Tout ce que vous devez savoir sur les fibres

Tout ce que vous devez savoir sur les fibres

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que sont les fibres

Saviez-vous qu’il existe plusieurs types de fibres alimentaires ? Manger un large éventail d’aliments d’origine végétale vous aidera à répondre à tous vos besoins. Mais parlons plutôt des fibres en détail pour que vous puissiez réellement comprendre les bénéfices de chaque type de fibres.

Vous savez probablement que la plupart des gens ne mangent pas assez de fibres. Mais ce que vous ne savez peut-être pas.  C’est qu’en plus de manger suffisamment de fibres, vous devez également manger suffisamment des types de fibres différentes. Les fibres ne fonctionnent pas toutes de la même manière : chaque fibre a des effets différents sur le corps.

Que sont les fibres et de combien en avez-vous besoin ?

Pour faire simple, la fibre est le composant structurel des aliments d’origine végétale que vous pouvez trouver dans les légumes, les fruits entiers, les légumineuses et les graines. (comme le maïs ou le riz complet). Il n’y a pas de fibres dans la viande, ni dans le poisson.

Il faudrait en manger 25-30 grammes par jour . Quand, en réalité, la plupart d’entre nous n’en consomme environ que 10 grammes par jour. Nous passons à côté des bénéfices sur la santé des fibres alimentaires.

Elles facilitent évidemment la digestion, mais les aliments riches en fibres donnent également cette sensation de satiété. Elles aident donc à contrôler la faim. De plus, certaines fibres favorisent également la croissance des bactéries bénéfiques dans votre tube digestif.

Si vous ne mangez pas suffisamment de fibres, il est préférable d’en augmenter progressivement la quantité ingérée. Ajouter trop de fibres à votre alimentation d’un seul coup pourrait conduire à des douleurs abdominales et à des flatulences. Allez-y doucement pour permettre à votre système de s’adapter. De plus, boire beaucoup de liquide permet aux fibres de se ramollir et de gonfler.

Différents types de fibres : qui sont-elles et que font-elles ?

Il existe deux grandes catégories de fibres alimentaires : les fibres solubles et les fibres insolubles.

On trouve les fibres solubles, en très grande concentration dans les pommes, les oranges, les carottes, les pommes de terre, l’avoine, l’orge et les légumineuses. Comme leur nom l’indique, les fibres solubles se dissolvent simplement dans l’eau. Et quand elles se dissolvent, elles épaississent. Si vous avez déjà cuisiné avec de la farine d’avoine à la maison !  Vous avez probablement remarqué que, au fur et à mesure de la cuisson, celle-ci s’épaississait et devenait gluante. En effet, les fibres solubles dans l’avoine se dissolvent dans le liquide, rendant votre farine d’avoine épaisse et un peu collante.

Quand elles entrent en contact avec le liquide dans votre estomac, elles gonflent et épaississent. C’est pourquoi elles vous aident à rester rassasié(e). Les fibres solubles ralentissent également l’absorption de glucose (le sucre) dans le sang et peuvent donc aider à maintenir un taux de sucre dans le sang constant tout au long de la journée. Elles sont également le repas favori des bactéries saines à l’intérieur de votre tube digestif inférieur, ce qui les encouragent à se multiplier.

Les fibres insolubles participent également à la santé de votre système digestif, mais d’une manière différente. Elles ne se dissolvent pas dans l’eau. Au contraire, elles absorbent simplement l’eau dans le tube digestif inférieur et gonflent. Ce type de fibre, qu’on trouve principalement dans les légumes, le son de blé, de maïs et de riz. Egalement dans la plupart des autres graines entières, accélère le passage des déchets à travers votre système digestif. Elles aident donc à réguler votre métabolisme.

Il existe un autre type de fibres intéressant, appelé « amidon résistant ». Les fruits, les légumes, les céréales et les légumineuses contiennent différents types de glucides : les sucres, les amidons et les fibres. Habituellement, les amidons se décomposent en sucre individuel durant le processus de digestion mais certains esquivent tout simplement la digestion. Les haricots, les bananes et l’avoine sont les principales sources de ces « amidons résistants » qui offrent certaines des propriétés des deux fibres, solubles et insolubles.

Puisque l’amidon résistant ne se décompose pas (et reste plus ou moins intact lors de son déplacement à travers le tube digestif), il retient l’eau, prend du volume et aide à la régulation, un peu comme les fibres insolubles. Cependant, l’amidon résistant agit aussi comme les fibres solubles, offrant un véritable festin pour les bactéries saines qui vivent dans votre intestin grêle. Il peut également contribuer aux hausses brusques du taux de sucre dans le sang, un peu comme le font les fibres solubles dans l’eau.

Comment différencier une fibre soluble d’une fibre insoluble ?

Il est assez facile de différencier ces deux fibres. Quand vous faites de la soupe à l’orge ou que vous faites bouillir des pommes de terre, vous pouvez facilement voir le liquide s’épaissir. C’est parce que l’orge et les pommes de terre ont une forte teneur en fibres solubles. Par contre, quand vous cuisinez du riz complet, un grain entier riche en fibres insolubles, vous verrez qu’il ne colle pas. Tout simplement parce que les fibres ne se dissolvent pas. Au lieu de cela, le riz absorbe simplement l’eau lors de la cuisson, ce qui provoque le gonflement des grains.

Un autre moyen de constater cette différence consiste à ouvrir une boîte de lentilles (riches en fibres solubles) puis à ouvrir une boîte de maïs, un grain qui contient des fibres essentiellement solubles. Les haricots comme le maïs sont conditionnés dans de l’eau. Mais si vous regardez de plus près le liquide dans chaque boîte, vous pourrez voir la différence. Puisque les fibres présentes dans le maïs sont insolubles, le liquide à l’intérieur de la boîte paraît aqueux, pas collant ni gluant. Mais le liquide dans la boîte de haricots est beaucoup plus épais, parce que les fibres solubles présentes ont épaissi l’eau dans laquelle les haricots baignent.

Conseils pour augmenter votre apport en fibres 

  • Préférez les fruits entiers avec la peau aux jus de fruits
  • Mangez un fruit entier en dessert
  • Mangez des légumes entiers variés, cuisinés ou crus, et savourez-les à volonté
  • Privilégiez le pain, les céréales et les biscuits et les produits au blé complet aux produits fabriqués avec de la farine blanche raffinée
  • Utilisez des tortillas de maïs plutôt que celles au blé
  • Utilisez du riz complet, du riz sauvage, du millet, de l’orge ou du blé concassé pour remplacer le riz blanc
  • Ajoutez des légumineuses aux soupes, ragoûts, chilis et salades.

Si vous avez du mal à satisfaire votre apport en fibres, vous pouvez utiliser des compléments alimentaires ou une boisson riche en fibres, comme la boisson multi-fibres d’Herbalife.

Source : Article écrit par Susan Bowerman, MS, RD, CSSD, FAND, consultante pour Herbalife

6 Conseils pour faire du sport en famille

6 Conseils pour faire du sport en famille

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Un mode de vie actif avec les enfants

6 Conseils pour faire du sport en famille

6 Astuces pour faire du sport en famille. Si vous cherchez à changer le mode de vie actuel de vos enfants et à choisir des options plus saines. voici six conseils qui peuvent vous aider à avancer sur ce chemin pour des enfants actifs et en bonne santé. Avoir un mode de vie actif est un grand objectif familial qui peut être atteint grâce à quelques changements créatifs.

1) Parler à votre médecin de famille

Parler au médecin de famille du type d’activité physique le plus adapté pour vos enfants est la première étape. (surtout s’il s’agit d’un changement de style de vie important). Ainsi les termes « actifs » et « enfants » étaient autrefois étroitement liés. Mais dans la société actuelle, de nombreux enfants ne courent plus ou ne font presque jamais de sport. Passer brusquement d’une inactivité totale à un mode de vie actif peut être un choc pour l’organisme. Tout changement dans l’activité physique doit être progressif. Contrôler la santé de vos enfants avant de changer de mode de vie doit être la première étape pour atteindre vos objectifs de remise en forme.

2) Établir une routine

La meilleure façon d’aborder votre voyage vers la remise en forme en famille est d’établir un calendrier. Ensuite  choisir deux jours d’activité par semaine. Planifiez des activités en extérieur, comme des randonnées, des balades à vélo ou des sports variés.  Cela vous permettra de voir cela comme un temps de jeu et non comme un devoir. Plus vous impliquerez vos enfants dans le processus de planification, plus ils seront enthousiastes face au changement.

3) S’appuyer sur les nouvelles technologies

Vous avez des enfants dépendants des nouvelles technologies (ordinateurs, jeux vidéo et tablettes, etc.) ? Vous pourriez faire face à un blocage complet si vous tentez d’échanger ces objets contre du sport en famille. Au lieu de cela, vous pouvez vous allier avec les nouvelles technologies et faciliter l’intégration d’un mode de vie actif grâce à des jeux ou des défis sportifs. Il existe de nombreux jeux d’activité, de fitness et de danse qui allient technologie avec des exercices faciles. Ceux-ci pourront aider vos enfants à être actifs tout en s’amusant. Cette astuce ne doit pas remplacer les activités en extérieur traditionnelles mais c’est une étape dans la bonne voie.

4) Retourner à l’essentiel et rester simple

Souvenez-vous les parties de cache-cache entre copains lorsque vous étiez plus jeune. Souvenez-vous du plaisir que cela vous procurait. En vous tournant vers des activités plus traditionnelles, concentrez-vous sur des mouvements ludiques pour la coordination et la conscience du corps. Vos enfants sont en plein développement du système nerveux et cela leur sera bénéfique d’éveiller l’intégralité de leurs capacités motrices. Frapper dans une balle avec le pied, attraper, sauter.  Avec ces activités, ils auront plus l’impression de jouer plutôt que d’être en train de faire une activité physique à part entière.

5) Raisonner intelligemment

Les enfants reçoivent de nombreuses idées sur les choses qu’ils pensent pouvoir faire. Votre enfant peut voir d’autres enfants soulevant des haltères, dans les médias par exemple. En réalité, ce n’est pas bon pour les enfants de faire de la musculation. Les opinions divergent sur l’âge exact auquel les enfants peuvent commencer la musculation. C’est une décision qui doit être discutée avec le médecin de votre enfant. Faire des exercices qui nécessitent uniquement son propre poids est un moyen parfait pour se muscler, adultes comme enfants.

6) Montrer l’exemple

Le plus beau cadeau que vous puissiez faire à vos enfants est de montrer l’exemple en ayant des habitudes saines. Essayez de vous amuser devant un DVD de fitness ou suivez une routine fitness sur l’ordinateur pour donner un exemple d’activité. Si vos jeunes enfants veulent participer, laissez-les faire ! Assurez-vous simplement qu’ils restent loin des équipements, en particulier des appareils de musculation et des tapis roulants. (pour éviter, par exemple, les risques de chute avec un tapis roulant en mouvement).

Nous pouvons tous faire des choix plus sains pour mener nos enfants vers une voie active et saine. Si vous rendez les activités physiques ludiques, vous pourrez maintenir vos enfants actifs durant toute leur vie.

Source : Article écrit par Samantha Clayton, A.F.A.A., I.S.S.A. Samantha est Directrice principale Fitness Education chez Herbalife.

Les aliments à privilégier pour éviter l’hypercholestérolémie

Les aliments à privilégier pour éviter l’hypercholestérolémie

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Les aliments à privilégier pour éviter l’hypercholestérolémie

 L’hypercholestérolémie est un trouble de la circulation du cholestérol qui se retrouve en trop grande quantité dans le sang. Elle constitue avec l’obésité, le diabète et l’hypertension artérielle, un des facteurs de risque majeurs d’athérosclérose générant des maladies cardiovasculaires. Deuxième cause de mortalité en France.

Ces facteurs de risque sont induits principalement par :

  • la sédentarité,
  • une mauvaise alimentation,
  • le tabagisme,
  • une consommation excessive d’alcool,
  • le stress.

 Les aliments à privilégier pour éviter l’hypercholestérolémie, origine et rôle du cholestérol

Le cholestérol fait partie des lipides qui jouent, dans l’organisme, deux rôles majeurs :

  • un rôle de stockage de l’énergie. Dans ce cas les lipides sont sous forme de triglycérides, présents notamment dans les tissus adipeux,
  • un rôle structural. Dans ce cas, ils sont sous forme de phospholipides et entrent dans la composition des membranes des cellules.

Il est le précurseur des hormones stéroïdiennes (œstrogènes, testostérone, etc.). C’est également un élément important des membranes cellulaires, notamment au niveau du cerveau. Il est indispensable à la fabrication de la vitamine D. C’est le constituant essentiel de la bile.

Dans l’organisme, il provient :

  • soit de l’alimentation,
  • soit de l’organisme lui-même.

Comme les autres lipides, le cholestérol est transporté dans le sang sous forme de lipoprotéines.

Donc, dans l’alimentation, le cholestérol est exclusivement apporté par les produits d’origine animale.

Bon et mauvais cholestérol

Le foie fabrique la plus grande part du cholestérol et l’élimine.

Il existe un double circuit sanguin de distribution : le cholestérol va du foie vers les tissus et des tissus vers le foie :

  • les lipoprotéines à basse densité (LDL) transportent le cholestérol du foie vers les tissus, où il est capté. Quand il y a trop de cholestérol, celui-ci s’accumule dans les parois artérielles. C’est lui que l’on nomme le mauvais cholestérol (LDL-cholestérol),
  • les lipoprotéines à haute densité (HDL) transportent le cholestérol des tissus vers le foie, en vue de son élimination. On parle alors de bon cholestérol (HDL-cholestérol).

Enfin, pour connaître les valeurs de référence, vous pouvez consulter notre guide sur le cholestérol.

Le foie, organe essentiel, est extrêmement sensible aux mauvaises graisses, dites saturées, contenues dans l’alimentation, qui le poussent à fabriquer plus de cholestérol que nécessaire et qui diminuent ses capacités à l’éliminer. Ces graisses saturées se trouvent dans le lait entier, les viandes grasses, les abats, toutes les graisses animales, les charcuteries grasses, les pâtisseries, les gâteaux apéritifs, les barres chocolatées et certains plats industriels cuisinés

conseils diététiques

  • Surveiller son poids
  • Avoir une activité physique régulière
  • Arrêter l’alcool et le tabac
  • Eviter le grignotage non diététique
  • Adopter une alimentation saine et équilibrée, avec 30% de lipides
  • Réduire la consommation d’aliments riches en graisses saturées (graisses solides à température ambiante) ou d’origine animale
  • Privilégier les matières grasses végétales (huiles d’olive, de colza) et diversifier les huiles.
  • Préférer les matières grasses allégées
  • Consommer davantage d’aliments riches en fibres
  • Faire attention aux excès de sucres
  • Manger 5 fruits et légumes par jour, 4 produits laitiers demi-écrémés par jour, 3 portions de glucides ou féculents (pain, pâtes, riz) par jour, 2 fois du poisson par semaine, et l’équivalent de 1 cuillère de graisse par jour.

Enfin des choix nutritifs contre le cholestérol

Voici des aliments peuvent contribuer à abaisser le cholestérol tout en s’insérant dans une alimentation saine et équilibrée.

L’avoine

Elle contient un type de fibres solubles appelé bêta-glucane, qui se lie au cholestérol dans le système digestif et l’élimine naturellement de l’organisme. L’orge possède les mêmes propriétés.

Les noix

Elles possèdent une combinaison idéale de graisses insaturés et de fibres qui réduit naturellement le taux de cholestérol. Les noix contiennent également des stérols végétaux uniques, qui imitent le cholestérol et le remplacent sainement dans l’organisme.

Les légumineuses

Les pois chiches, les lentilles, les fèves de soya et les haricots rouges contiennent beaucoup de fibres solubles afin d’empêcher que le cholestérol ne soit absorbé par l’organisme.

Les légumes et les fruits

Les légumes et les fruits ont des propriétés fonctionnelles diverses qui contribuent à réduire le taux de cholestérol.

Les protéines de soja

La consommation régulière de 25 à 30 g par jour de protéines de soja est associée à une baisse de 10 à 15 % du taux de LDL cholestérol.

Des compléments alimentaires

Des compléments alimentaires comme Beta Heart (qui peut se consommer avec de l’eau, un jus de fruit ou un shake) peuvent également vous aider à réduire ou maintenir un bon niveau de cholesterol.

Source : Article rédigé par Jacques Manic, diplômé de la faculté de médecine et membre du Comité International pour la Nutrition Herbalife.

Running réussissez votre première course

Running réussissez votre première course

Fit people running race in park on a sunny day

Préparation, matériel, alimentation

Running réussissez votre première course

Running réussissez votre première course. Vous vous êtes inscrit pour votre première course de running : bravo ! Mais comment faire pour la réussir ?

Côté préparation

En amont de votre course, il faudra vous préparer. L’entraînement devra être optimisé en fonction de la distance à laquelle vous vous êtes inscrit et de votre objectif temps (par exemple, nous vous proposons un programme de 5 semaines pour courir 5 km). Notre page I run Herbalife contient également un programme intégral d’entraînement.

Au début de la semaine qui précède, faites une sortie à l’allure que vous souhaitez tenir le jour de votre course. Pas la peine de courir aussi longtemps que le jour J : l’important est d’évaluer vos sensations et de « rappeler » à votre corps à quelle vitesse il devra courir. Inutile, par ailleurs, de courir dans les 2-3 jours qui précèdent la course : ne vous fatiguez pas et gardez votre énergie !

Repérez le parcours. Vous ne serez pas forcément en mesure de faire une reconnaissance in situ, mais vous pourrez sans aucun doute trouver l’itinéraire en ligne avec indication du dénivelé et des difficultés (notamment pour les trails ou les trails urbains). Vous pourrez ainsi vous préparer mentalement et anticiper les complications. Mieux vaut savoir ce qui vous attend, cela vous évitera d’être surpris et vous permettra de doser votre effort.

Côté matériel

Que vous fassiez des courses ou seulement des sorties plaisir, il est important d’être bien équipé.

Ceci commence par les chaussures, achat essentiel pour le runner. Pour le jour de la course, utilisez les mêmes chaussures qu’à l’entraînement : ce n’est pas le moment d’étrenner une nouvelle paire en risquant des ampoules et surtout de ne pas vous sentir aussi à l’aise qu’à l’habitude.

Quant à la tenue, consultez la météo pour savoir comment vous habillez. Comme pour les chaussures, vous utiliserez une tenue déjà portée qui sera souvent un short et un t-shirt en tissu technique à même d’évacuer la sueur (sauf à ce que vous courriez dans des conditions particulières : froid marqué, nuit, neige, etc.). Un coupe-vent léger pourra être utile en cas de forte pluie.

En fonction de la distance, vous pourrez opter pour une ceinture ou une sangle sur laquelle vous disposerez votre eau ou votre boisson de l’effort, ou pour un sac à dos (pour les distances plus longues) ; à moins que vous ne préféreriez les ravitaillements proposés par les organisateurs. Jusqu’à 10 km, la majorité des coureurs arrivera à faire sans ravitaillement sauf en boisson dès que les températures augmentent.

Côté alimentation

Dans la semaine qui précède la course, veillez à bien vous alimenter en apportant, particulièrement dans les derniers jours avant la course, des sucres lents à votre organisme. Des produits complémentaires vous aideront à renforcer votre organisme (comme en témoigne Greg Runner sur les produits Herbalife).

Comme nous vous l’avons expliqué dans notre article « Comment s’alimenter avant une course ? », prévoyez un délai suffisant entre le dernier repas et votre course afin d’avoir fini votre digestion.

Le jour J

Arrivez en avance, notamment si vous n’avez pas retiré votre dossard auprès de l’organisation. Prévoir de se rendre sur la zone de départ environ une heure avant le départ permet de ne pas stresser (surtout si vous savez que vous êtes sujet au stress lorsque vous faites face à un imprévu) en cas de trajet plus long dans les transports, et de repérer votre sas en toute tranquillité.

Vous pourrez y procéder à votre échauffement en stimulant en douceur vos muscles. D’ailleurs, rejoindre votre sas à pied (en courant un quart d’heure) est souvent un échauffement suffisant. Veillez à ce que vos muscles restent chauds si les températures sont assez basses.

C’est parti !

Le départ a été lancé : profitez de votre course et du cadre dans lequel elle se déroule ! Soyez attentif à vos sensations afin de bien doser et d’adapter votre effort (attention au piège de partir trop vite !), et de ne pas risquer de déshydratation.

Et, une fois passée la ligne d’arrivée, bravo, pensez à récupérer notamment en vous hydratant !

 

Source : Herbalife

Les aliments qui protègent du mauvais cholestérol

Les aliments qui protègent du mauvais cholestérol

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Savez vous quels aliments privilégier

Les aliments qui protègent du mauvais cholestérol

Les aliments qui protègent du mauvais cholestérol. Tout le monde sait qu’il existe du bon et du mauvais cholestérol. Mais savez-vous quels aliments privilégier pour favoriser le bon cholestérol ?

Qu’est-ce que le cholestérol ?

Le cholestérol est fabriqué par notre foie et provient de notre alimentation. Il est essentiel à la vie et à notre métabolisme (notamment pour les membranes cellulaires et pour les neurones). Mais tout excès de mauvais cholestérol présente un risque pour la santé.

Bon et mauvais cholestérol

On distingue classiquement le bon et le mauvais cholestérol. Le bon, ce sont les « lipoprotéines de haute densité ».  (HDL) qui ont pour rôle de transporter le cholestérol vers le foie afin qu’il y soit éliminé . (permettant d’éviter que le cholestérol ne s’accumule dans les vaisseaux sanguins).

Le mauvais, ce sont les « lipoprotéines de basse densité » (LDL) qui ont pour fonction d’amener le cholestérol (mais aussi notamment les vitamines A, D, E et K) aux cellules de notre organisme. Le cholestérol sera ensuite recapté pour être dirigé vers le foie par les HDL,  où il sera éliminé.

Lorsque l’on mesure de mauvais cholestérol. On regarde le taux de LDL dont on considère qu’il doit être le plus bas possible (1). En effet, l’excès de graisse sur les parois des vaisseaux sanguins risque de perturber la circulation de sang.  De créer des caillots, à l’origine de thromboses ou d’accidents cardio-vasculaires (AVC, infarctus, etc.). Le taux de LDL est considéré comme normal lorsqu’il est compris entre 0,9 g/l et 1,58 g/l quand le sujet ne présente pas de facteur de risque cardiovasculaire comme de l’hypertension, du diabète ou encore la consommation de tabac.

L’enjeu est donc d’avoir un rapport HDL/LDL élevé, ce qui passe par de l’activité physique et une alimentation saine. Avec notamment la consommation de graisses saines.

Les aliments dont la consommation doit être limitée

Afin de limiter le mauvais cholestérol, certains aliments ne doivent être consommés qu’avec une très grande modération : beurre, viandes grasses (saucisson, pâté, saucisses, comme indiqué dans notre article sur l’alimentation à avoir pour garder un cœur en bonne santé), crème, fromage, huile de coco, huile de palme, viennoiseries, pâtes à tartiner avec de la graisse saturée, plats préparés.

Quels aliments consommer pour se protéger du mauvais cholestérol ?

Certains fruits et légumes sont particulièrement efficaces pour limiter le mauvais cholestérol :

  • Les amandes (40 grammes par jour) et les noix
  • Les carottes, en alternance avec d’autres fruits et légumes jaunes, oranges ou rouges (melon, pêche, potiron, poivron, tomate)
  • L’ail
  • Les pommes et les poires
  • Les aubergines (qui a aussi pour caractéristique d’être riche en fibres)

Les légumineuses (125 ml par jour) comme les pois chiches, les lentilles ou encore les haricots rouges. Côté recettes, pensez à l’houmous, aux burritos, au chili végétarien, aux soupes et aux salades dans lesquelles vous pouvez ajouter des légumineuses.

Certaines graisses insaturées permettent de réduire les taux de LDL : huiles de graines et de poisson, pâtes à tartiner faites avec des graisses insaturées (huile de colza, huile d’olive, etc.), fruits secs à coque, avocats, légumes (à préférer cuits au four ou à la vapeur).

Pensez également à consommer régulièrement des aliments riches en fibres, en omega-3 et en antioxydants comme l’avoine, le maquereau, les fruits rouges (d’ailleurs le shake Formula 1 existe désormais en saveur framboise et myrtille), ou encore du soja.

Source : Herbalife

Comment s’alimenter avant une course

Comment s’alimenter avant une course

Comment s’alimenter avant une course.  Vous allez bientôt vous élancer pour une course ? Votre préparation à votre course ! Plus largement votre hygiène de vie doivent vous faire manger de manière équilibrée tout au long de l’année. Ainsi votre alimentation quotidienne doit vous apporter les aliments essentiels pour la pratique de sports d’endurance. C’est l’un des points essentiels d’une bonne alimentation avant une course. Bien sûr, ensuite, il faut faire particulièrement aux repas de la veille et du matin de la course de running.

La veille de la course

La veille d’une course, prenez soin de manger léger en limitant les aliments trop gras comme la mayonnaise, les fritures, etc.  Surtout en évitant les aliments peu digestes comme les fibres, les légumes secs et en mangeant sans excès . Ce n’est pas le moment de passer une mauvaise nuit pour cause de digestion difficile !

Ainsi vous pouvez associer une soupe de légumes, une viande ou un poisson maigre.  (poulet, jambon, lapin, merlu, etc.) Avec des glucides lents (riz, pâtes, semoule, etc.) Pour finir, une compote. La veille de certaines courses sont organisées des « pasta-party ».  C’est une bonne manière conviviale de s’alimenter, à condition de ne pas trop manger !

Buvez à volonté de l’eau, et pas d’alcool et respectez un délai d’une heure entre la fin du repas et le coucher !

Le jour de la course

Enfin le jour J. Le dernier repas  souvent un petit déjeuner  doit être pris au moins 3 heures avant le début de la course. Cela permet de s’élancer en ayant terminé sa digestion. (et  donc d’éviter les troubles digestifs qui entraîneraient une baisse de la performance)

Au cours de cette collation, s’il s’agit du premier repas de la journée. C’est ainsi qu’il est conseiller de prendre un petit déjeuner assez classique. (l’énergie requise pour la course viendra du repas de la veille) Si vous manquez d’appétit (ce qui peut arriver lorsqu’on se lève assez tôt, si votre course est assez tôt le matin). Pensez à prendre une barre aux protéines. Une nouvelle fois l’hydratation est capitale, et devra se poursuivre entre ce repas et le début de la course.

Pour sa part, le triathlète Franck Mathieu a par exemple pris la boisson de l’effort « CR7 Drive H24 et la Formula 1 Sport H24 au petit-déjeuner » avant le Triathlon de Gérardmer. « Il ne faut surtout pas changer ses habitudes alimentaires et continuer ce qui marche bien ! » témoigne cet utilisateur de produits Herbalife qui « commence toujours la journée avec un Shake de Formula 1 Herbalife en variant les goûts (chocolat, cookies & cream ou vanille). »

 

Source : Herbalife Nutrition