre connu, comme une surpronation, car elles corrigent le problème à chaque foulée. Une chaussure de maintien est également conseillée si vous courez beaucoup sur du bitume.

Un design léger avec moins de soutien : Ce type de chaussure a peu de coussins et ne peut donc pas compenser les trous et bosses de votre surface de course. Vos pieds risquent d’être plus sensibles et vous vous exposez à des risques de blessures. Toutefois, portées dans des situations adaptées, comme la course sur herbe ou sur sable, ce type de chaussures peut vous aider à renforcer les petits muscles souvent délaissés et les tendons des pieds et des chevilles.

Des conseils de pro : Demandez conseil aux professionnels des boutiques spécialisées dans les articles de course à pied. Ces conseils sont gratuits et vous ne le regretterez pas.

Comment s’hydrater pendant l’entraînement

Pendant l’entraînement, vous devez absolument être bien hydraté, surtout lorsqu’il fait chaud ou que votre entraînement est intense et que vous transpirez. Choisissez une bouteille adaptée à vos besoins. Il faut qu’elle soit légère et facile à nettoyer pour que vous puissiez la prendre partout avec vous.

Course de distance : Pourquoi ne pas envisager l’achat d’une ceinture pour y placer votre bouteille d’eau qui contiendra votre eau ou votre boisson de l’effort, ou bien une sangle que vous placez autour de votre main pour la porter plus facilement ? Si vous courez 90 minutes ou plus, il existe des sacs à dos très bien conçus qui vous permettront de garder les mains libres.

Compatible lave-vaisselle : Il est parfois difficile de bien nettoyer les bouteilles, surtout si vous y ajoutez des électrolytes ou des glucides. Les choses seront plus simples si vous pouvez les passer au lave-vaisselle. Vous éliminerez à coup sûr les bactéries.

Les accessoires que vous choisissez jouent un rôle important dans la tournure que prennent vos entraînements. Une bonne paire de chaussures adaptées à votre entraînement et une bouteille pratique vous aideront à tenir la distance en évitant les blessures.

Sources : Article rédigé par Samantha Clayton, directrice du département Fitness Education d’Herbalife.

Un entraînement efficace en 10 mn

Un entraînement efficace en 10 mn

SSUCv3H4sIAAAAAAAEAJ2Sy26DMBBF95X6D8jrWCLECpBfqboYhoGMAhjZJm0V8e81D0tOlVV33DOvy4XH+1uSiAoso7gkj0V5zV03WWfAsR48Tg87p5qdNgzdAhc2rxVhHbjJko1WVNxap/E2XrXTnp/CDoThdaE2BL113FNMyY6xbPxQxxCj1sB4ZTR8J+O5Cpxfnxn52z3Nrx31NDydHQ1Z22yjxwDtdXKOzLp3aY4SQHDU+mieM9hj/dh0Egp7Ds6XhDhEzE7VygKaD/+e3B4+g3VoacCfxdscuTbUEWzfbfcojuf8XGJaSYWUS5XhSZZQnuVRZaQwb8oiS8NlUSisK3XKZF5AKVXV+OaUQDa5KtJUAWCJq6XNh7h9+fj6NaLdwZ1r0pGGqWYdRXjXCJ39G7b/OXW/v8z8Cxrd57rDAgAA

Un entraînement efficace en 10 mn

Nous sommes nombreux à lutter pour trouver du temps pour garder la forme. Si vous pouvez consacrer 10 minutes de votre temps précieux à un entraînement cardio rapide, alors c’est assez pour doper votre énergie. Faire un peu de sport est toujours préférable à ne rien faire du tout. Voici comment optimiser vos 10 minutes d’entraînement.

Un entraînement de 10 minutes peut-il être efficace ? Bien sûr ! Le fait d’ajouter une activité physique à votre journée de travail stimule la circulation sanguine. Vous vous sentez alors mieux et votre énergie augmente, et ce même si vous n’avez consacré que quelques minutes à cette activité. Si votre emploi du temps ne vous permet pas de consacrer 30 à 60 minutes à une activité physique, 10 minutes de cardio vous permettront d’optimiser votre temps précieux. Voici une routine cardio très efficace et accessible à tous, à tout moment de la journée. Préparez-vous à booster votre énergie !

Echauffez-vous pour votre routine cardio

  • Commencez par vous échauffer avec quelques étirements dynamiques, de la tête aux pieds. Vos mouvements doivent être fluides et lents.
    Faites des cercles avec les bras tout en marchant sur place pendant 30 secondes.
  • Marchez en levant les genoux tout en balançant les bras pendant 30 secondes.
  • 10 extensions des mollets en vous tenant debout, les pieds espacés de la largeur de vos épaules et en prenant appui sur vos orteils. Tenez la position pendant une seconde puis reposez les talons au sol.
  • 10 squats debout, pieds espacés de la largeur de vos épaules et orteils pointant vers l’avant.  Faites comme si vous vous asseyiez sur une chaise. Tenez la position pendant une seconde, puis, en vous aidant de vos hanches, revenez en position debout.
  • 10 petites fentes. Une fente consiste à faire un pas en avant puis un pas en arrière avec une jambe. Placez les mains sur les hanches, veillez à garder le dos bien droit, et faites un grand pas vers l’avant en fléchissant le genou de votre jambe arrière. Tenez la position pendant deux secondes et faites un pas en arrière pour revenir à la position initiale. Faites la même chose avec l’autre jambe.
  • Courez sur place pendant 30 secondes

Un entraînement efficace en 10 minutes

A présent, il est temps de commencer vraiment l’entraînement. Effectuez chaque exercice pendant 30 secondes, puis passez au suivant. C’est parti :

Exercice n°1. Marchez sur place (comme lors de l’échauffement).

Exercice n°2. Petits squats, bras levé vers l’avant. Levez les deux bras devant vous, parallèles au sol, lorsque vous vous baissez. Tenez la position. Aidez-vous de vos hanches pour changer de position et remonter en ramenant les bras le long du corps.

Exercice n°3. Courez sur place (vous maîtrisez maintenant !)

Exercice n°4. Squats plus bas avec mouvement d’épaules. Fléchissez les jambes pour abaisser votre corps tout en repliant les mains sur votre poitrine. Lorsque vous revenez en position initiale, levez les bras comme si vous portiez des haltères, le plus haut possible au-dessus de votre tête.

Exercice n°5. Jumping jacks. Vous pouvez lever les bras latéralement jusqu’à hauteur de vos épaules ou bien au-dessus de votre tête.

Exercice n°6. Squat latéral à droite, bras levé sur le côté. Placez un pied devant l’autre, en position de fente, les bras le long du corps. Abaissez le corps en gardant les deux pieds en position. Levez les bras puis revenez en position initiale. Reproduisez le mouvement pendant 30 secondes.

Exercice n°7. Saut ou pas d’un côté puis de l’autre.

Exercice n°8. Squats latéraux à gauche, épaules relevées. Placez l’autre pied devant par rapport à l’exercice 6. Abaissez le corps en maintenant les bras droits le long du corps. Lorsque vous remontez, gardez les pieds en position et soulevez les épaules. Reproduisez le mouvement pendant 30 secondes.

Reproduisez ces exercices si vous le pouvez !

Voici la vidéo qui, si elle est en anglais, permettra toutefois à tout le monde de suivre l’enchaînement proposé dans cet article :

Inutile de suivre cette routine à la lettre. Amusez-vous et laissez libre cours à votre créativité pendant 10 minutes.

Source : Article rédigé par Samantha Clayton, directrice du département Fitness Education d’Herbalife.

Les exercices les plus efficaces pour tonifier vos fessiers

Les exercices les plus efficaces pour tonifier vos fessiers

Isolated young fitness woman training

Les exercices les plus efficaces pour tonifier vos fessiers

Exercices pour un postérieur tonifié et sculpté !

Un corps ferme et en pleine forme passe par un postérieur tonifié et sculpté. Voici des exercices pour raffermir et tonifier vos fessiers !

Les fessiers comptent parmi les groupes musculaires les plus volumineux de tout le corps. Il faut beaucoup d’énergie pour les faire travailler. Vous pouvez optimiser votre entraînement en travaillant plus particulièrement les fessiers plusieurs fois par semaine, pour brûler plus de calories. Si les fessiers sont fermes, la taille paraît plus fine. Avec le temps, vous parviendrez à tonifier et sculpter vos fesses.

Voici les exercices d’entraînement les plus efficaces pour muscler les fessiers !

Soulevé de terre

C’est un exercice excellent pour muscler les ischio-jambiers (situés à l’arrière des cuisses), les fessiers et la partie inférieure du dos. Il implique un mouvement d’inclinaison du buste vers l’avant. Il est donc important de bien se positionner pour tirer un maximum de cet exercice sans se blesser.

Comment faire : Debout, pieds écartés de la largeur de vos hanches, placez vos mains sur vos cuisses. Gardez le dos bien droit et contractez les muscles profonds tout en poussant vos hanches vers l’arrière pour abaisser le torse. Laissez les mains glisser le long de vos tibias (ou jusqu’à votre maximum en gardant le dos droit). Appuyez le poids de votre corps dans vos talons et remontez en serrant les fessiers en fin de mouvement.

Etape suivante : Familiarisez-vous avec ce mouvement sans poids, puis ajoutez des haltères ou une barre lestée. Veillez à bien garder les poids près des cuisses. N’étirez pas trop le dos. Vous pouvez fléchir légèrement les genoux lorsque vous réalisez ce mouvement.

Astuce : Demandez à votre coach de vous montrer le mouvement en salle de sport, regardez nos vidéos explicatives sur YouTube ou regardez-vous dans le miroir lorsque vous le déroulez. Il faut un peu d’entraînement pour réussir à bien maitriser ce mouvement. Mais une fois que vous y êtes, il est parfait pour raffermir les fessiers et les muscles des jambes.

Relevé du bassin au sol

Ce mouvement travaille les muscles profonds. Il est facile à réaliser et ne nécessite aucun équipement.

Comment faire : Commencez par vous allonger au sol, sur le dos. Pliez un genou à la fois et placez les pieds bien à plat sur le sol. Vos talons doivent se trouver à environ 30 cm de vos fessiers, écartés de la largeur de vos hanches. Installez-vous confortablement. L’objectif de cet exercice consiste à décoller le bassin du sol pour former un pont. Pour ce faire, poussez sur vos talons pour soulever vos fesses du sol. En fin de mouvement, contractez les fessiers et tenez la position quelques instants, puis redescendez doucement.

Astuce : N’allez pas trop haut. Cela imposerait une contrainte sur le bas du dos. Assurez-vous que le poids de votre corps est bien réparti dans vos talons et le haut de votre dos. Vous ne devez absolument pas sentir le poids de votre corps peser sur votre cou.

Squat

Les squats sont des mouvements simples et très connus. Nous les faisons tous les jours lorsque nous nous asseyons sur une chaise. Ce sont des mouvements utiles et fonctionnels.

Comment faire : Tenez-vous droit, les pieds écartés de la largeur de vos hanches. Vous pouvez poser les mains sur les hanches ou bien tendre les bras devant vous. Fléchissez les genoux comme pour vous asseoir sur une chaise, tout en appuyant le poids du corps dans les talons. Une fois en position assise (90°), repassez en position debout.

Astuce : Vous pouvez descendre légèrement plus bas que 90° si votre souplesse vous le permet. Ajoutez des poids une fois que vous maîtrisez parfaitement le mouvement.

Voilà 3 exercices qui vous permettront de tonifier vos fessiers. Mais vous pouvez également penser à la corde à sauter !

Source : Article rédigé par Samantha Clayton, directrice du département Fitness Education d’Herbalife

Comment limiter les douleurs après un entraînement ?

Comment limiter les douleurs après un entraînement ?

young health couple doing stretching exercise relaxing and warm up after jogging and running in park

Echauffement

Comment limiter les douleurs après un entraînement ?

Après avoir fait de l’exercice, il est possible que vous ressentiez des douleurs musculaires. Mais comment les limiter pour pouvoir poursuivre vos entraînements ?

Bien se préparer

Avant toute activité, il est important d’échauffer les muscles que vous allez solliciter : cela limitera les risques de douleur et de blessure. Avec l’augmentation de votre chaleur corporelle et de votre rythme cardiaque, et une meilleure circulation, vos muscles vont voir leur flexibilité augmenter, tout en gagnant en puissance et en amplitude.

Prenez ainsi le temps de vous échauffer progressivement (en moyenne 15 minutes) !

Des étirements

Quel que soit votre programme (cardio, programme sportif pour l’hiver, etc.), le terminer par une séance d’étirements vous sera très bénéfique, tant sur le plan physique que sur le plan mental, à condition de bien réaliser les exercices d’étirement tels que décrits (si vous ne faites pas les gestes correctement, cela risque d’avoir un effet contre-productif).

Sur le plan psychologique, les étirements permettent de vous poser, de vous accorder un temps de détente, ce qui est important lorsque l’on a des journées chargées où « tout » (vie familiale, vie professionnelle, etc.) s’enchaîne.

Pour vous étirer, prenez soin de ne faire que des mouvements doux (pas d’à-coups) pour détendre les muscles que vous avez fait travailler, en les sollicitant de manière symétrique (droite puis gauche – ou l’inverse) et en prenant soin de respirer calmement.

Vous pouvez aussi faire des séances de stretching afin d’étirer et d’assouplir vos muscles et, ainsi, garder la forme !

Hydratation

Bien s’hydrater ou se réhydrater, notamment avec des boissons de l’effort comme CR7 Drive (utilisée par Aurélie Muller Championne du monde 2015 du 10km nage libre) et des boissons de récupération comme Rebuild Endurance H24, permet d’apporter rapidement de l’eau et des nutriments à vos muscles, ce qui est essentiel pour leur bon fonctionnement et éviter les douleurs.

De la glace

Avoir recours à de la glace ou prendre une douche froide après un entraînement aide dans le processus de guérison des muscles et des tendons sollicités. Vous pouvez ainsi appliquer de la glace sur les zones les plus soumises à l’épreuve au cours de votre entraînement.

De la chaleur

Faire une séance dans un sauna ou prendre un bain bien chaud aidera vos muscles à se détendre grâce à une meilleure circulation sanguine. Attention toutefois : cette séance doit intervenir quelques jours après votre entraînement. En effet, juste après un entraînement, votre corps a d’abord besoin de se rafraîchir (au cours de l’effort, votre organisme a d’ailleurs fait en sorte de vous garder à la température optimale), une telle séance en fin d’entrainement serait plus une contrainte pour votre organisme qu’un bénéfice.