Comment manger des graines ?

Comment manger des graines ?

Comment manger des graines ?

Comment manger des graines ? Savez-vous pourquoi vous devriez intégrer des graines à votre alimentation ? Leurs vertus sont nombreuses !

Quels sont les bienfaits des graines ? Comment en manger ? Focus sur 6 graines.

Pourquoi manger des graines ?

Les graines aident à la digestion, sont très riches en vitamines, ont des propriétés anti-oxydantes. Ou bien sont un coupe-faim naturel… Tout dépend de quelle graine on parle. Faisons un tour d’horizon des principales graines et de leurs propriétés.

Graine de chia

Les graines de chia sont parmi les plus connues. Il faut dire qu’elles sont un coupe-faim naturel. En effet, riche en fibres et en oméga-3, la graine de chia permet d’atteindre rapidement un sentiment de satiété.

En outre, elle est bonne pour le système cardiovasculaire tout en favorisant le transit (en limitant donc le phénomène de constipation).

Enfin, le calcium et le magnésium qu’elle apporte viennent renforcer os et dents.

Graine de courge

A forte teneur en fer, la graine de courge renforce le système immunitaire, combat la fatigue et est un remède à l’anémie.

C’est également la graine qui renforce votre vessie contre les irritations et les infections urinaires.

Graine de lin

Riche en oméga-3 et en oméga-6, dits « acides gras naturels », la graine de lin contribue au bon état du métabolisme et au bon fonctionnement du système cardiovasculaire.

Avec ses omega-6 (idéal pour l’hydratation de la peau !) et ses fibres (parfait pour le transit intestinal !), c’est une graine incontournable !

Graine de sésame

A l’image de celles de lin, les graines de sésame apportent acides gras essentiels, fer, protéines et antioxydants. Ainsi, elles protègent le système cardiovasculaire et aident au transit.

Graine de tournesol

Bonne source de la vitamine E, la graine de tournesol a des propriétés anti-oxydantes, prévenant les signes de l’âge (vieillissement de la peau notamment).

Avec le manganèse qu’elle apporte (un oligo-élément), elle aide au métabolisme et limite les allergies.

Graine de pavot

Avec la vitamine B1, le pavot contribue au bon fonctionnement du système nerveux. Avec la morphine et la codéine qu’elle produit, la graine de pavot se révèle être apaisante.

Comment manger des graines ?

Voici quelques idées de recettes pour intégrer les graines plus fréquemment à votre alimentation. Liste non exhaustive : n’hésitez à faire preuve d’inventivité, et laissez vos idées en commentaire !

A l’apéritif

Certaines des graines sont assez grosses pour se déguster à l’apéritif : c’est le cas des graines de courge et de tournesol.

Sur des légumes

Sublimez-vos légumes en les saupoudrant de graines de lin ou de pavot !

Sur une soupe

Si les soupes sont un excellent moyen de consommer des légumes. Pensez à les saupoudrer de graines pour en améliorer les qualités nutritionnelles. Les graines de lin, de chia ou de pavot sont idéales pour ça.

Sur des salades

Apportez de la texture à vos salades composées avec des graines entières de courge, de tournesol, de pavot ou de sésame.

Dans les pâtes à gâteaux ou à tarte

Enrichissez vos pâtes à gâteaux ou à tarte avec des graines de chia ou de lin (que vous aurez moulues).

Dans un bol de muesli

Variez la composition de votre muesli (flocons d’avoine…) avec des graines de courge, de tournesol ou de lin.

Sur une viande blanche

Renouvelez vos préparations de viandes blanches en y ajoutant des graines de lin ou de sésame.

Dans votre yaourt

Plutôt que de sucrer vos yoghourts nature, ajoutez des graines de chia, de pavot ou de sésame.

Globalement, pensez à saupoudrer de nombreux aliments de graines pour les enrichir ! Dans la mesure du possible, intégrez-les en fin de préparation afin d’en tirer le plus de bénéfices possible !

A ne pas oublier avant de manger des graines

Si les graines sont très intéressantes sur le plan nutritionnel, elles sont à consommer avec modération. Ainsi, n’en mangez pas tous les jours et alternez-les ! Leur richesse vient aussi de leur variété !

Et vous, comment faites-vous pour manger des graines et profiter de leurs nutriments ?

Qu’est-ce qu’une sèche musculaire ?

Qu’est-ce qu’une sèche musculaire ?

Qu’est-ce qu’une sèche musculaire ?

Qu’est-ce qu’une sèche musculaire ? Sèche musculaire : comment vous organiser et que manger pour améliorer votre définition musculaire ?

Pratiquer une sèche musculaire permet d’améliorer sa définition musculaire. L’objectif est de mieux mettre en avant ses muscles (abdominaux, triceps, pectoraux, biceps…) via un régime. Qui vise à perdre un maximum de graisses sans diminuer la masse musculaire (voire avec prise de muscle car prendre de la masse musculaire n’en sera que plus spectaculaire !)

Quels sont les principes d’une sèche musculaire ?

On ne se (re)met jamais au sport en faisant une sèche : cette phase de définition musculaire vise à faire ressortir les muscles sculptés par des mois de musculation.

Par rapport aux autres programmes musculaires. Le volume de travail est augmenté afin de brûler plus de calories. Les dépenses énergétiques doivent être supérieures à votre apport calorique.

Les entraînements doivent aussi être intenses car le but est bien de conserver un maximum de masse musculaire. Voire de prendre du muscle (prise de masse).

Le programme de musculation allie cardio training (les exercices de cardio à haute intensité – HiiT – sont efficaces) et travail musculaire (exemples, en travaillant par exemple son gainage) afin de diminuer la masse graisseuse (ou « masse adipeuse ») tout en conservant une bonne densité musculaire.

Que manger pendant une sèche musculaire ?

Lorsque l’on fait une sèche musculaire, le programme alimentaire implique de se détourner des graisses saturées (comme les fritures) et des sucres rapides (présents, par exemple, dans les sodas).

A l’inverse, le régime alimentaire doit privilégier les aliments à base de protéines et qui sont peu caloriques. Ceci permettra de nourrir les muscles sans qu’ils perdent de leur volume (perdre du gras mais prendre de la masse musculaire).

Globalement, diminuez progressivement vos apports alimentaires (régime hypocalorique).

Concrètement, votre programme de nutrition se basera :

sur les viandes et poissons (viande blanche, jambon, blanc ou cuisse de poulet ou de dinde, viande rouge peu grasse, blancs d’œuf, etc.),

les produits laitiers (comme le fromage blanc allégé, le lait écrémé),

sur les féculents (sucres lents) avant 16 heures (pâtes, riz, semoule, flocons d’avoine, pain complet, muesli, pomme de terre, patate douce, etc.),

les légumes (pour les vitamines et les fibres),

sur les fruits avant et après un entraînement.

Le tout en buvant suffisamment d’eau : l’hydratation reste un élément capital de l’équilibre alimentaire. Manger des aliments riches en fibres permet d’éviter d’avoir une forte sensation de faim, tout en limitant les calories ingérées.

Votre programme de nutrition doit intégrer des graisses : attention à ne pas les supprimer totalement. En effet, elles sont indispensables au bon fonctionnement de l’organisme. Prenez pour repère que vos calories doivent être réparties de la sorte :

30% de protéines,

20% de lipides,

50% de glucides.

En période de sèche, nous recommandons également de mettre en place notre programme « cinq petits repas par jour ». En effet, manger plus souvent (mais moins à chaque fois) permet d’augmenter le métabolisme et, donc, de brûler plus efficacement les graisses. Veillez également à terminer votre dernier repas au moins 2 heures avant de vous coucher et à ne pas manger au lit.

 

Comment vous remettre des repas de fêtes ?

Comment vous remettre des repas de fêtes ?

Comment vous remettre des repas de fêtes ?

Comment vous remettre des repas de fêtes ? Les fêtes de fin d’année sont semées d’embûches sur le plan de l’alimentation. Entre les apéritifs, le foie gras, les plats généreux en quantité et en gras, les desserts sucrés, le tout arrosé de boissons riches en calories (dont l’alcool), force est de reconnaître que l’organisme est mis à l’épreuve.

Les conséquences se font sentir rapidement : on se sent lourd, la digestion est difficile, l’état de forme n’est pas au plus haut (maux de tête…), des réactions cutanées (boutons) peuvent faire leur apparition…

Comment faire alors pour vous sentir mieux ?

Pas de restes les lendemains de fête

Qui dit repas de fête, dit souvent restes. Et oui, tout n’est pas forcément terminé quand le repas s’achève. Pour autant, le lendemain du repas de fête, laissez les restes au froid : vous risqueriez de faire les mêmes excès que la veille.

Si vous recevez, distribuez à vos hôtes les restes de manière à ce que personne n’en ait dans des quantités trop importantes.

Des repas légers

Un lendemain de repas de fêtes, optez pour des repas légers, riches en fibres et en vitamines : les légumes d’hiver (choux, brocoli, poireau, fenouil, céleris, radis noir…) seront vos alliés, idéalement cuits à la vapeur, tout comme les fruits riches en vitamine C (agrumes…), les céréales complètes et les légumineuses.

L’hydratation : toujours essentielle

Encore plus que les autres jours des mois d’hiver, l’hydratation est capitale. En effet, après avoir beaucoup mangé et souvent bu plus d’alcool qu’à l’accoutumée, bien s’hydrater aidera le corps à évacuer les surplus (toxines…).

Optez pour de l’eau, du thé vert, des tisanes, ou la boisson instantanée à base de thé d’Herbalife Nutrition.

Zéro alcool

Les repas de fêtes mettent à contribution le foie dont l’une des fonctions est de filtrer les toxines de l’organisme. Pour l’aider, bannissez complètement l’alcool durant les deux jours (au moins…) qui suivent un repas « lourd ».

Un peu d’exercice

Le lendemain d’un repas de fête n’est pas le jour pour reprendre le sport si vous aviez arrêté. Certes. Mais assurez-vous toutefois de faire un peu d’exercice. Une marche digestive aidera l’organisme à se remettre d’aplomb. En fonction de votre état de forme, vous pouvez également opter pour du pilates ou un jogging léger.

Et vous, quels sont vos conseils pour vous remettre les lendemains de fête ? Laissez vos astuces en commentaire de cet article 

Fêtes de fin d’année : Comment éviter les pièges de la suralimentation ?

Fêtes de fin d’année : Comment éviter les pièges de la suralimentation ?

Fêtes de fin d'année : Comment éviter les pièges de la suralimentation ?

Fêtes de fin d’année : Comment éviter les pièges de la suralimentation ? Les fêtes de fin d’année sont une période attendue par beaucoup, mais qui comporte également des pièges. De fait, on a souvent tendance à trop manger : comment faire alors pour éviter l’écueil de la suralimentation et rester en pleine forme ?

Ne jeûnez pas avant fêtes

Si vous vous dites que vous allez moins manger avant les fêtes pour plus pouvoir vous « lâcher » durant, sachez que c’est une mauvaise idée. En effet, votre corps ferait des réserves lorsque vous recommencerez à manger. Autrement dit : continuez à manger de manière variée, équilibrée et dans des proportions habituelles.

Toutefois, une cure détox une semaine avant les fêtes permettra de préparer le corps aux menus de fêtes riches en toxines (en raison des aliments riches en gras et en sucre que nous mangeons durant les fêtes) en éliminant les toxines accumulée toute l’année.

Autre astuce pour les dîners de fête : prenez une petite collation en fin de journée. Ainsi, vous aurez moins faim et serez moins susceptible de trop manger lors de l’apéritif. Et oui, mieux vaut arriver à ce type de repas sans avoir trop faim ! Vous tomberiez alors dans les pièges des apéritifs, en vous jetant sur des aliments trop gras, trop salés et trop caloriques. Les conseils Herbalife Nutrition formulés pour l’été s’adaptent parfaitement à la saison des fêtes de fin d’année que nous entamons.

Dès l’apéritif, prenez le temps de manger tranquillement plutôt que d’engloutir les mets à disposition. Grignotez afin de laisser le temps au sentiment de satiété de se faire sentir. Et commencez par les aliments les plus sains et pauvres en calories (légumes, féculents, sources de protéines), qui vous aideront à résister aux autres « tentations ».

Choisissez bien les aliments

La période des fêtes de fin d’année est propice à une alimentation riche en graisse et en sel. Pourtant, plusieurs astuces permettent de se faire plaisir en mangeant sans déséquilibrer son alimentation.

Bien choisir ses aliments à l’apéritif

  •  Préférerez aux gâteaux, chips, cacahuètes, charcuteries, des bâtonnets de légumes (carotte, chou-fleur, endive…). Les verrines présentent l’avantages sur les amuses bouches de ne pas avoir de feuilletage trop gras.
  •  Côté boisson, alternez boissons peu caloriques (à commencer par… l’eau qui permet de bien s’hydrater et qui aidera à digérer !) avec celles qui sont plus riches (notamment les cocktails ou les boissons alcoolisées, boissons particulièrement riches en calories). C’est aussi valable pour l’intégralité du repas où il est recommandé qu’un verre sur deux soit de l’eau. Idéalement, à l’apéritif, limitez-vous à un verre d’alcool.

Faire les bons choix pendant le repas

  •  N’ayez pas la main lourde sur les sauces qui doivent relever un plat, mais pas le noyer (qui plus est, votre système digestif vous remerciera) : une cuillère à soupe de sauce est en général un maximum.
  • Les plats à base de poisson et les fruits de mer sont en général moins caloriques.
  • De même, la volaille (caille, pigeon, pintade, coq…) et le gibier (chevreuil, sanglier, faisan…) sont moins gras que les animaux d’élevage et restent riches en protéines.
  • Si certains plats semblent « incontournables » (le foie gras par exemple pour certain), veillez à en manger dans des quantités raisonnables !
  • Privilégiez les légumes en accompagnement, en röstis par exemple.

Les arbitrages du dessert

  • Au dessert, privilégiez une bûche glacée (à base de sorbet) à la bûche pâtissière…
  • A moins que vous n’optiez pour une corbeille de fruits exotiques !

Nos alternatives pour avoir une alimentation plus équilibrée vous donneront sans doute des idées !

Restez actif

Pour continuer à être en pleine forme en période de fête, soyez actif : une activité physique aide à conserver son équilibre (de poids, de niveau de stress…) en période de fêtes ! Pensez notamment aux balades digestives lorsque vous sortez d’un déjeuner un peu plus lourd qu’à la normale.

Passez de bonnes Fêtes de fin d’année.

Source : Herbalife Nutrition

Pourquoi les en-cas ne sont pas forcément du grignotage

Pourquoi les en-cas ne sont pas forcément du grignotage

Pourquoi les en-cas ne sont pas forcément du grignotage

Pourquoi les en-cas ne sont pas forcément du grignotage . Prendre un en-cas ne signifie pas forcément grignoter des choses pas saines pour son organisme . Tout dépend du contenu de la collation. Découvrez pourquoi dans cet article , ainsi que des idées de recettes faciles !

3 ou 5 repas ?

Certaines personnes prennent 3 repas par jours (petit déjeuner, déjeuner, dîner) quand d’autres font le choix d’y ajouter une ou deux collations : c’est le programme 5 repas par jour que les lecteurs réguliers du blog Herbalife Nutrition connaissent bien.

Les raisons de commencer la journée par un petit déjeuner ne manquent pas : santé, contrôle de poids, entretien de la masse musculaire, peau saine, stimulation du métabolisme, meilleures performances mentales, gain en énergie… Mais quid des collations et des en-cas que l’on peut prendre en cours de journée ? Est-ce (forcément) du grignotage ?

Les bonnes raisons de faire le choix des en-cas

Qu’est-ce qu’un en-cas ? Une collation est un petit repas léger et raisonnable dont l’un des enjeux est de contribuer à équilibrer notre alimentation. En quoi peut-il être intéressant d’en prendre un à deux par jour ?

Une collation pour varier les apports nutritionnels

Ainsi, par exemple, celles et ceux qui ne mangent pas assez de fruits ou de produits laitiers pourront avantageusement opter pour un fruit ou un yaourt afin d’apporter à leur organisme l’ensemble des nutriments nécessaires.

Avoir plus de repas dans la journée permet d’avoir plus d’opportunités d’intégrer les 5 fruits et légumes recommandés, ou les 3 doses de produits laitiers.

Résister au grignotage de mauvaise qualité avec de bons en-cas

L’apport régulier (mais pas continu) de nourriture permet de résister aux « mauvais » en-cas : ceux qui sont trop gras, trop sucrés et/ou trop salés. Prendre une collation, c’est la prévoir en amont, avant que le choix ne soit dicté par l’envie du moment.

Un en-cas pour ne pas avoir de fringale

Corollaire du point précédent : les apports caloriques étant plus fréquents dans un régime à 5 repas que dans un régime à 3 repas, vous risquez moins d’avoir une fringale (et de faire, à nouveau, de « mauvais » choix).

Et quand bien même vous en auriez une, vous consommeriez alors la collation équilibrée que vous auriez prévue en avance !

Moins manger à chaque repas pour contrôler son poids

Manger plus souvent signifie aussi manger moins à chaque repas (oui, l’idée n’est pas de donner trop de calories à son organisme). Et, dans un objectif de contrôle ou de perte de poids, s’habituer à manger moins à chaque repas est idéal !

En-cas : une solution adaptée à nos modes de vie

Les collations ont aussi pour avantage de s’adapter à nos modes de vie, comme les déjeuners rapides (parfois trop pour être bien équilibrés) ou les dîners tardifs, ou bien encore la pratique d’une activité sportive en fin de journée. En ce cas, la collation vous permet d’arriver en forme à votre séance de sport!

Bref, transformez le grignotage par la prise d’en-cas choisis avec soin !

Les idées de recettes d’en-cas sains d’Herbalife Nutrition

Autre bonne nouvelle : prendre des collations, c’est avoir l’occasion de varier son alimentation, sans succomber au grignotage intempestif ! Les en-cas peuvent prendre de nombreuses formes : barres protéinéesshakes, yaourts, œufs, petits plats à préparer chez soi, etc.

Vous trouverez sur notre blog de nombreuses recettes faciles d’en-cas et de collations à moins de 150 calories : 12 recettes faciles et 12 recettes diététiques !

Pour varier les plaisirs tout en vous apportant les nutriments clés dont votre corps a besoin, Herbalife Nutrition vous propose Tri Blend Select, un shake protéiné avec une faible teneur en sucres, 100% de protéines végétales, et riche en fibres, en vitamine C et en minéraux essentiels !

Source : Herbalife Nutrition

Tout savoir sur les super-aliments et comment en consommer

Tout savoir sur les super-aliments et comment en consommer

Tout savoir sur les super-aliments et comment en consommer

Tout savoir sur les super-aliments et comment en consommer. Suivre la tendance des super-aliments revient à essayer de suivre la mode. Un jour c’est l’un, un jour c’est l’autre. Ainsi, le chou kale et le quinoa (l’un des ingrédients de Tri Blend, produit aux protéines 100% végétales) se font progressivement évincer par les baies de maqui et les grains de fonio

Mais qu’est-ce qui fait un super-aliment ? Et pourquoi en arrive-t-il de nouveaux chaque année ? Les super aliments cette année sont-ils meilleurs que ceux de l’année dernière ?

Qu’est-ce qu’un super-aliment ?

Le terme de « super-aliment » implique que ces aliments ont des pouvoirs nutritionnels bien supérieurs à ceux des aliments ordinaires. Mais ce n’est pas vraiment la définition d’un super-aliment. C’est plus un terme qui reflète le fait que ce sont des aliments très riches en nutriments.

Pour la plupart, les aliments les plus riches en nutriments sont ceux d’origine végétale. Ils apportent énormément de vitamines, minéraux et fibres ainsi que des phytonutriments, dont beaucoup agissent comme des antioxydants.

Si votre alimentation est riche en ingrédients d’origine végétale, alors vous consommez déjà probablement quantité d’aliments que l’on considère comme des super-aliments, même si leurs noms font moins rêver que le fruit du mangoustan ou le cacao concassé.

Toutes les listes de super-aliments se ressemblent. En tête, on retrouve presque toujours les ingrédients tels que les fruits rouges ou les baies, les légumes verts en feuilles et les fruits à coque. On y croise également souvent les poissons gras. Certains ingrédients changent simplement d’une année sur l’autre. Le chou cavalier semble remplacer le chou kale et le teff pourrait bien prendre la place du quinoa.

Les tendances alimentaires sont identiques à toute autre tendance. L’être humain semble toujours à la recherche de nouveautés et d’inédits. Dans le cas des super-aliments, on cherche constamment celui qui rassemble toujours plus de propriétés intéressantes.

Tous les aliments équilibrés sont des super-aliments

Beaucoup sont d’origine végétale et vantés pour leur forte teneur en phytonutriments, dont beaucoup agissent comme des antioxydants et sont considérés comme bons pour la santé. Nous recherchons constamment le nouveau super-aliment, celui plus antioxydant encore que le précédent.

Mais focaliser sur une propriété spécifique d’un aliment comme la propriété antioxydante, pourrait bien être une erreur. La plupart des ingrédients d’origine végétale sont très intéressants sous de multiples aspects : ils sont extrêmement complexes et proposent des accords de vitamines, minéraux et phytonutriments uniques.

Et s’il est vrai que beaucoup de ces phytonutriments agissent comme des antioxydants dans l’organisme, la probabilité est grande qu’ils aient d’autres bienfaits pour la santé. Mais il y a bien trop de phytonutriments dans les aliments et trop peu de temps pour les étudier tous.

On estime à plusieurs milliers le nombre de composés bénéfiques dans les aliments d’origine végétale. Nous ne saurons peut-être jamais comment les uns et les autres agissent sur la santé.

Lorsqu’un aliment a fait l’objet de recherches cliniques et ses bienfaits potentiels pour la santé ont été démontrés (comme la myrtille ou la grenade), il est qualifié de super aliment. Ce qui exclut d’autres aliments qui pourraient nous être tout aussi bénéfiques. En d’autres termes, le fait de favoriser certains aliments spécifiques parce que la science les a qualifiés de super-aliments, nous fait peut-être passer à côté d’autres ingrédients tout aussi bénéfiques mais différemment.

Aliments végétaux, super-aliments

Certes, les myrtilles sont excellentes pour la santé. Mais les autres fruits rouges le sont également. Chaque variété dispose de ses propres phytonutriments bénéfiques pour le corps, de manière différente. Loin de nous l’idée de contester la richesse nutritionnelle du chou kale. Mais les feuilles de navets, de moutarde, les bettes ou encore les épinards le sont tout autant. Les patates douces sont très intéressantes d’un point de vue nutritionnel. Mais les autres légumes orange comme les carottes, la citrouille ou encore les courges ont aussi des propriétés non négligeables.

L’avantage des tendances alimentaires, c’est qu’elles vous font découvrir de nouveaux aliments que vous n’auriez probablement jamais essayés. Alors si vous vous laissez tenter par la dernière tendance des super-aliments, ajoutez-les à ceux que vous consommez déjà plutôt que de les exclure.

Et vous, quels sont vos super-aliments favoris ?